{/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
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Valhalla :: Niveau 3 : Istari :: Chambres :: Chambre d'Akira
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par Akira Dim 7 Nov - 23:52
Lorsqu'elle m'attira contre elle, je n'opposai pas la moindre résistance, au contraire, je plaquai mon corps contre le sien pour ressentir la chaleur et la douceur de sa peau dont la mienne ne pouvait plus se passer. Un frisson ma parcourut l'échine en sentant ses mains glisser le long de mon corps. J'avais l'impression que mon corps était chauffé à blanc à chacun des passages de ses mains. Si le tortures où l'on utilisait du métal chauffé à blanc faisaient le même effet, j'aurais voulu être torturé indéfiniment.
Je ressentis une sensation de frustration lorsqu'elle retira ses lèvres avant de laisser échapper un soupir en penchant la tête en arrière, les yeux fermés et la bouche entrouverte lorsque je sentis ses dents et ses mains sur mon corps. Je me mordis les lèvres en la sentant défaire ma ceinture et ma tête partie en avant lorsqu'elle passa derrière mon cou. Mon souffle s'accéléra lorsqu'elle ne fit que mordiller ma lèvre.
Je ne compris pas exactement pourquoi elle avait commencé à glisser vers le sol pour ensuite remonter. Lorsqu'elle se retourna et passa ses bras autour de mon cou, je fis glisser mes mains le long de sa taille avant de les faire glisser entre le tissu de sa jupe et sa peau et parcourir ses hanches avec délectation jusqu'au niveau de ses bas.
Un nouveau soupir m'échappa lorsque je sentis sa langue glisser sur ma clavicule tandis que mes mains émergeaient de sous cette jupe qui commençaient à sérieusement me gêner.
Lorsqu'elle se retrouva allongée sur le lit et que je vit la façon dont elle me regardait, je sentis mon corps recommencer à trembler tandis que je me mordais le coin des lèvres. Je me penchai sur elle et atterris au-dessus d'elle les mains posées de chaque côté de son visage, les bras tendus. Je la regardai avec un sourire qui trahissait l'envie d'elle qu'elle me procurait puis m'emparai enfin de ses lèvres en l'embrassant sauvagement.
Je finis par rompre ce baiser et sans me coucher sur le lit, je posai mes lèvres sous son menton et commençai à descendre le long de son cou tandis que mes mains posées sur ses épaules descendirent le long de sa poitrine, vite succédées par mes lèvres avides de cette peau si savoureuse qui me faisait tant envie, jusqu'au niveau de sa jupe.
Mes mains passèrent doucement dessus, suivies par mon souffle, puis se posèrent sur ses cuisses et glissèrent dessus en retirant progressivement ses bas tandis que ma langue glissait sur l'intérieur de sa cuisse gauche jusqu'à son genou. Lorsque ses bas tombèrent au sol, ma langue descendit le long de l'intérieur de son autre cuisse tendis que mes mains commençaient à remonter lentement le long de ses jambes.
Je ressentis une sensation de frustration lorsqu'elle retira ses lèvres avant de laisser échapper un soupir en penchant la tête en arrière, les yeux fermés et la bouche entrouverte lorsque je sentis ses dents et ses mains sur mon corps. Je me mordis les lèvres en la sentant défaire ma ceinture et ma tête partie en avant lorsqu'elle passa derrière mon cou. Mon souffle s'accéléra lorsqu'elle ne fit que mordiller ma lèvre.
Je ne compris pas exactement pourquoi elle avait commencé à glisser vers le sol pour ensuite remonter. Lorsqu'elle se retourna et passa ses bras autour de mon cou, je fis glisser mes mains le long de sa taille avant de les faire glisser entre le tissu de sa jupe et sa peau et parcourir ses hanches avec délectation jusqu'au niveau de ses bas.
Un nouveau soupir m'échappa lorsque je sentis sa langue glisser sur ma clavicule tandis que mes mains émergeaient de sous cette jupe qui commençaient à sérieusement me gêner.
Lorsqu'elle se retrouva allongée sur le lit et que je vit la façon dont elle me regardait, je sentis mon corps recommencer à trembler tandis que je me mordais le coin des lèvres. Je me penchai sur elle et atterris au-dessus d'elle les mains posées de chaque côté de son visage, les bras tendus. Je la regardai avec un sourire qui trahissait l'envie d'elle qu'elle me procurait puis m'emparai enfin de ses lèvres en l'embrassant sauvagement.
Je finis par rompre ce baiser et sans me coucher sur le lit, je posai mes lèvres sous son menton et commençai à descendre le long de son cou tandis que mes mains posées sur ses épaules descendirent le long de sa poitrine, vite succédées par mes lèvres avides de cette peau si savoureuse qui me faisait tant envie, jusqu'au niveau de sa jupe.
Mes mains passèrent doucement dessus, suivies par mon souffle, puis se posèrent sur ses cuisses et glissèrent dessus en retirant progressivement ses bas tandis que ma langue glissait sur l'intérieur de sa cuisse gauche jusqu'à son genou. Lorsque ses bas tombèrent au sol, ma langue descendit le long de l'intérieur de son autre cuisse tendis que mes mains commençaient à remonter lentement le long de ses jambes.
Akira
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par Azylis Mer 10 Nov - 3:29
De la frustration... voilà ce qu'il me faisait ressentir en plus du plaisir.
Son corps était si près, juste quelques centimètres le séparait du mien... je parvenais même à sentir la chaleur qui en émanait... mais ils ne se touchaient pas. Et j'avais besoin qu'ils se touchent, j'avais besoin de sentir sa peau contre la mienne, sentir ses muscles rouler sous sa peau, ses bras enserrer mon corps et ainsi coller encore davantage nos deux corps l'un contre l'autre.
Son regard me faisait toujours autant frissonner de plaisir, ce qui m'arracha un sourire satisfait. Me sentir désirée par quelqu'un que j'appréciais et qui me plaisait était amplement suffisant à mes yeux, pas besoin d'amour ou d'autre nids à galères.
Je lui rendis son baiser avec ferveur, lui faisant payer la courte attente qu'il m'avait imposée en lui mordillant la lèvre inférieur avant de les accepter. La sauvagerie de son baiser me fit frissonner d'impatience, car je sentais qu'il arrivait au bout de sa résistance, les tremblements fugaces de ses bras que j'entrapercevais à travers mes paupières entrouvertes, le prouvaient bien.
J'eus un petit grognement mécontent quand il rompit notre baiser, mais il fut bien vite remplacé par un soupire lorsque ses lèvres se posèrent sous mon menton puis le long de mon cou. Mes mains se posèrent quant à elles sur ses épaules, massant ses muscles avec délice en les sentant rouler sous mes doigts tandis qu'il descendait peu à peu le long de mon corps. En sentant ses mains glisser sur ma peau, je me cambrais légèrement en entrouvrant un peu les lèvres, mais sans qu'aucun son n'en sorte.
Mais je voulais toujours son corps contre ma peau, qui frissonnait à la fois de froid et de plaisir sous ses lèvres, qui la réchauffaient temporairement lorsqu'elles s'y posaient, avant de la rendre encore plus froide lorsqu'elles la quittaient.
Je maudits ma jupe lorsqu'elle me fit perdre le contact avec les mains d'Akira, mais un nouveau sourire étira mes lèvres une fois que je les sentis sur mes cuisses.
Je ne pus retenir un gémissement de plaisir en sentant sa langue glisser sur ma peau, pendant qu'il fait glisser mes bas le long de mes jambes puis m'en débarrasser.
En le sentant remonter doucement mais surement, un sourire impatient étira mes lèvres... sourire qui devint malicieux lorsque je stoppai sa remontée en posant mon pied sur son épaule (ouais, j'suis souple !). Je fis ensuite glisser mon pied sur son torse jusqu'à atteindre son pantalon. Je m'attardais sur son bas ventre en y traçant des lignes, puis laissai mon pied retomber sur le matelas. Je me redressais jusqu'à ce que nos lèvres se touchent, mais me contentai d'un simple baiser... avant de glisser jusqu'à son épaule et l'embrassai avec insistance, le contraignant à redresser son torse à la verticale. Une main baladeuse crocheta mon index à un des arceau de son pantalon et tira dessus pour qu'il monte sur le lit et qu'il y soit à genoux. Dès que ce fut fait, je séparais mes lèvres de son épaule pour les reposer avec avidité sur son torse, mes deux mains glissant le long de celui-ci, avant d'enserrer sa taille. Je collais nos deux corps, tandis que mes lèvres parcouraient son torse, se retenant de dévorer sa peau si attirante. Je fis glisser ma langue sur ses abdos, puis dans son nombril avant de relever la tête vers lui, et m'emparer de ses lèvres qui me manquaient déjà.
d'abord avec douceur, le baiser pris rapidement de l'intensité tandis que notre désir devenait de plus ne plus ardent.
Je fis glisser mes mains sur ses hanche, et défis le bouton de son pantalon avant de le faire glisser lentement puis tout simplement l'en débarrasser, et l'envoyer... quelque part. Mes lèvres toujours scellées au siennes, je posais une mains dans son dos, l'autre derrière sa tête, et me laissais doucement tombée en arrière en attirant Akira contre moi. Une fois couchée sur le lit, je relevai les genoux de chaque coté de ses hanches, et rompis à regret notre baiser avant de basculer la tête sur l'arrière. Poussant sur le matelas avec mes pieds, je m'arrangeai pour son visage se retrouve au niveau de ma poitrine, tout en continuant de lui caresser les cheveux et les omoplates.
J'étais tellement impatiente de connaitre la suite...
Son corps était si près, juste quelques centimètres le séparait du mien... je parvenais même à sentir la chaleur qui en émanait... mais ils ne se touchaient pas. Et j'avais besoin qu'ils se touchent, j'avais besoin de sentir sa peau contre la mienne, sentir ses muscles rouler sous sa peau, ses bras enserrer mon corps et ainsi coller encore davantage nos deux corps l'un contre l'autre.
Son regard me faisait toujours autant frissonner de plaisir, ce qui m'arracha un sourire satisfait. Me sentir désirée par quelqu'un que j'appréciais et qui me plaisait était amplement suffisant à mes yeux, pas besoin d'amour ou d'autre nids à galères.
Je lui rendis son baiser avec ferveur, lui faisant payer la courte attente qu'il m'avait imposée en lui mordillant la lèvre inférieur avant de les accepter. La sauvagerie de son baiser me fit frissonner d'impatience, car je sentais qu'il arrivait au bout de sa résistance, les tremblements fugaces de ses bras que j'entrapercevais à travers mes paupières entrouvertes, le prouvaient bien.
J'eus un petit grognement mécontent quand il rompit notre baiser, mais il fut bien vite remplacé par un soupire lorsque ses lèvres se posèrent sous mon menton puis le long de mon cou. Mes mains se posèrent quant à elles sur ses épaules, massant ses muscles avec délice en les sentant rouler sous mes doigts tandis qu'il descendait peu à peu le long de mon corps. En sentant ses mains glisser sur ma peau, je me cambrais légèrement en entrouvrant un peu les lèvres, mais sans qu'aucun son n'en sorte.
Mais je voulais toujours son corps contre ma peau, qui frissonnait à la fois de froid et de plaisir sous ses lèvres, qui la réchauffaient temporairement lorsqu'elles s'y posaient, avant de la rendre encore plus froide lorsqu'elles la quittaient.
Je maudits ma jupe lorsqu'elle me fit perdre le contact avec les mains d'Akira, mais un nouveau sourire étira mes lèvres une fois que je les sentis sur mes cuisses.
Je ne pus retenir un gémissement de plaisir en sentant sa langue glisser sur ma peau, pendant qu'il fait glisser mes bas le long de mes jambes puis m'en débarrasser.
En le sentant remonter doucement mais surement, un sourire impatient étira mes lèvres... sourire qui devint malicieux lorsque je stoppai sa remontée en posant mon pied sur son épaule (ouais, j'suis souple !). Je fis ensuite glisser mon pied sur son torse jusqu'à atteindre son pantalon. Je m'attardais sur son bas ventre en y traçant des lignes, puis laissai mon pied retomber sur le matelas. Je me redressais jusqu'à ce que nos lèvres se touchent, mais me contentai d'un simple baiser... avant de glisser jusqu'à son épaule et l'embrassai avec insistance, le contraignant à redresser son torse à la verticale. Une main baladeuse crocheta mon index à un des arceau de son pantalon et tira dessus pour qu'il monte sur le lit et qu'il y soit à genoux. Dès que ce fut fait, je séparais mes lèvres de son épaule pour les reposer avec avidité sur son torse, mes deux mains glissant le long de celui-ci, avant d'enserrer sa taille. Je collais nos deux corps, tandis que mes lèvres parcouraient son torse, se retenant de dévorer sa peau si attirante. Je fis glisser ma langue sur ses abdos, puis dans son nombril avant de relever la tête vers lui, et m'emparer de ses lèvres qui me manquaient déjà.
d'abord avec douceur, le baiser pris rapidement de l'intensité tandis que notre désir devenait de plus ne plus ardent.
Je fis glisser mes mains sur ses hanche, et défis le bouton de son pantalon avant de le faire glisser lentement puis tout simplement l'en débarrasser, et l'envoyer... quelque part. Mes lèvres toujours scellées au siennes, je posais une mains dans son dos, l'autre derrière sa tête, et me laissais doucement tombée en arrière en attirant Akira contre moi. Une fois couchée sur le lit, je relevai les genoux de chaque coté de ses hanches, et rompis à regret notre baiser avant de basculer la tête sur l'arrière. Poussant sur le matelas avec mes pieds, je m'arrangeai pour son visage se retrouve au niveau de ma poitrine, tout en continuant de lui caresser les cheveux et les omoplates.
J'étais tellement impatiente de connaitre la suite...
Azylis
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par Yuna Ven 12 Nov - 20:52
Je revenais d'une balade en forêt, j'y avais passé tout l'après midi à chercher des animaux blessés et à les soigner avec les moyens du bord. Alors que je remontais dans mon humble demeure, c'est-à-dire ma chambre, je passais devant la chambre d'Akira.Tilt, tiens ça fait pas mal de temps que je l'ai pas vu celui là, et si j'allais lui rendre une petite visite?
Je frappais à la porte. J'attendis quelques instants. Pas de réponse.
Bon tant pis, ça sera pour une autre fois. Je retournais sur mes pas et mon oreille fut attirée par des bruits non identifiés provenant de la chambre d'Akira.
Je rêve il est dans sa chambre et il ouvre pas. Bon il doit être occupé à je ne sais quoi mais c'est pas sympa de pas répondre.
Yuna
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par Akira Ven 12 Nov - 21:43
Le son de sa respiration et de ses gémissements me faisaient de plus en plus perdre patience. J'arrêtai ma remontée lorsqu'elle posa son pied sur mon épaule et le fit glisser le long de mon torse, m'arrachant un soupir tandis que mes mains agrippaient les draps pour que je puisse rester un minimum calme. Je me mordis les lèvres au sang pour contenir les tremblements de plaisir et de frustration que son pied glissant sur mon torse produisait.
Un faible gémissement m'échappa lorsqu'elle dessina des lignes sur mon bas ventre et je me penchai en avant pour embrasser sa jambe sous son genou puis son mollet. Je me mordis une nouvelle fois les lèvres lorsqu'elle se redressa mais ne se contenta que d'un simple baiser.
Je fermai les yeux yeux et entrouvris la bouche en sentant ses lèvres glisser sur mon torse ainsi que ses mains. Lorsqu'elle m'attira sur le lit, je n'opposai pas la moindre résistance et savourai de nouveau ses lèvres et ses mains sur ma peau qui me brûlait tellement que j'avais l'impression qu'elle était un volcan menaçant d'entrer en éruption à tout instant. Un soupir de plaisir et de soulagement m'échappa lorsque nos corps se rencontrèrent de nouveau. Lorsque je sentis sa langue glisser sur mes abdos, ma respiration se fit plus bruyante et mes mains parcoururent son corps avec insistance, comme si elles essayaient de s'y coller définitivement ou qu'elles y trouveraient quelque chose qui me calmerait. Lorsque ses lèvres se reposèrent sur les miennes, je l'embrassai sauvagement, trop content de pouvoir les retrouver.
Lorsqu'elle se laissa tomber en arrière, je ralentis sa chute en la soutenant grâce à mes mains posées au niveau de ses côtes, mains qui recommencèrent à glisser jusqu'à sa jupe dès qu'elle fut allongée. Lorsque je me retrouvai au niveau de sa poitrine, j'embrassai cette dernière sur chaque centimètre de peau tandis que mes mains remontaient vers elle. Je fis glisser ma langue autour de sa poitrine puis jusqu'à ses extrémités avant de laisser le relai à mes mains qui la caressèrent avidement.
Mes lèvres commencèrent à descendre le long de son ventre. Une fois au niveau de son nombril, mes mains quittèrent ses seins pour glisser à leur tour le long de son ventre. Une fois au niveau de sa jupe, je fis doucement glisser cette dernière en faisant passer ma langue sur sa peau qui se révélait au fur et à mesure jusqu'à ce que sa jupe tombe à son tour au sol.
Je remontai doucement le long du corps d'Azylis en faisant glisser mon torse contre son corps jusqu'à ce que mon visage se retrouve au niveau du sien. Je la regardai avec un sourire satisfait et de désir en me mordant le coin des lèvres et approchai mes lèvres des siennes pour l'embra...
"On a frappé non?" Murmurai-je, pas certain d'avoir bien entendu.
Un faible gémissement m'échappa lorsqu'elle dessina des lignes sur mon bas ventre et je me penchai en avant pour embrasser sa jambe sous son genou puis son mollet. Je me mordis une nouvelle fois les lèvres lorsqu'elle se redressa mais ne se contenta que d'un simple baiser.
Je fermai les yeux yeux et entrouvris la bouche en sentant ses lèvres glisser sur mon torse ainsi que ses mains. Lorsqu'elle m'attira sur le lit, je n'opposai pas la moindre résistance et savourai de nouveau ses lèvres et ses mains sur ma peau qui me brûlait tellement que j'avais l'impression qu'elle était un volcan menaçant d'entrer en éruption à tout instant. Un soupir de plaisir et de soulagement m'échappa lorsque nos corps se rencontrèrent de nouveau. Lorsque je sentis sa langue glisser sur mes abdos, ma respiration se fit plus bruyante et mes mains parcoururent son corps avec insistance, comme si elles essayaient de s'y coller définitivement ou qu'elles y trouveraient quelque chose qui me calmerait. Lorsque ses lèvres se reposèrent sur les miennes, je l'embrassai sauvagement, trop content de pouvoir les retrouver.
Lorsqu'elle se laissa tomber en arrière, je ralentis sa chute en la soutenant grâce à mes mains posées au niveau de ses côtes, mains qui recommencèrent à glisser jusqu'à sa jupe dès qu'elle fut allongée. Lorsque je me retrouvai au niveau de sa poitrine, j'embrassai cette dernière sur chaque centimètre de peau tandis que mes mains remontaient vers elle. Je fis glisser ma langue autour de sa poitrine puis jusqu'à ses extrémités avant de laisser le relai à mes mains qui la caressèrent avidement.
Mes lèvres commencèrent à descendre le long de son ventre. Une fois au niveau de son nombril, mes mains quittèrent ses seins pour glisser à leur tour le long de son ventre. Une fois au niveau de sa jupe, je fis doucement glisser cette dernière en faisant passer ma langue sur sa peau qui se révélait au fur et à mesure jusqu'à ce que sa jupe tombe à son tour au sol.
Je remontai doucement le long du corps d'Azylis en faisant glisser mon torse contre son corps jusqu'à ce que mon visage se retrouve au niveau du sien. Je la regardai avec un sourire satisfait et de désir en me mordant le coin des lèvres et approchai mes lèvres des siennes pour l'embra...
"On a frappé non?" Murmurai-je, pas certain d'avoir bien entendu.
Akira- Messages : 2698
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par Azylis Dim 14 Nov - 0:53
Une main plaquée sur ma bouche, je tentais d'atténuer le plus efficacement possible les soupirs et les gémissements de plaisir que je n'arrivais presque plus à retenir. Plongée dans cet océan de délices, je tenais à profiter de chaque seconde de pur plaisir qu'il m'offrait, sans pour autant lui prouver plus que nécessaire l'effet qu'il avait sur moi. Néanmoins, la tension de mes muscle et la chaleur de ma peau étaient des facteurs que je ne pouvais maitriser.
Mon souffle devint accéléré lorsque je sentis ses lèvres sur ma poitrine.
Je recroquevillai mes orteils sur les draps lorsqu'il y fit glisser sa langue.
Je fis légèrement basculer ma tête sur l'arrière lorsqu'il la caressa avec ses mains.
La main toujours posée sur ma bouche, je me mordis légèrement le majeur quand il descendit le long de mon ventre, d'abord avec ses lèvres, puis avec ses mains.
Mon corps se cambra en sentant la jupe être enlevée, la langue d'Akira glissant sur chaque parcelle de peau révélée.
Ma main libre serrait avec force les draps, comme pour essayer d'y faire passer le surplus de sensations que je ressentais, faisant blanchir mes phalanges. Mon souffle était haletant, et quand la jupe atterrit au sol, mon ventre me chatouilla en signe d'impatience.
Je retirai mes mains de ma bouche et des draps pour les faire glisser sur le dos d'Akira tandis qu'il remontait à mon niveau, un faible gémissement s'échappant de mes lèvres en sentant son torse glisser sur l'intégralité de mon corps.
En croisant son regard, je sentis un frisson remonter le long de mon échine, et lui adressais un sourire heureux et un regard pétillant d'amusement et de plaisir.
Le désir à son paroxysme, je fermais les yeux en le voyant approcher ses lèvres des miennes, prête à les accueillir comme il se devait.... mais elle ne vinrent pas.
On a frappé non?
J'ouvris un oeil pour regarder Akira, si proche.
- Je ne sais pas... soufflais-je, possible...
Je franchis les derniers centimètres qui nous séparaient et l'embrassais passionnément.
- Et puis si ça avait été urgent ou.... important, murmurais-je difficilement, les coups auraient été plus forts et plus... nerveux.
Je passais une de mes mains dans ses cheveux puis sa joue, tandis que l'autre glissait sur son omoplate. Je jetais un bref coup d'oeil de mauvaise grâce vers la porte pour ensuite revenir sur son visage.
- Il ou elle devra repasser... on est occupé là...
Sur ces mots, je plaquai de nouveau mes lèvres sur les siennes, ma langue s'immisçant doucement entre ses lèvres, résolue à ne plus les laisser s'échapper...
Mon souffle devint accéléré lorsque je sentis ses lèvres sur ma poitrine.
Je recroquevillai mes orteils sur les draps lorsqu'il y fit glisser sa langue.
Je fis légèrement basculer ma tête sur l'arrière lorsqu'il la caressa avec ses mains.
La main toujours posée sur ma bouche, je me mordis légèrement le majeur quand il descendit le long de mon ventre, d'abord avec ses lèvres, puis avec ses mains.
Mon corps se cambra en sentant la jupe être enlevée, la langue d'Akira glissant sur chaque parcelle de peau révélée.
Ma main libre serrait avec force les draps, comme pour essayer d'y faire passer le surplus de sensations que je ressentais, faisant blanchir mes phalanges. Mon souffle était haletant, et quand la jupe atterrit au sol, mon ventre me chatouilla en signe d'impatience.
Je retirai mes mains de ma bouche et des draps pour les faire glisser sur le dos d'Akira tandis qu'il remontait à mon niveau, un faible gémissement s'échappant de mes lèvres en sentant son torse glisser sur l'intégralité de mon corps.
En croisant son regard, je sentis un frisson remonter le long de mon échine, et lui adressais un sourire heureux et un regard pétillant d'amusement et de plaisir.
Le désir à son paroxysme, je fermais les yeux en le voyant approcher ses lèvres des miennes, prête à les accueillir comme il se devait.... mais elle ne vinrent pas.
On a frappé non?
J'ouvris un oeil pour regarder Akira, si proche.
- Je ne sais pas... soufflais-je, possible...
Je franchis les derniers centimètres qui nous séparaient et l'embrassais passionnément.
- Et puis si ça avait été urgent ou.... important, murmurais-je difficilement, les coups auraient été plus forts et plus... nerveux.
Je passais une de mes mains dans ses cheveux puis sa joue, tandis que l'autre glissait sur son omoplate. Je jetais un bref coup d'oeil de mauvaise grâce vers la porte pour ensuite revenir sur son visage.
- Il ou elle devra repasser... on est occupé là...
Sur ces mots, je plaquai de nouveau mes lèvres sur les siennes, ma langue s'immisçant doucement entre ses lèvres, résolue à ne plus les laisser s'échapper...
Azylis- Messages : 1209
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par Yuna Dim 14 Nov - 17:51
Pas de réponse, c'est pas grave, je fis volte face direction la bibli, sauf que maladroite comme je suis j'avais pas vu qu'il y avait de l'eau par terre^^. Je trébuchais dans la flaque, tentais de me rattraper à n'importe quoi histoire de ne pas tomber, je trouvais la poignée de la porte de la chambre d'Akira et m'y accrochais.... Jusque là tout allait bien sauf que cette p^^^ de porte n'était pas fermée: résultat, VLANNNN elle s'ouvrit en grand et je me retrouvais par terre, sans comprendre ce qui m'arrivait.
Bien évidemment, je n'étais pas folle, il y avait bien Akira et une fille que j'avais déjà vue à mon admission Azylis je crois, dans la chambre. Manque de bol, c'était vraiment pas le moment de les déranger^^.
Devant cette situation embarassante je virais au rouge brique avant de devenir Invisible. Encore manque de bol, je m'étais bien fait repérer.
Je me relevais en vitesse, claquais la porte avant de me ruer dans ma chambre.
Je m'étais bien tapée la honte... J'avais tellement de mal à croire que je l'avais vraiment osé les déranger que je me mis à rire. C'est tout moi ce genre de truc.
Je sais, je suis folle...
Point positif, je deviens Invisible plus rapidement qu'avant, pas encore assez pour éviter de me faire repérer, ça serait trop beau.
Bien évidemment, je n'étais pas folle, il y avait bien Akira et une fille que j'avais déjà vue à mon admission Azylis je crois, dans la chambre. Manque de bol, c'était vraiment pas le moment de les déranger^^.
Devant cette situation embarassante je virais au rouge brique avant de devenir Invisible. Encore manque de bol, je m'étais bien fait repérer.
Je me relevais en vitesse, claquais la porte avant de me ruer dans ma chambre.
Je m'étais bien tapée la honte... J'avais tellement de mal à croire que je l'avais vraiment osé les déranger que je me mis à rire. C'est tout moi ce genre de truc.
Je sais, je suis folle...
Point positif, je deviens Invisible plus rapidement qu'avant, pas encore assez pour éviter de me faire repérer, ça serait trop beau.
Yuna- Messages : 650
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par Akira Lun 15 Nov - 22:32
Je jetai un dernier coup d'œil à la porte, m'attendant à entendre frapper une nouvelle fois mais l'oubliai rapidement en sentant la langue d'Azylis glisser entre mes lèvres, faisant accélérer ma respiration et fis glisser la mienne dessus sans me séparer de ses lèvres.
Après tout elle a raison, si ça avait été urgent ça aurait... la porte s'ouvrit d'un coup à la volée avec un bruit de chute et je tournai brusquement la tête vers la porte. J'écarquillai les yeux en voyant Yuna par terre qui, sans même s'excuser ni rien dire, devint invisible et repartit en claquant la porte sans demander son reste.
Les joues rouges, je me laissai tomber sur le côté pour me retrouver allongé à côté d'Azylis. Je me passai la main sur le visage et la remontai jusqu'à mon front, dégageant mes mèches de cheveux mouillée en arrière en lâchant un long soupir.
Je crois que j'ai rarement autant détesté quelqu'un dans ma vie. Ok c'était du pur égoïsme mais là je lui en voulais vraiment d'avoir déboulé dans la chambre pile quand il ne fallait pas.
Je fermai les yeux et tentai de calmer les battements de mon cœur qui étaient devenus bien plus rapide sous le coup de l'effet de surprise et l'embarras tout en essayant de retrouver des couleurs normales.
Après tout elle a raison, si ça avait été urgent ça aurait... la porte s'ouvrit d'un coup à la volée avec un bruit de chute et je tournai brusquement la tête vers la porte. J'écarquillai les yeux en voyant Yuna par terre qui, sans même s'excuser ni rien dire, devint invisible et repartit en claquant la porte sans demander son reste.
Les joues rouges, je me laissai tomber sur le côté pour me retrouver allongé à côté d'Azylis. Je me passai la main sur le visage et la remontai jusqu'à mon front, dégageant mes mèches de cheveux mouillée en arrière en lâchant un long soupir.
Je crois que j'ai rarement autant détesté quelqu'un dans ma vie. Ok c'était du pur égoïsme mais là je lui en voulais vraiment d'avoir déboulé dans la chambre pile quand il ne fallait pas.
Je fermai les yeux et tentai de calmer les battements de mon cœur qui étaient devenus bien plus rapide sous le coup de l'effet de surprise et l'embarras tout en essayant de retrouver des couleurs normales.
Akira- Messages : 2698
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par Azylis Mar 16 Nov - 1:29
Toujours couchée sur le dos, je ne parvenais pas à quitter la porte des yeux, du moins l'endroit ou j'avais furtivement entraperçu une chevelure châtain. La main posées sur mon coeur, je tentais de calmer ses battement tout en essayant de ralentir ma respiration saccadée.
Je frissonnais tandis que l'absence du corps d'Akira sur le mien laissait de nouveau le loisir au froid de venir m'agacer. Incapable de prononcer un seul mot, j'écoutais la respiration d'Akira reprendre doucement mais sûrement son rythme normal, essayant de me calmer à mon tour. J'avais été sortie tellement brutalement de notre petit bulle, le bruit de la porte ouverte aussi brutalement m'avait tellement surprise que j'avais violemment sursauté, et mettais un temps fou pour reprendre mes esprits.
- Nom... de... Dieu... murmurais-je, tandis que que ma respiration était redevenue normale après de longues minutes, mon coeur battant encore un peu vite.
Les yeux toujours fixés sur la porte, je saisis un coussin et le lançai dans sa direction, mais celui-ci ne traversa que de l'air avant de rencontrer le battant avec un bruit mou.
- Elle est vraiment partie, dis-je en un souffle.
Ce n'était pas la 1ère fois que je me faisais surprendre dans ce genre situation, mais c'était clair que je ne m'y habituerais jamais. Surtout si c'était aussi brutal comme entrée.
Une fois la surprise partie, c'est la colère et la frustration qui prirent sa place. Mais merde quoi ! Elle pouvait pas attendre juste... je sais pas moi ! Demain matin ?! Même quelques minutes plus tard ça aurait pu à peu près marcher ! Mais pas pile poil à ce moment là ! Putain ! Si je la recroise, je lui fais vivre un enfer... merde, j'ai même pas eu le temps de voir son visage... Fais chier !
Je serrais les draps dans mes mains pour essayer d'atténuer la bouffée de colère qui montait en moi. Respirant profondément et calmement, je finis par arracher mes yeux de cette foutue porte pour me tourner vers Akira. Je posais mon front sur son torse avec un air carrément accablé.
- Désolée... j'ai complètement oublié de mettre le verrou. Ça ne m'a même pas effleuré l'esprit...
Je soupirai avant de tourner mon visage vers le sien, me servant de son torse comme d'un oreiller.
- Fait chier... j'aurais pu vivre une nouvelle expérience, tentais-je de plaisanter. Ma première fois avec un aphrodisiaque... complètement ruinée. Si je la recroise, je la tue...
Je frissonnais tandis que l'absence du corps d'Akira sur le mien laissait de nouveau le loisir au froid de venir m'agacer. Incapable de prononcer un seul mot, j'écoutais la respiration d'Akira reprendre doucement mais sûrement son rythme normal, essayant de me calmer à mon tour. J'avais été sortie tellement brutalement de notre petit bulle, le bruit de la porte ouverte aussi brutalement m'avait tellement surprise que j'avais violemment sursauté, et mettais un temps fou pour reprendre mes esprits.
- Nom... de... Dieu... murmurais-je, tandis que que ma respiration était redevenue normale après de longues minutes, mon coeur battant encore un peu vite.
Les yeux toujours fixés sur la porte, je saisis un coussin et le lançai dans sa direction, mais celui-ci ne traversa que de l'air avant de rencontrer le battant avec un bruit mou.
- Elle est vraiment partie, dis-je en un souffle.
Ce n'était pas la 1ère fois que je me faisais surprendre dans ce genre situation, mais c'était clair que je ne m'y habituerais jamais. Surtout si c'était aussi brutal comme entrée.
Une fois la surprise partie, c'est la colère et la frustration qui prirent sa place. Mais merde quoi ! Elle pouvait pas attendre juste... je sais pas moi ! Demain matin ?! Même quelques minutes plus tard ça aurait pu à peu près marcher ! Mais pas pile poil à ce moment là ! Putain ! Si je la recroise, je lui fais vivre un enfer... merde, j'ai même pas eu le temps de voir son visage... Fais chier !
Je serrais les draps dans mes mains pour essayer d'atténuer la bouffée de colère qui montait en moi. Respirant profondément et calmement, je finis par arracher mes yeux de cette foutue porte pour me tourner vers Akira. Je posais mon front sur son torse avec un air carrément accablé.
- Désolée... j'ai complètement oublié de mettre le verrou. Ça ne m'a même pas effleuré l'esprit...
Je soupirai avant de tourner mon visage vers le sien, me servant de son torse comme d'un oreiller.
- Fait chier... j'aurais pu vivre une nouvelle expérience, tentais-je de plaisanter. Ma première fois avec un aphrodisiaque... complètement ruinée. Si je la recroise, je la tue...
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Akira Mar 16 Nov - 22:27
Je tournai les yeux vers le coussin qui volait à travers la chambre puis voulus rire à la remarque d'Azylis mais ne parvins qu'à émettre un rire jaune avant de reporter mon attention au plafond.
Je ne la vis pas concrètement mais je sentais bien qu'elle aussi était énervée par ce qui venait de se passer (le pire c'est que justement la sentir énervée, ça m'énervait encore plus, je dois être Empathique en plus d'être Morphe).
Je tournai les yeux vers elle lorsqu'elle posa son front sur mon torse.
"T'as pas à t'excuser, c'était à moi d'y penser, c'est ma chambre, c'était à moi de faire gaffe, c'est moi qui suis désolé."
Et tu n'imagines même pas à quel point je suis désolé (quoique, je pense qu'elle doit avoir une vague idée). Je rigolai à sa remarque.
"Et moi donc. En plus je suis sûr que ça aurait été différent de sous l'effet de l'alcool." Rigolai-je en laissant retomber ma tête en arrière pour reporter mon attention au plafond.
Sans vraiment m'en rendre compte, ma main glissa sur la peau de sa joue avant de se perdre dans ses cheveux.
Je ne la vis pas concrètement mais je sentais bien qu'elle aussi était énervée par ce qui venait de se passer (le pire c'est que justement la sentir énervée, ça m'énervait encore plus, je dois être Empathique en plus d'être Morphe).
Je tournai les yeux vers elle lorsqu'elle posa son front sur mon torse.
"T'as pas à t'excuser, c'était à moi d'y penser, c'est ma chambre, c'était à moi de faire gaffe, c'est moi qui suis désolé."
Et tu n'imagines même pas à quel point je suis désolé (quoique, je pense qu'elle doit avoir une vague idée). Je rigolai à sa remarque.
"Et moi donc. En plus je suis sûr que ça aurait été différent de sous l'effet de l'alcool." Rigolai-je en laissant retomber ma tête en arrière pour reporter mon attention au plafond.
Sans vraiment m'en rendre compte, ma main glissa sur la peau de sa joue avant de se perdre dans ses cheveux.
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par Azylis Mar 16 Nov - 23:48
J'eus un sourire vaguement amusé.
- Peut être, mais toi tu es passé par la fenêtre. C'est moi qui suis passée par la porte. Et puis à peine arrivé je t'ai tout de suite occupé, donc ne garde pas la faute pour toi tout seul, me moquais-je doucement. Deux cerveaux valent mieux qu'un pour penser... là les deux cerveaux on échoué
Je lui fis un clin d'oeil pour lui montrer que je ne lui en voulais pas.
Mon sourire devint plus serein quand sa main caressa ma joue avant de glisser dans mes cheveux.
Mon rire se joignit au sien avant d'enchainer:
- Avec l'alcool, tu risque d'oublier des choses... avec un aphro, je pense qu'au contraire ça serait resté gravé dans nos mémoires... dommage. Mais il n'y a pas mort d'homme, donc pas la peine de bouder. Même si je te comprends largement... j'ai rarement été aussi frustrée.
Je fis distraitement glisser mon index sur son torse, le regardant fixer le plafond.
- Au pire, je connais la recette, lançais-je avec un sourire carnassier, désireuse de le faire sortir de ses mauvaises pensées, comme on sait que ça marche à la perfection, j'aurais qu' à en refaire, et là...
Je fondis sur son épaule, et y posais mes lèvres. Quand je les retirais, les 4 petites traces de griffures avaient disparues. Je repris ma position sur son torse, mais en caressant cette fois sa clavicule, un sourire malicieux sur les lèvres.
- ... et là je verrouillerai la porte, la coincerais avec ton bureau, sur lequel j'aurais posé ta chaise. Je pense que ça suffira, pas toi?
- Peut être, mais toi tu es passé par la fenêtre. C'est moi qui suis passée par la porte. Et puis à peine arrivé je t'ai tout de suite occupé, donc ne garde pas la faute pour toi tout seul, me moquais-je doucement. Deux cerveaux valent mieux qu'un pour penser... là les deux cerveaux on échoué
Je lui fis un clin d'oeil pour lui montrer que je ne lui en voulais pas.
Mon sourire devint plus serein quand sa main caressa ma joue avant de glisser dans mes cheveux.
Mon rire se joignit au sien avant d'enchainer:
- Avec l'alcool, tu risque d'oublier des choses... avec un aphro, je pense qu'au contraire ça serait resté gravé dans nos mémoires... dommage. Mais il n'y a pas mort d'homme, donc pas la peine de bouder. Même si je te comprends largement... j'ai rarement été aussi frustrée.
Je fis distraitement glisser mon index sur son torse, le regardant fixer le plafond.
- Au pire, je connais la recette, lançais-je avec un sourire carnassier, désireuse de le faire sortir de ses mauvaises pensées, comme on sait que ça marche à la perfection, j'aurais qu' à en refaire, et là...
Je fondis sur son épaule, et y posais mes lèvres. Quand je les retirais, les 4 petites traces de griffures avaient disparues. Je repris ma position sur son torse, mais en caressant cette fois sa clavicule, un sourire malicieux sur les lèvres.
- ... et là je verrouillerai la porte, la coincerais avec ton bureau, sur lequel j'aurais posé ta chaise. Je pense que ça suffira, pas toi?
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par Akira Mer 17 Nov - 18:23
Mouais... bon ok, elle marquait un point : elle avait emprunté la porte alors que moi j'étais passé par la fenêtre. Et puis, à la base, je ne savais pas qu'elle allait me faire avaler un aphrodisiaque et encore moins que ça allait virer de cette manière donc il y avait peu de raisons pour que j'eus voulu fermer la porte à clé.
"Ok, j'avoue." Cédai-je avec un sourire amusé.
Je rigolai.
"Non je boude pas. Je suis surtout frustré aussi."
Non mais c'est vrai quoi? Elle a bien choisi son moment pour débarquer. Et il fallait qu'elle arrive pile à CE moment, CE jour et pas un autre. Je me doute qu'elle l'a pas fait exprès (vaut mieux pour elle en même temps et pas uniquement à cause de moi) mais là c'était trop frustrant pour que je ne lui en veuille pas.
Je rigolai.
"Donc la prochaine fois que tu m'en refais un, il faudra que je l'interprète comme une proposition c'est..."
Je ne finis pas ma phrase que ses lèvres étaient déjà posées sur mon épaule. Ma peau frissonna à leur contact. Lorsqu'elle les retira, la griffure que j'avais avait disparu. Je baissai les yeux vers elle avec un sourire amusé.
"Oui, je crois que ça ira, faudra aussi penser à fermer la fenêtre, d'ici à ce qu'un Air loupe un vol et décide de se poser sur le rebord." Dis-je d'un ton blasé.
Lorsque sa main glissa sur ma peau, je sentis cette dernière se réchauffer avant de ressentir de nouveau la fraîcheur environnante et mon corps fut parcouru d'un frisson.
"Punaise, il fait pas chaud. Elles ont volé où les fringues?" Dis-je en redressant la tête à la recherche des dites fringues.
"Ok, j'avoue." Cédai-je avec un sourire amusé.
Je rigolai.
"Non je boude pas. Je suis surtout frustré aussi."
Non mais c'est vrai quoi? Elle a bien choisi son moment pour débarquer. Et il fallait qu'elle arrive pile à CE moment, CE jour et pas un autre. Je me doute qu'elle l'a pas fait exprès (vaut mieux pour elle en même temps et pas uniquement à cause de moi) mais là c'était trop frustrant pour que je ne lui en veuille pas.
Je rigolai.
"Donc la prochaine fois que tu m'en refais un, il faudra que je l'interprète comme une proposition c'est..."
Je ne finis pas ma phrase que ses lèvres étaient déjà posées sur mon épaule. Ma peau frissonna à leur contact. Lorsqu'elle les retira, la griffure que j'avais avait disparu. Je baissai les yeux vers elle avec un sourire amusé.
"Oui, je crois que ça ira, faudra aussi penser à fermer la fenêtre, d'ici à ce qu'un Air loupe un vol et décide de se poser sur le rebord." Dis-je d'un ton blasé.
Lorsque sa main glissa sur ma peau, je sentis cette dernière se réchauffer avant de ressentir de nouveau la fraîcheur environnante et mon corps fut parcouru d'un frisson.
"Punaise, il fait pas chaud. Elles ont volé où les fringues?" Dis-je en redressant la tête à la recherche des dites fringues.
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par Azylis Jeu 18 Nov - 3:18
Cette fois je ne pus me retenir, et tout en me redressant, j'éclatais de rire à son interprétation.
- En même temps, tu connais beaucoup de monde qui boivent des aphrodisiaques juste pour le plaisir de boire un aphro ? Bien sûr que se sera une proposition... même si le mot est un peu faible...
Un sourire plus qu'amusé étira mes lèvres à son avant dernière réplique.
- Au moins, là, si on est dérangés c'est que quelqu'un a traversé le mur ! Ou alors la fenêtre... un atterrissage raté et il passe à travers le verre pour s'écraser dans la chambre... voit le bon coté des choses: il sera ds la pièce et je pourrait le/la trucider sur place.
Même si au niveau de la fenêtre, le risque viendrait plus de Zak qui aurait repris son escalade de l'école...
Lorsqu'il parla de ses fringues, je me redressais en faisant glisser ma main de sa clavicule à son bas ventre.
- Je sais que la ceinture était du coté de la porte... le tee shirt j'en ai strictement aucune idée, et le pantalon... vers le mur en face je pense: j'ai pas regardé où je l'ai balancé. Désolée ! lançais-je sur un ton absolument pas désolé. Ah ! Et tes chaussette sont au pied du lit avec tes chaussures.
Comment lui dire que maintenant j'avais la flemme intersidérale à la simple pensée que je devrais grimper 3 étages?
- Mais... tu veux vraiment remettre tes vêtements? demandais-je avec un ton faussement incertain. Fait pas froid pourtant...
Je me recouchais à ses coté, la tête cette fois posée sur un bout de son oreiller (sa tête prenant l'autre moitié). Même si ça me faisait chier de le dire, maintenant qu'on était plus dans le feu de l'action, je devais avouer qu'il faisait un peu frisquet quand même...
- Bon... ok, j'avoue qu'il fait pas chaud, marmonnais-je avec un petit air boudeur en remarquant que j'avais la chaire de poule, preuve indéniable que c'était pas la canicule.
je me rapprochais du corps d'Akira pour profiter de sa chaleur corporelle, même si maintenant c'était mon dos qui frissonnait à l'air libre. Je me mis à dessiner des symboles chinois sur un de ses pectoraux.
- J'y pense... imagine qu'on ferme la fenêtre et que ton animae était un piaf, et qu'il te trouvais au même moment qu'aujourd'hui... en fait, on est à l'abri de rien, dis-je en riant doucement, dessinant à présent un oiseau au ailes déployées sur tout son torse.
- En même temps, tu connais beaucoup de monde qui boivent des aphrodisiaques juste pour le plaisir de boire un aphro ? Bien sûr que se sera une proposition... même si le mot est un peu faible...
Un sourire plus qu'amusé étira mes lèvres à son avant dernière réplique.
- Au moins, là, si on est dérangés c'est que quelqu'un a traversé le mur ! Ou alors la fenêtre... un atterrissage raté et il passe à travers le verre pour s'écraser dans la chambre... voit le bon coté des choses: il sera ds la pièce et je pourrait le/la trucider sur place.
Même si au niveau de la fenêtre, le risque viendrait plus de Zak qui aurait repris son escalade de l'école...
Lorsqu'il parla de ses fringues, je me redressais en faisant glisser ma main de sa clavicule à son bas ventre.
- Je sais que la ceinture était du coté de la porte... le tee shirt j'en ai strictement aucune idée, et le pantalon... vers le mur en face je pense: j'ai pas regardé où je l'ai balancé. Désolée ! lançais-je sur un ton absolument pas désolé. Ah ! Et tes chaussette sont au pied du lit avec tes chaussures.
Comment lui dire que maintenant j'avais la flemme intersidérale à la simple pensée que je devrais grimper 3 étages?
- Mais... tu veux vraiment remettre tes vêtements? demandais-je avec un ton faussement incertain. Fait pas froid pourtant...
Je me recouchais à ses coté, la tête cette fois posée sur un bout de son oreiller (sa tête prenant l'autre moitié). Même si ça me faisait chier de le dire, maintenant qu'on était plus dans le feu de l'action, je devais avouer qu'il faisait un peu frisquet quand même...
- Bon... ok, j'avoue qu'il fait pas chaud, marmonnais-je avec un petit air boudeur en remarquant que j'avais la chaire de poule, preuve indéniable que c'était pas la canicule.
je me rapprochais du corps d'Akira pour profiter de sa chaleur corporelle, même si maintenant c'était mon dos qui frissonnait à l'air libre. Je me mis à dessiner des symboles chinois sur un de ses pectoraux.
- J'y pense... imagine qu'on ferme la fenêtre et que ton animae était un piaf, et qu'il te trouvais au même moment qu'aujourd'hui... en fait, on est à l'abri de rien, dis-je en riant doucement, dessinant à présent un oiseau au ailes déployées sur tout son torse.
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Akira Sam 20 Nov - 0:08
Je ne pus m'empêcher de rigoler à sa remarque.
"Ouais pas faux. Quoique... mine de rien, il n'était pas mauvais celui-là! Ça me gênerait pas d'en reprendre pour le plaisir (surtout si ya un supplément en plus)!" Dis-je en rigolant.
Je regardai la fenêtre en imaginant quelqu'un atterrir en catastrophe. Sans que je ne m'en rende compte, mon regard devint mauvais (je m'étais tellement imaginé la scène que j'avais le regard que j'aurais eu si c'était vraiment arrivé).
"Ouais... je crois qu'il s'en sortirait pas vivant là." Dis-je avec un petit rire.
Je parvins à repérer mon jean plus loin effectivement puis laissai ma tête retomber contre l'oreiller. Je tournai les yeux vers Azylis lorsqu'elle dit qu'il ne faisait pas si froid. Elle est normal ou bien... ah quand même je me disais aussi. J'eus un sourire amusé en voyant son air boudeur et lorsqu'elle approcha son corps du mien pour se réchauffer, je posai mes mains sur sa taille pour l'y attirer davantage et réchauffer par la même occasion mon corps.
Je levai les yeux au ciel pour essayer d'imaginer la scène.
"Là franchement... on n'aurait pas de bol quand même. Faudra aussi fermer les volets." Dis-je en rigolant.
Je dessinai des signes inventés sur son ventre tandis qu'elle en faisait de même sur mon torse. Je regardai son corps avec un sourire en coin.
"Quoique se retrouver dans le noir ce ne serait pas non plus spécialement avantageux, ça m'empêcherait de voir de belles choses."
"Ouais pas faux. Quoique... mine de rien, il n'était pas mauvais celui-là! Ça me gênerait pas d'en reprendre pour le plaisir (surtout si ya un supplément en plus)!" Dis-je en rigolant.
Je regardai la fenêtre en imaginant quelqu'un atterrir en catastrophe. Sans que je ne m'en rende compte, mon regard devint mauvais (je m'étais tellement imaginé la scène que j'avais le regard que j'aurais eu si c'était vraiment arrivé).
"Ouais... je crois qu'il s'en sortirait pas vivant là." Dis-je avec un petit rire.
Je parvins à repérer mon jean plus loin effectivement puis laissai ma tête retomber contre l'oreiller. Je tournai les yeux vers Azylis lorsqu'elle dit qu'il ne faisait pas si froid. Elle est normal ou bien... ah quand même je me disais aussi. J'eus un sourire amusé en voyant son air boudeur et lorsqu'elle approcha son corps du mien pour se réchauffer, je posai mes mains sur sa taille pour l'y attirer davantage et réchauffer par la même occasion mon corps.
Je levai les yeux au ciel pour essayer d'imaginer la scène.
"Là franchement... on n'aurait pas de bol quand même. Faudra aussi fermer les volets." Dis-je en rigolant.
Je dessinai des signes inventés sur son ventre tandis qu'elle en faisait de même sur mon torse. Je regardai son corps avec un sourire en coin.
"Quoique se retrouver dans le noir ce ne serait pas non plus spécialement avantageux, ça m'empêcherait de voir de belles choses."
Akira- Messages : 2698
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Azylis Sam 20 Nov - 16:18
- "En reprendre pour le plaisir"? m'esclaffais-je. Tu m'as limite sautée dessus tout à l'heure ! Cette fois là, je mettrais un col roulé avec un jean pour être certaine de pas te tenter, alors... Et ne me traite pas comme "supplément", j'ai l'impression d'être comparée aux bonbons qu'on a en plus d'une tasse de café au resto... - -"
Lorsqu'il regarda par la fenêtre, je suivis un instant son regard, puis revins vers son visage... et frissonnai en voyant son expression.
- Tu me ferais presque peur comme ça, Akira... on dirait vraiment que tu vas tuer quelqu'un s'il ose pénétrer dans cette pièce... murmurais-je avec un sourire appréciateur.
Mon sourire devint plus que satisfait quand il m'attira et colla mon corps au sien pour qu'ils se réchauffent mutuellement (ça ferait presque érotique dit comme ça, alors qu'il ne se passe strictement rien - -").
- En tout cas, j'en connais un ou une qui sera soulagé(e), me moquais-je en désignant le mur avec mon pouce, puisque de ce que j'ai compris, il/elle n'avait pas apprécié notre petite entrevue de la dernière fois...
En même temps... j'aurais été il ou elle, j'aurais poussé une gueulante au bout de la deuxième fois pour qu'ils aillent faire ça ailleurs.
je frissonnais en sentant son regard glisser sur ma silhouette et un sourire de remerciement se dessina sur mes lèvres.
- D'habitude, je suis assez hermétique aux compliments, mais pour celui là je t'en remercie: comme tu n'as pas besoin d'essayer de m'attirer dans ton lit, puisque j'y suis déjà, j'ose espérer qu'il était un minimum sincère, murmurais-je en avançant mon visage vers le sien.
Je fis frôler nos lèvres pendant plusieurs secondes puis, après un clin d'oeil, je les posais sur les siennes pour l'embrasser avec douceur.
Lorsque nos lèvres se séparèrent enfin, j'avais retrouvé mon expression légèrement moqueuse habituelle.
- Au pire, on ferme les volets, mais on allume la lumière... Après faudra juste penser à l'éteindre avant de tomber dans les bras de Morphé. Parce que j'ai beau avoir plaisanté plusieurs fois dessus, ton corps est tout de même fort attirant... ni trop gros, ni trop maigre, bien musclé... chuchotais-je en embrassant ses pectoraux tout en caressant ses abdominaux.
Je frissonnais de nouveau, mais à cause de la fraicheur dans mon dos cette fois. Mon regard devint malicieux et mon sourire provocateur.
- J'ai bien envie de nous réchauffer... murmurais-je, mais tout en prenant ma revanche sur la dernière fois... une pierre deux coups...
Sans lui laisser l'opportunité de répondre "oui", "non", "quoi qu'est-ce?", je reposais doucement mes lèvres sur les siennes, mes deux mains glissant de chaque coté de ses cotes... pour le chatouiller (mais doucement au début).
Je sais, c'est vache d'attaquer en traitre, mais comme on dit: "L'effet de surprise peut garantir une victoire" ! (C'est moi qui viens de l'inventer, c'est la classe, non?) Et puis chahuter un peu, ça réchauffe, non?
Et ne me traite pas comme "supplément", j'ai l'impression d'être comparée aux bonbons qu'on a en plus d'une tasse de café au resto... - -"Lorsqu'il regarda par la fenêtre, je suivis un instant son regard, puis revins vers son visage... et frissonnai en voyant son expression.
- Tu me ferais presque peur comme ça, Akira... on dirait vraiment que tu vas tuer quelqu'un s'il ose pénétrer dans cette pièce... murmurais-je avec un sourire appréciateur.
Mon sourire devint plus que satisfait quand il m'attira et colla mon corps au sien pour qu'ils se réchauffent mutuellement (ça ferait presque érotique dit comme ça, alors qu'il ne se passe strictement rien - -").
- En tout cas, j'en connais un ou une qui sera soulagé(e), me moquais-je en désignant le mur avec mon pouce, puisque de ce que j'ai compris, il/elle n'avait pas apprécié notre petite entrevue de la dernière fois...
En même temps... j'aurais été il ou elle, j'aurais poussé une gueulante au bout de la deuxième fois pour qu'ils aillent faire ça ailleurs.
je frissonnais en sentant son regard glisser sur ma silhouette et un sourire de remerciement se dessina sur mes lèvres.
- D'habitude, je suis assez hermétique aux compliments, mais pour celui là je t'en remercie: comme tu n'as pas besoin d'essayer de m'attirer dans ton lit, puisque j'y suis déjà, j'ose espérer qu'il était un minimum sincère
, murmurais-je en avançant mon visage vers le sien.Je fis frôler nos lèvres pendant plusieurs secondes puis, après un clin d'oeil, je les posais sur les siennes pour l'embrasser avec douceur.
Lorsque nos lèvres se séparèrent enfin, j'avais retrouvé mon expression légèrement moqueuse habituelle.
- Au pire, on ferme les volets, mais on allume la lumière... Après faudra juste penser à l'éteindre avant de tomber dans les bras de Morphé. Parce que j'ai beau avoir plaisanté plusieurs fois dessus, ton corps est tout de même fort attirant... ni trop gros, ni trop maigre, bien musclé... chuchotais-je en embrassant ses pectoraux tout en caressant ses abdominaux.
Je frissonnais de nouveau, mais à cause de la fraicheur dans mon dos cette fois. Mon regard devint malicieux et mon sourire provocateur.
- J'ai bien envie de nous réchauffer... murmurais-je, mais tout en prenant ma revanche sur la dernière fois... une pierre deux coups...
Sans lui laisser l'opportunité de répondre "oui", "non", "quoi qu'est-ce?", je reposais doucement mes lèvres sur les siennes, mes deux mains glissant de chaque coté de ses cotes... pour le chatouiller (mais doucement au début).
Je sais, c'est vache d'attaquer en traitre, mais comme on dit: "L'effet de surprise peut garantir une victoire" ! (C'est moi qui viens de l'inventer, c'est la classe, non?) Et puis chahuter un peu, ça réchauffe, non?
Azylis- Messages : 1209
Age : 34
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Âge: Va savoir... j'ai la jeunesse éternelle !
Pouvoirs: Je guéris et me multiplie !
Animae: Tu vois le beau loups gris là bas, qui pourrait te bouffer en une bouchée ? Ben c'est lui ! :3
Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Akira Lun 22 Nov - 0:59
"Ben en même temps, je venais d'avaler un aphrodisiaque, ça t'étonnes à ce point?" Dis-je en rigolant.
"Désolé, c'était pas l'impression que je voulais donner." Lui répondis-je avec un sourire d'excuse.
Je rigolai à sa remarque.
"Ben là tout de suite, si quelqu'un débarquait sans prévenir dans la chambre... ouais, je crois que je le tuerais sur le champ pour le coup." Rigolai-je.
Je ressentis un certain soulagement en sentant la chaleur de son corps contre le mien (mine de rien, ça a beau être chauffé dans la chambre, on a souvent froid dans cette "tenue").
Je regardai le mur qu'elle me désigna et eus un sourire amusé.
"Tu parles, je suis sûr qu'il est plus jaloux qu'autre chose (même s'il a de bonnes raisons de l'être (et pas pour des raisons prétentieuses))." Répondis-je avec un sourire en coin.
Je ne répondis pas à sa réplique suivante, plus intéressé par ses lèvres proches des miennes que par l'idée de sortir une connerie. Lorsqu'elles se rencontrèrent, je fermai les yeux pour mieux savourer ce baiser. Lorsqu'elles se séparèrent, je regardai Azylis avec un sourire amusé.
"Ouais, je bougerai je lit pour qu'il soit à côté d'un interrupteur alors."
Par contre, je sentis mes joues commencer à s'empourprer face à son compliment et je me sentis frissonner en sentant ses lèvres sur ma peau.
Je fronçai les sourcils à sa dernière remarque mais n'eus pas le temps de dire quoi que ce soit. Elle avait déjà reposé ses lèvres sur les miennes et ses mains glissaient sur mes côtes. Je fronçai légèrement les sourcils en sentant ses doigts légèrement me chatouiller (dans ces moments-là, je ne sais jamais si c'est volontaire ou non) puis quand les chatouilles se firent plus insistant, je commençai à me tortiller et décollai mes lèvres des siennes et attrapai vite ses poignets pour dégager ses mains.
Je me dépêchai de me tourner sur le côté pour me retrouver sur Azylis (mais n'y mis pas tout mon poids non plus, ça ne le ferait pas). Je me redressai pour me retrouver assis sur elle (en concentrant surtout mon poids dans les genoux pour éviter de l'étouffer) et plaquai ses mains au-dessus de sa tête, ses poignets l'un sur l'autre. Je la regardai avec un sourire amusé.
"Ça pour te réchauffer, tu vas te réchauffer."
Je tins fermement ses poignets croisés avec ma main droite et ma main gauche commença à la chatouiller sous les bras.
"Désolé, c'était pas l'impression que je voulais donner." Lui répondis-je avec un sourire d'excuse.
Je rigolai à sa remarque.
"Ben là tout de suite, si quelqu'un débarquait sans prévenir dans la chambre... ouais, je crois que je le tuerais sur le champ pour le coup." Rigolai-je.
Je ressentis un certain soulagement en sentant la chaleur de son corps contre le mien (mine de rien, ça a beau être chauffé dans la chambre, on a souvent froid dans cette "tenue").
Je regardai le mur qu'elle me désigna et eus un sourire amusé.
"Tu parles, je suis sûr qu'il est plus jaloux qu'autre chose (même s'il a de bonnes raisons de l'être (et pas pour des raisons prétentieuses))." Répondis-je avec un sourire en coin.
Je ne répondis pas à sa réplique suivante, plus intéressé par ses lèvres proches des miennes que par l'idée de sortir une connerie. Lorsqu'elles se rencontrèrent, je fermai les yeux pour mieux savourer ce baiser. Lorsqu'elles se séparèrent, je regardai Azylis avec un sourire amusé.
"Ouais, je bougerai je lit pour qu'il soit à côté d'un interrupteur alors."
Par contre, je sentis mes joues commencer à s'empourprer face à son compliment et je me sentis frissonner en sentant ses lèvres sur ma peau.
Je fronçai les sourcils à sa dernière remarque mais n'eus pas le temps de dire quoi que ce soit. Elle avait déjà reposé ses lèvres sur les miennes et ses mains glissaient sur mes côtes. Je fronçai légèrement les sourcils en sentant ses doigts légèrement me chatouiller (dans ces moments-là, je ne sais jamais si c'est volontaire ou non) puis quand les chatouilles se firent plus insistant, je commençai à me tortiller et décollai mes lèvres des siennes et attrapai vite ses poignets pour dégager ses mains.
Je me dépêchai de me tourner sur le côté pour me retrouver sur Azylis (mais n'y mis pas tout mon poids non plus, ça ne le ferait pas). Je me redressai pour me retrouver assis sur elle (en concentrant surtout mon poids dans les genoux pour éviter de l'étouffer) et plaquai ses mains au-dessus de sa tête, ses poignets l'un sur l'autre. Je la regardai avec un sourire amusé.
"Ça pour te réchauffer, tu vas te réchauffer."
Je tins fermement ses poignets croisés avec ma main droite et ma main gauche commença à la chatouiller sous les bras.
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Azylis Lun 22 Nov - 2:08
Je lui adressais un clin d'oeil.
- Je pense qu'à ce sujet là, tu peux te permettre d'être un minimum prétentieux... mais pas trop quand même: j'aime pas les vantards ;p Mais fais gaffe qu'il ne t'entende pas: tu risque d'avoir des soucis... Mais bon, je ne connais pas sa corpulence.
J'éclatais de rire en écoutant sa réplique.
- Si ça continue, on va devoir déménager toute ta chambre pour être certains d'être tranquilles ! XD "Attends Akira ! On a pas fermé le verrou, déplacé ton bureau, mit la chaise dessus, fermé les volets, éteint la lumière et déplacé le lit !" XD
Lorsque je le chatouillais, il réagit plus vite que je ne le pensais (merde, je vais finir par lui donner des réflexes anti chatouilles avec mes conneries ! Et je me ferais avoir à chaque fois !). DU coup, je me retrouvais bien vite bloquée dans une situation similaire à la dernière fois, subissant le supplice que je voulais infliger à Akira.
- A... Arrête ! Je plaisantais ! Je... Je te ferais payer ça ! Le menaçais-je entre deux fous rire.
Mais à force de gigoter, me tortiller etc... je parvint à libérer UN poignet, même s'il raffermit sa prise sur le deuxième avant que je puisse le libérer aussi, et attrapais son bras pour enlever sa main.
Étant dans une situation à peu près d'égalité, mais stérile, je pris le temps de reprendre mon souffle, les joue à présent plus rouges que roses.
- J'avoue... que ça réchauffe... admettais-je avec un sourire amusé (parce que mine de rien, j'ai beau m'être faite avoir à mon propre jeu, je m'amuse comme une gamine... QUE JE NE SUIS PAS !!!). Mais à mon tour de t'en faire profiter...
Sans le quitter des yeux, je fis basculer mon bassin de droite à gauche pour le déséquilibrer, avant de donner un coup de hanche plus fort que les autre pour le faire glisser sur le lit, mais sans parvenir à le mettre sur le dos (en gros, il est assis sur la couette). Je parvins alors ENFIN à libérer mon 2e poignet.
Je me redressai alors, me mettant à genoux face et lui, et approchai mon corps du sien jusqu'à de ce ma poitrine frôle sa peau. Je rapprochai alors mes lèvres de son oreille avec un regard carnassier et le sourire qui allait de paire.
- Je vais te faire pleurer jusqu'à ce que tu pleures... et si tu pleure pas, tu vas pleurer quand même...
Sans signes avant coureurs, j'attrapais un coté des draps pour recouvrir Akira avec, et le faire basculer en arrière en appuyant sur son torse avec ma main (donc sa tête était au bout du lit, là où devraient être ses pieds). Je m'assis à cheval sur lui, et attrapai l'autre coté du drap pour mieux lui recouvrir le visage, avant de recommencer à lui chatouiller les côtes, tout en mêlant mon rire au sien.
- Je pense qu'à ce sujet là, tu peux te permettre d'être un minimum prétentieux... mais pas trop quand même: j'aime pas les vantards ;p Mais fais gaffe qu'il ne t'entende pas: tu risque d'avoir des soucis... Mais bon, je ne connais pas sa corpulence.
J'éclatais de rire en écoutant sa réplique.
- Si ça continue, on va devoir déménager toute ta chambre pour être certains d'être tranquilles ! XD "Attends Akira ! On a pas fermé le verrou, déplacé ton bureau, mit la chaise dessus, fermé les volets, éteint la lumière et déplacé le lit !" XD
Lorsque je le chatouillais, il réagit plus vite que je ne le pensais (merde, je vais finir par lui donner des réflexes anti chatouilles avec mes conneries ! Et je me ferais avoir à chaque fois !). DU coup, je me retrouvais bien vite bloquée dans une situation similaire à la dernière fois, subissant le supplice que je voulais infliger à Akira.
- A... Arrête ! Je plaisantais ! Je... Je te ferais payer ça ! Le menaçais-je entre deux fous rire.
Mais à force de gigoter, me tortiller etc... je parvint à libérer UN poignet, même s'il raffermit sa prise sur le deuxième avant que je puisse le libérer aussi, et attrapais son bras pour enlever sa main.
Étant dans une situation à peu près d'égalité, mais stérile, je pris le temps de reprendre mon souffle, les joue à présent plus rouges que roses.
- J'avoue... que ça réchauffe... admettais-je avec un sourire amusé (parce que mine de rien, j'ai beau m'être faite avoir à mon propre jeu, je m'amuse comme une gamine... QUE JE NE SUIS PAS !!!). Mais à mon tour de t'en faire profiter...
Sans le quitter des yeux, je fis basculer mon bassin de droite à gauche pour le déséquilibrer, avant de donner un coup de hanche plus fort que les autre pour le faire glisser sur le lit, mais sans parvenir à le mettre sur le dos (en gros, il est assis sur la couette). Je parvins alors ENFIN à libérer mon 2e poignet.
Je me redressai alors, me mettant à genoux face et lui, et approchai mon corps du sien jusqu'à de ce ma poitrine frôle sa peau. Je rapprochai alors mes lèvres de son oreille avec un regard carnassier et le sourire qui allait de paire.
- Je vais te faire pleurer jusqu'à ce que tu pleures... et si tu pleure pas, tu vas pleurer quand même...
Sans signes avant coureurs, j'attrapais un coté des draps pour recouvrir Akira avec, et le faire basculer en arrière en appuyant sur son torse avec ma main (donc sa tête était au bout du lit, là où devraient être ses pieds). Je m'assis à cheval sur lui, et attrapai l'autre coté du drap pour mieux lui recouvrir le visage, avant de recommencer à lui chatouiller les côtes, tout en mêlant mon rire au sien.
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Akira Lun 22 Nov - 18:27
"T'inquiète, moi aussi je déteste les vantards." Lui répondis-je avec un sourire rassurant.
"Non ça va il est... normal quoi. Et puis au pire, maintenant je peux avoir une plus grosse corpulence que la sienne s'il est devenu plus imposant que la dernière fois." Rigolai-je.
Mine de rien, être Morphe, ça peut sortir de pleins de situations. Je fis une grimace quand elle simula la situation.
"Ouais... tout de suite ça donne moins envie."
Punaise, ça n'a pas l'air comme ça mais quand on se retrouve dans cette situation et qu'on est en position de force, ça fait du bien! Ah ben avec les coups vaches qu'elle me fait, pour une fois que c'est moi qui la fait galérer ça soulage!
Eeeeeeeeeeeeeet mer... credi! J'allais me remettre sur mes gardes en la voyant s'approcher mais lorsqu'elle sa poitrine frôla ma peau, je me retrouvai désarmé (c'est de la triche ça!) et un frisson me parcourut le dos lorsqu'elle approcha ses lèvres de mon oreille. En entendant ce qu'elle me dit, je tournai les yeux vers elle.
Mais je n'eus pas le temps de faire grand chose que je me prenais déjà les draps à la figure qui me bouchèrent la vue et limitèrent mes mouvements. Du coup, je me retrouvai allongé, la tête au pied du lit.
"Non! A... rrête! C... C'est de la... tri... ches." M'exclamai-je entre deux fous-rires.
J'essayais de me débattre mais j'étais devenu une fajitas humaine et pour bouger c'était donc un peu galère. Je n'arrivais qu'à tourner légèrement à droite et à gauche mais pas de quoi me mettre à l'abri de ses chatouilles.
En désespoir de cause, je fis un peu ce que j'avais fait avec Asuka quand je l'avais faite passer par la fenêtre : je forçai un bon coup pour relever mon bassin et levai la jambe en l'air pour éjecter Azylis hors du lit (bon cette fois, il n'y a pas de fenêtre de l'autre côté donc j'espère qu'elle a de bons réflexes sinon le voisin va entendre des bruits bizarres).
"Non ça va il est... normal quoi. Et puis au pire, maintenant je peux avoir une plus grosse corpulence que la sienne s'il est devenu plus imposant que la dernière fois." Rigolai-je.
Mine de rien, être Morphe, ça peut sortir de pleins de situations. Je fis une grimace quand elle simula la situation.
"Ouais... tout de suite ça donne moins envie."
Punaise, ça n'a pas l'air comme ça mais quand on se retrouve dans cette situation et qu'on est en position de force, ça fait du bien! Ah ben avec les coups vaches qu'elle me fait, pour une fois que c'est moi qui la fait galérer ça soulage!
Eeeeeeeeeeeeeet mer... credi! J'allais me remettre sur mes gardes en la voyant s'approcher mais lorsqu'elle sa poitrine frôla ma peau, je me retrouvai désarmé (c'est de la triche ça!) et un frisson me parcourut le dos lorsqu'elle approcha ses lèvres de mon oreille. En entendant ce qu'elle me dit, je tournai les yeux vers elle.
Mais je n'eus pas le temps de faire grand chose que je me prenais déjà les draps à la figure qui me bouchèrent la vue et limitèrent mes mouvements. Du coup, je me retrouvai allongé, la tête au pied du lit.
"Non! A... rrête! C... C'est de la... tri... ches." M'exclamai-je entre deux fous-rires.
J'essayais de me débattre mais j'étais devenu une fajitas humaine et pour bouger c'était donc un peu galère. Je n'arrivais qu'à tourner légèrement à droite et à gauche mais pas de quoi me mettre à l'abri de ses chatouilles.
En désespoir de cause, je fis un peu ce que j'avais fait avec Asuka quand je l'avais faite passer par la fenêtre : je forçai un bon coup pour relever mon bassin et levai la jambe en l'air pour éjecter Azylis hors du lit (bon cette fois, il n'y a pas de fenêtre de l'autre côté donc j'espère qu'elle a de bons réflexes sinon le voisin va entendre des bruits bizarres).
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Azylis Mar 23 Nov - 15:26
Je lui adressai un sourire moqueur.
- De la "triche"? Je ne me rappelle pas qu'on ai imposé des règles...
Il la ramène moins là... Je le regardais se tortiller dans tout les sens pour m'échapper, en vain, tout en riant.
Soudain... je ne compris absolument ce qu'il m'arriva. Je me sentis être soulevée, puis basculée vers l'avant, sans que je puisse me retenir à quoi que ce soit. C'est donc après un salto avant suivis d'une vrille et d'un triple axel... ok, j'ai juste fais une roulade avant... bref, je retombais sur le sol un genoux plié et l'autre jambe tendue. Je restais un moment dans cette position, le temps d'essayer de comprendre ce qui avait pus se passer.
- ... Hey ! Tricheur ! M'écriais-je en me redressant pour ensuite me retourner face au lit, les mains sur les hanches, un air faussement fâché sur le visage.
Je posais mes mains de chaque coté de sa tête, et approchai mon visage du sien.
- Ma vengeance sera terrible... murmurais-je en faisant frôler mes lèvres sur les siennes, avant de les poser pour de bon, mais pas longtemps.
Et un baiser à l'envers, un.
- En plus j'ai de nouveau froid maintenant, râlais-je en me hissant à côté de lui.
Je restais un moment assise les bras croisés à coté de lui, faisant mine de faire la tronche pour de vrai... avant de lui sauter dessus en riant (putain, on aurait dis Azy...).
- Et la vengeance s'applique MAINTENANT !
A cheval sur lui, j'attrapais ses deux poignets avec mes deux mains (ouais... pas comme certains qui arrivent à attraper 2 poignets avec une seule main... tssss) et fondis sur ses lèvres pour les lui mordiller avant de l'embrasser avec un regard malicieux, mais aussi joyeux.
Mais non je ne vais pas le violer, roh... tout de suite...
- De la "triche"? Je ne me rappelle pas qu'on ai imposé des règles...
Il la ramène moins là... Je le regardais se tortiller dans tout les sens pour m'échapper, en vain, tout en riant.
Soudain... je ne compris absolument ce qu'il m'arriva. Je me sentis être soulevée, puis basculée vers l'avant, sans que je puisse me retenir à quoi que ce soit. C'est donc après un salto avant suivis d'une vrille et d'un triple axel... ok, j'ai juste fais une roulade avant... bref, je retombais sur le sol un genoux plié et l'autre jambe tendue. Je restais un moment dans cette position, le temps d'essayer de comprendre ce qui avait pus se passer.
- ... Hey ! Tricheur ! M'écriais-je en me redressant pour ensuite me retourner face au lit, les mains sur les hanches, un air faussement fâché sur le visage.
Je posais mes mains de chaque coté de sa tête, et approchai mon visage du sien.
- Ma vengeance sera terrible... murmurais-je en faisant frôler mes lèvres sur les siennes, avant de les poser pour de bon, mais pas longtemps.
Et un baiser à l'envers, un.
- En plus j'ai de nouveau froid maintenant, râlais-je en me hissant à côté de lui.
Je restais un moment assise les bras croisés à coté de lui, faisant mine de faire la tronche pour de vrai... avant de lui sauter dessus en riant (putain, on aurait dis Azy...).
- Et la vengeance s'applique MAINTENANT !
A cheval sur lui, j'attrapais ses deux poignets avec mes deux mains (ouais... pas comme certains qui arrivent à attraper 2 poignets avec une seule main... tssss) et fondis sur ses lèvres pour les lui mordiller avant de l'embrasser avec un regard malicieux, mais aussi joyeux.
Mais non je ne vais pas le violer, roh... tout de suite...
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par Akira Mar 23 Nov - 19:21
Alleluia, enfin libre! Azylis partie voler... quelque part (à l'envers, ce n'est pas forcément évident de bien calculer son coup) et je pus de nouveau respirer. Je restai un moment allongé à reprendre mon souffle (mine de rien, je n'ai pas eu l'occasion de reprendre mon souffle une seule fois tout à l'heure), les joues rouges. Je me mis à rigoler en fermant les yeux en entendant enfin Azylis (bon au moins, elle n'est pas passée à travers une fenêtre (de toute façon, il en aurait fallu beaucoup pour qu'elle passe à travers une fenêtre vu où on était situé) ni à travers le plancher (ben quoi? Il vient d'être refait et rien ne nous dit que les types de l'entretien avaient fait un parquet solide)).
"Je ne me rappelle pas qu'on ait imposé de règles." Répétai-je en rouvrant les yeux.
Je me défis enfin de ces draps (je ne vais pas dire maudits parce que ce soir, je serai bien content d'être dedans) et allais me redresser mais Azylis était déjà de retour au-dessus de moi. Merde j'aurais dû réagir plus vi... à quoiqu'en fait non (ben si c'est comme ça qu'elle se venge, je crois que je vais lui faire des coups vaches plus souvent).
Elle finit par remonter sur le lit. J'allais (encore) me redresser en commençant à me sentir idiot devant son air boudeur (on dirait qu'elle fait vraiment la tronche là) quand elle m'en empêcha (encore) en remontant sur moi (merde en fait, ce n'était pas ça la vengeance). Je ne pus m'empêcher d'écarquiller les yeux à la façon dont elle m'embrassa, ce n'était pas désagréable, au contraire, mais... quelqu'un débarquait (encore...) et il ou elle s'imaginait direct devant une scène de viol là.
Je lui rendis son baiser quelques secondes avant de pivoter sur le côté pour me retrouver à mon tour au-dessus. Je regardai Azylis avec une mine amusée. Attends, c'était quoi déjà? Ah oui :
"Mince, on n'a pas fermé la porte à clé ni calé le bureau derrière avec la chaise dessus ni fermé les volets et éteint la lumière après avoir déplacé le lit." Dis-je en rigolant en essayant de libérer mes poignets de ses mains.
"Je ne me rappelle pas qu'on ait imposé de règles." Répétai-je en rouvrant les yeux.
Je me défis enfin de ces draps (je ne vais pas dire maudits parce que ce soir, je serai bien content d'être dedans) et allais me redresser mais Azylis était déjà de retour au-dessus de moi. Merde j'aurais dû réagir plus vi... à quoiqu'en fait non (ben si c'est comme ça qu'elle se venge, je crois que je vais lui faire des coups vaches plus souvent).
Elle finit par remonter sur le lit. J'allais (encore) me redresser en commençant à me sentir idiot devant son air boudeur (on dirait qu'elle fait vraiment la tronche là) quand elle m'en empêcha (encore) en remontant sur moi (merde en fait, ce n'était pas ça la vengeance). Je ne pus m'empêcher d'écarquiller les yeux à la façon dont elle m'embrassa, ce n'était pas désagréable, au contraire, mais... quelqu'un débarquait (encore...) et il ou elle s'imaginait direct devant une scène de viol là.
Je lui rendis son baiser quelques secondes avant de pivoter sur le côté pour me retrouver à mon tour au-dessus. Je regardai Azylis avec une mine amusée. Attends, c'était quoi déjà? Ah oui :
"Mince, on n'a pas fermé la porte à clé ni calé le bureau derrière avec la chaise dessus ni fermé les volets et éteint la lumière après avoir déplacé le lit." Dis-je en rigolant en essayant de libérer mes poignets de ses mains.
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Azylis Mar 23 Nov - 22:17
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-En l'espace d'une phrase Akira... tu viens de tout plomber là... marmonnais-je avec un air franchement blasé.
Quand il essaya de libérer ses poignets, je refermais fermement ma prise, avant de les relâcher en lui tirant la langue.
- Aller va... si tu n'as plus envie pour ce soir, je ne vais pas te forcer: je t'ai déjà dis que je ne suis pas encore allée de ce côté de la criminalité
lui dis-je en faisant glisser mon index le long de sa mâchoire avant de faire retomber les mains sur les draps, de chaque côté de ma tête.J'eus un soupire de déception, et fusillais la porte du regard. Elle, vaut mieux pour elle que je ne la recroise pas... (la fille, pas la porte... - -")
- Mais je veux ma vengeaaaaance T.T pleurais-je (non mais je fais semblant, hein !) en lui refaisant face. J'aurais pu me faire suuuuuper mal si je m'étais mal réceptionnée !
Je gardais ma mine pleurnicharde quelque secondes... puis craquais.
- Là j'arrête, je ressemble trop à Azy avec cette expression, non ? - -" Mais... dans tout les cas, je peux squatter ton lit cette nuit? demandais-je avec des yeux emplis d'espoir. J'ai la grosse flemme internationale à l'idée de me monter 3 étages à cette heure pour ensuite me retrouver toute seule... (Azy a du déjà finir son boulot et donc est repartie, et Fenrir fait la tête)
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par Akira Mer 24 Nov - 0:06
Je la regardai avec une mine surprise.
"Parce que t'étais partie pour recommencer, même avec la porte toujours pas verrouillée?" M'étonnai-je.
"Désolé." Lui dis-je avec un sourire d'excuse.
Je ne sais pas comment elle fait mais ce genre de truc, ça me coupe carrément l'envie (et j'ai avalé un aphrodisiaque, c'est pour dire à quel point ce genre de truc me stoppe direct (ce n'est pas ma faute si faire ça à la vue des autres, je n'aime pas ça)) et puis me retrouver dans le genre de position qui peut donner l'impression que je vais me faire violer, ça me bloque pas mal aussi (bon dit comme ça, on dirait que ça m'arrive souvent mais ce n'est pas le cas (déjà que c'est rare quand une fille s'intéresse un minimum à moi)).
Devant son soupire de déception, je posai doucement mes lèvres sur les siennes quelques instants avant de me laisser tomber sur le côté pour atterrir sur le dos à côté d'Azylis. Je tournai les yeux vers elle et la regardai d'un air blasé à sa remarque.
"Si t'étais pas fichue de te réceptionner sous un simple effet de surprise qui n'était pas tellement un effet de surprise, je me demanderais comment t'aurais pu finir Heren Istarion." Rigolai-je.
Je rigolai à sa remarque suivante.
"Un peu oui."
Je la regardai avec une mine surprise puis éclatai de rire en voyant son expression.
"Si ça n'inclue pas le fit que je doive en dégager, pas de soucis." Répondis-je avec un sourire en coin.
"Parce que t'étais partie pour recommencer, même avec la porte toujours pas verrouillée?" M'étonnai-je.
"Désolé." Lui dis-je avec un sourire d'excuse.
Je ne sais pas comment elle fait mais ce genre de truc, ça me coupe carrément l'envie (et j'ai avalé un aphrodisiaque, c'est pour dire à quel point ce genre de truc me stoppe direct (ce n'est pas ma faute si faire ça à la vue des autres, je n'aime pas ça)) et puis me retrouver dans le genre de position qui peut donner l'impression que je vais me faire violer, ça me bloque pas mal aussi (bon dit comme ça, on dirait que ça m'arrive souvent mais ce n'est pas le cas (déjà que c'est rare quand une fille s'intéresse un minimum à moi)).
Devant son soupire de déception, je posai doucement mes lèvres sur les siennes quelques instants avant de me laisser tomber sur le côté pour atterrir sur le dos à côté d'Azylis. Je tournai les yeux vers elle et la regardai d'un air blasé à sa remarque.
"Si t'étais pas fichue de te réceptionner sous un simple effet de surprise qui n'était pas tellement un effet de surprise, je me demanderais comment t'aurais pu finir Heren Istarion." Rigolai-je.
Je rigolai à sa remarque suivante.
"Un peu oui."
Je la regardai avec une mine surprise puis éclatai de rire en voyant son expression.
"Si ça n'inclue pas le fit que je doive en dégager, pas de soucis." Répondis-je avec un sourire en coin.
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par Azylis Mer 24 Nov - 0:40
Je le regardais avec un air de nouveau blasé (je vais avoir des rides si ça continue).
- Il aurait juste fallut que l'un de nous deux se lève pour aller verrouiller... c'est pas bien compliqué. Il suffit de se redresser, s'assoir sur le rebord du lit, se mettre debout, faire... 1... 2... Mmmmh... 5 ou 6 pas? Lever sa main vers le ptit truc qui tourne là, le tourner, rabaisser sa main, faire demi-t... putain, ça m'épuise rien que d'y penser...
Merde, je raisonne comme Léo ! O.O Mauvais... TRÈS mauvais tout ça !!!! Léo, sort de mon corps tout de suite !!!
- Faudrait inventer des serrures qui se verrouillent en appuyant sur le bouton d'une télécommande... ça marche pour les volets, alors pourquoi pas les serrures? Le mec qui invente ça, il deviendrait mon héros quoi... Mais bon, j'avoue que ça m'aurait un peu embêté de devoir salir ton beau parquet tout nouveau avec le sang d'un/une pauvre imbécile parce que mes nerfs auraient lâchés. Qu'importe qu'il/elle soit un/une voyeur/voyeuse ou juste un/une maladroit(e): faut pas charrier non plus.
je lui rendis tout de même son baiser.
- Tu sais qu'on devienne heren ou pas, le corps change pas ! C'est pas parce qu'on est Heren Istarion qu'on devient un combattant hors paire, avec des réflexes hors du commun: ce sont juste nos pouvoirs qui sont révélés à leur maximum. Bon, nos corps deviennent plus résistants, ne serais-ce que pendant nos entrainements pour maitriser notre 3e pouvoir, mais un heren qui est en mode "peace and love in the world my friends"... ou plutôt une petite sainte nitouche qui n'a jamais vu le monde extérieur, ben tu lui aurais fait ça, je pense qu'elle se serait joliement rétamée la pauvre chérie.
Et ça aurait été teeeeellement drôle ! J'aime pas les saintes nitouches: ça cache toujours quelque chose de pas net ce genre de filles.
Quand il dit "oui" pour que je reste, je lui adressais un grand sourire de remerciement (après avoir tiré la tronche lorsqu'il me confirma que j'avais ressemblé à Azy).
- Mais non t'es pas obligé de partir ! De toute façon, je déteste dormir dans un endroit qui n'est pas ma chambre toute seule (D'ailleurs le plus souvent je ne dors même pas).
Je me relevais, et sautai au sol.
- je vais au moins remettre mes sous vêtements, ça fera comme si je portais un maillot de bain... et ça me rappellera l'été pendant qu'il caille à mort dehors, tient (je hais le froid T.T). Je t'envoie ton boxer dès que je le trouve ... en priant pour qu'il soit pas passé sous le lit =_=
J'allais chercher nos affaire, puis...
- Je peux t'emprunter une chemise juste pour la nuit ? demandais-je avec un regard brillant. PRO-MIS je te la vole pas celle là ! Je vais avoir froid sinon... (et j'aime PAS le froid ! Ça caille après)... Mais je ne voudrais pas trop m'imposer non plus...
Je lui adressai cette fois un sourire désolé, consciente que je m'incrustais un peu là...
- Il aurait juste fallut que l'un de nous deux se lève pour aller verrouiller... c'est pas bien compliqué. Il suffit de se redresser, s'assoir sur le rebord du lit, se mettre debout, faire... 1... 2... Mmmmh... 5 ou 6 pas? Lever sa main vers le ptit truc qui tourne là, le tourner, rabaisser sa main, faire demi-t... putain, ça m'épuise rien que d'y penser...
Merde, je raisonne comme Léo ! O.O Mauvais... TRÈS mauvais tout ça !!!! Léo, sort de mon corps tout de suite !!!
- Faudrait inventer des serrures qui se verrouillent en appuyant sur le bouton d'une télécommande... ça marche pour les volets, alors pourquoi pas les serrures? Le mec qui invente ça, il deviendrait mon héros quoi... Mais bon, j'avoue que ça m'aurait un peu embêté de devoir salir ton beau parquet tout nouveau avec le sang d'un/une pauvre imbécile parce que mes nerfs auraient lâchés. Qu'importe qu'il/elle soit un/une voyeur/voyeuse ou juste un/une maladroit(e): faut pas charrier non plus.
je lui rendis tout de même son baiser.
- Tu sais qu'on devienne heren ou pas, le corps change pas !
C'est pas parce qu'on est Heren Istarion qu'on devient un combattant hors paire, avec des réflexes hors du commun: ce sont juste nos pouvoirs qui sont révélés à leur maximum. Bon, nos corps deviennent plus résistants, ne serais-ce que pendant nos entrainements pour maitriser notre 3e pouvoir, mais un heren qui est en mode "peace and love in the world my friends"... ou plutôt une petite sainte nitouche qui n'a jamais vu le monde extérieur, ben tu lui aurais fait ça, je pense qu'elle se serait joliement rétamée la pauvre chérie.Et ça aurait été teeeeellement drôle ! J'aime pas les saintes nitouches: ça cache toujours quelque chose de pas net ce genre de filles.
Quand il dit "oui" pour que je reste, je lui adressais un grand sourire de remerciement (après avoir tiré la tronche lorsqu'il me confirma que j'avais ressemblé à Azy).
- Mais non t'es pas obligé de partir ! De toute façon, je déteste dormir dans un endroit qui n'est pas ma chambre toute seule (D'ailleurs le plus souvent je ne dors même pas).
Je me relevais, et sautai au sol.
- je vais au moins remettre mes sous vêtements, ça fera comme si je portais un maillot de bain... et ça me rappellera l'été pendant qu'il caille à mort dehors, tient (je hais le froid T.T). Je t'envoie ton boxer dès que je le trouve ... en priant pour qu'il soit pas passé sous le lit =_=
J'allais chercher nos affaire, puis...
- Je peux t'emprunter une chemise juste pour la nuit ? demandais-je avec un regard brillant. PRO-MIS je te la vole pas celle là ! Je vais avoir froid sinon... (et j'aime PAS le froid ! Ça caille après)... Mais je ne voudrais pas trop m'imposer non plus...
Je lui adressai cette fois un sourire désolé, consciente que je m'incrustais un peu là...
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Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Akira Mer 24 Nov - 1:41
Mes yeux commencèrent à se fermer d'eux même quand elle énuméra toutes les étapes à faire pour aller simplement verrouiller la porte. Putain, ça n'a pas l'air comme ça mais on en fait des truc pour au final, simplement tourner une clé dans la serrure. Mais en même temps, quelle idée d'énumérer tout ça aussi? Je ne sais pas encore s'il faut du courage pour énumérer tout ça ou si c'est un argument de flemmard pour ne pas faire une corvée (ou alors c'est les deux à la fois).
"Moi aussi." Marmonnai-je d'une voix endormie.
Je la regardai avec de grands yeux ensuite. Comment elle fait pour enchaîner tous ces "il/elle et cie" sans avoir un seul bug? Moi je me serais déjà embrouillé en oubliant la moitié de ce que j'aurais voulu dire à faire ça.
Je rigolai à sa tirade.
"Bah on ne vous fait pas passer une sorte d'épreuve pour passer Heren Istarion? Déjà que pour passer Valar, il faut combattre un autre Valar ou un Heren Istarion (et là, il faut nécessairement un minimum de réflexes pour s'en sortir) alors pour passer Heren Istarion, ça doit être pire, non? Bon après je ne dis pas que leur corps doit être surhumain, je sais que c'est impossible."
Après tout, ils étaient quand même les gérants de cette école, ils devaient quand même être capables de se débrouiller un minimum sans leurs pouvoirs non?
"Roh et puis mince, c'était ça ou les chatouilles." Finis-je par dire en fermant les yeux, prenant un air indifférent.
"Mais sinon, je ne les connais pas spécialement bien mais j'ai l'impression qu'aucun Heren Istarion ne soit "peace and love in the world my friend", si?" Demandai-je.
En tout cas, Azylis et Anikeï, c'est loin d'être le cas et Reia et Farfaya n'ont pas l'air d'être du genre non plus.
"En plus, je me suis demandé un truc : vous n'êtes que quatre en tout? Parce qu'en toute logique, s'il y a un élément par Heren Istarion, vous devriez être sept non?"
Si c'est le cas, peut être qu'un ou plusieurs des trois autres est un "peace and love" qui sait?
J'eus un sourire amusé à sa remarque (et soulagé qu'elle ne me demande pas de virer de mon lit).
"Merci." Répondis-je en priant pour qu'il n'aie effectivement pas atterri sous le lit mais bon, il ne devrait pas être loin du lit en toute logique (ou alors c'est un calbute mobile que j'ai et ce n'était pas précisé dans l'emballage).
J'écarquillai les yeux en voyant son sourire désolé. Wow... elle doit vraiment me considérer (ou du moins un minimum) pour être désolée en me demandant ça quand même (mais si c'est surprenant, c'est flatteur en tout cas).
"Vas-y." Lui dis-je avec un sourire.
J'en profitai pour vite fait sortir du lit et me diriger vers la salle de bain pour enfiler mon pantalon de nuit noir et un t-shirt noir avec le kanji de Katana en son centre. Je revins ensuite dans la chambre.
"Moi aussi." Marmonnai-je d'une voix endormie.
Je la regardai avec de grands yeux ensuite. Comment elle fait pour enchaîner tous ces "il/elle et cie" sans avoir un seul bug? Moi je me serais déjà embrouillé en oubliant la moitié de ce que j'aurais voulu dire à faire ça.
Je rigolai à sa tirade.
"Bah on ne vous fait pas passer une sorte d'épreuve pour passer Heren Istarion? Déjà que pour passer Valar, il faut combattre un autre Valar ou un Heren Istarion (et là, il faut nécessairement un minimum de réflexes pour s'en sortir) alors pour passer Heren Istarion, ça doit être pire, non? Bon après je ne dis pas que leur corps doit être surhumain, je sais que c'est impossible."
Après tout, ils étaient quand même les gérants de cette école, ils devaient quand même être capables de se débrouiller un minimum sans leurs pouvoirs non?
"Roh et puis mince, c'était ça ou les chatouilles." Finis-je par dire en fermant les yeux, prenant un air indifférent.
"Mais sinon, je ne les connais pas spécialement bien mais j'ai l'impression qu'aucun Heren Istarion ne soit "peace and love in the world my friend", si?" Demandai-je.
En tout cas, Azylis et Anikeï, c'est loin d'être le cas et Reia et Farfaya n'ont pas l'air d'être du genre non plus.
"En plus, je me suis demandé un truc : vous n'êtes que quatre en tout? Parce qu'en toute logique, s'il y a un élément par Heren Istarion, vous devriez être sept non?"
Si c'est le cas, peut être qu'un ou plusieurs des trois autres est un "peace and love" qui sait?
J'eus un sourire amusé à sa remarque (et soulagé qu'elle ne me demande pas de virer de mon lit).
"Merci." Répondis-je en priant pour qu'il n'aie effectivement pas atterri sous le lit mais bon, il ne devrait pas être loin du lit en toute logique (ou alors c'est un calbute mobile que j'ai et ce n'était pas précisé dans l'emballage).
J'écarquillai les yeux en voyant son sourire désolé. Wow... elle doit vraiment me considérer (ou du moins un minimum) pour être désolée en me demandant ça quand même (mais si c'est surprenant, c'est flatteur en tout cas).
"Vas-y." Lui dis-je avec un sourire.
J'en profitai pour vite fait sortir du lit et me diriger vers la salle de bain pour enfiler mon pantalon de nuit noir et un t-shirt noir avec le kanji de Katana en son centre. Je revins ensuite dans la chambre.
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par Azylis Mer 24 Nov - 12:03
- Pour passer valar, on est pas obligé de "combattre" un valar ou un heren, mais il faut bel et bien l'affronter: il faut réussir l'épreuve qu'il a imposé. Par exemple, mon maitre (l'ancien Heren Istarion bois) n'était pas un adepte de tous ce qui est violence physique (même si des fois je m'en suis pris des bonnes, mais seulement lorsque j'allais trop loin) et n'aimait pas tellement les armes. Du coup, si je me souviens bien, un jour il a fait passé un élève en lui demandant de récupérer l'objet précieux qu'il lui avait subtilisé, mais en utilisant uniquement ses pouvoirs. Il me semble que le type en question était un morphe et maitrisait l'eau. Mais mon maitre ne lui a pas fait de fleurs (sans mauvais jeu de mots) et le gars en a chié pour récupérer son... couteau suisse il me semble. Il avait créé une gigantesque forêt ronces (qui avait envahi toute l'arène d'ailleurs), des fleurs au pollen irritant (pire qu'une bombe lacrymo), des plantes ressemblant à de grosses orties etc... il s'était arrangé pour que le gars soit obligé d'user de son morphing pour passer dans les interstices, de l'eau pour se protéger, et ensuite il l'a contraint à fusionner avec son espèce de goéland pour l'atteindre par au dessus. Mais à aucun moment mon maitre n'a répliqué: il favorisait la réflexion aux combats de bourrins. Mais il savait aussi s'adapter au caractère du personnage qui le défiait, et s'il était encore en vie aujourd'hui et que tu le défiais, je n'ai aucun doute sur le fait qu'il t'imposerait une situation où tu devrais réfléchir à 2 fois avant d'agir, n'hésitant pas à te faire payer sévèrement tes erreurs. Car il était certes très gentils (et encore, c'est un euphémisme), mais vachement sévère dans ses entrainements ou défis, et il était d'ailleurs assez peu souvent défié, car il ne laissait jamais passer quelqu'un qui échouait. Mais il l'encourageait toujours à persévérer dans ses efforts, n'hésitant pas à lui dire où ça avait pécher etc... et n'acceptait aucune moqueries de la part du publique. Il est clair et net que tu n'en serais pas sortit sans égratignures. En fait, j'aime bien dire qu'il est un véritable démons sous les traits d'un ang...
Je réalisais alors que que je m'étais peu être un peu emportée sur le coup, mes paroles se déversant aussi facilement et rapidement qu'un cours d'eau.
- Sorry, je dois t'ennuyer avec mon histoire: je crois que j'ai un peu dévié du sujet initial ! Dis-je en riant. Mais j'ai tendance à vite m'emporter quand il s'agit de mon maitre Bref, tout ça pour dire qu'un combat n'est pas automatique, même si c'est la solution la plus répandue pour faire passer un élève Valar. En fait, 3/4 des passages valars se font comme ça
Il est vrai que j'ai vachement de mal à imaginer Anikei en mode "Peace and love my friends"... de toute façon, "love" et "friends" sont antinomiques avec "Anikei".
Lorsqu'il fit dévier la conversation au sujet des trois Heren restants, je dus faire un incroyable effort de volonté pour garder la même expression que quelques secondes plus tôt, ignorant les battements à présent douloureux de mon coeur.
- En effet, il en manque trois, mais ils sont partis en vadrouille quelque part et on ignore où. Je suppose qu'ils doivent passer du bon temps, il est préférable que tu les oublies puisqu'il y a très peu de chance que tu les rencontres un jour.
Alors là, chapeau Azy! Tu es parvenue à garder une expression et un ton de voix "normal", si on oublie le débit un peu trop rapide. Mais bon, personne n'est parfait.
- Mais pour répondre à ta question, personne dans le lots n'est "peace and love my friends", puisque c'est ton interrogation principale.
Vite enchainons, enchainons... j'allais rapidement ramasser nos affaires en lui tournant le dos, et il en profita pour aller dans sa salle de bain, à mon grand soulagement. Lorsque la porte de la saldo se referma derrière lui, je lâchais un long soupire en m'asseyant sur le bord du lit. Zen Azy... Calme toi... tu as bien réagis tout à l'heure alors détends toi. Oublie le encore un peu, du moins tant qu'on a pas de leur nouvelles, car une fois que ce sera fait, les choses deviendront plus compliquées...
Une fois que j'eus retrouvé mon calme, je retournais à la recherche de nos fringues, repérant le caleçon d'Akira en même temps que son jean (c'est à dire en vrac presque sous le lits) et le Tee shirt du coté de la fenêtre. Pour moi ce fut vite réglé, car le rouge, on pouvait difficilement le rater. Je rassemblais donc nos affaires sur sa chaise, puis me dirigeais vers son placard pour trouver la dite chemise. J'en pris une noire qui, quand je l'eus enfilée, m'arrivait à mi cuisse et me couvrait presque la moitié de la main. Je me tournais vers Akira qui venait de revenir, et après avoir fermé quelques boutons, j'écartais les bras pour lui montrer le résultat.
- C'est à croire que j'ai rétrécis au lavage ! plaisantais-je. J'espère que j'ai pas perdu en poitrine, sinon je vais me vexer! Au moins, t'es rassuré que je te la piquerais pas celle là: trop grande !
Je réalisais alors que que je m'étais peu être un peu emportée sur le coup, mes paroles se déversant aussi facilement et rapidement qu'un cours d'eau.
- Sorry, je dois t'ennuyer avec mon histoire: je crois que j'ai un peu dévié du sujet initial ! Dis-je en riant. Mais j'ai tendance à vite m'emporter quand il s'agit de mon maitre
Bref, tout ça pour dire qu'un combat n'est pas automatique, même si c'est la solution la plus répandue pour faire passer un élève Valar. En fait, 3/4 des passages valars se font comme ça Il est vrai que j'ai vachement de mal à imaginer Anikei en mode "Peace and love my friends"... de toute façon, "love" et "friends" sont antinomiques avec "Anikei".
Lorsqu'il fit dévier la conversation au sujet des trois Heren restants, je dus faire un incroyable effort de volonté pour garder la même expression que quelques secondes plus tôt, ignorant les battements à présent douloureux de mon coeur.
- En effet, il en manque trois, mais ils sont partis en vadrouille quelque part et on ignore où. Je suppose qu'ils doivent passer du bon temps, il est préférable que tu les oublies puisqu'il y a très peu de chance que tu les rencontres un jour.
Alors là, chapeau Azy! Tu es parvenue à garder une expression et un ton de voix "normal", si on oublie le débit un peu trop rapide. Mais bon, personne n'est parfait.
- Mais pour répondre à ta question, personne dans le lots n'est "peace and love my friends", puisque c'est ton interrogation principale.
Vite enchainons, enchainons... j'allais rapidement ramasser nos affaires en lui tournant le dos, et il en profita pour aller dans sa salle de bain, à mon grand soulagement. Lorsque la porte de la saldo se referma derrière lui, je lâchais un long soupire en m'asseyant sur le bord du lit. Zen Azy... Calme toi... tu as bien réagis tout à l'heure alors détends toi. Oublie le encore un peu, du moins tant qu'on a pas de leur nouvelles, car une fois que ce sera fait, les choses deviendront plus compliquées...
Une fois que j'eus retrouvé mon calme, je retournais à la recherche de nos fringues, repérant le caleçon d'Akira en même temps que son jean (c'est à dire en vrac presque sous le lits) et le Tee shirt du coté de la fenêtre. Pour moi ce fut vite réglé, car le rouge, on pouvait difficilement le rater. Je rassemblais donc nos affaires sur sa chaise, puis me dirigeais vers son placard pour trouver la dite chemise. J'en pris une noire qui, quand je l'eus enfilée, m'arrivait à mi cuisse et me couvrait presque la moitié de la main. Je me tournais vers Akira qui venait de revenir, et après avoir fermé quelques boutons, j'écartais les bras pour lui montrer le résultat.
- C'est à croire que j'ai rétrécis au lavage ! plaisantais-je. J'espère que j'ai pas perdu en poitrine, sinon je vais me vexer! Au moins, t'es rassuré que je te la piquerais pas celle là: trop grande !
Azylis- Messages : 1209
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Feuille de personnage
Âge: Va savoir... j'ai la jeunesse éternelle !
Pouvoirs: Je guéris et me multiplie !
Animae: Tu vois le beau loups gris là bas, qui pourrait te bouffer en une bouchée ? Ben c'est lui ! :3
Re: {/!\} ... Régler une petite dette, ça te tente? =_=
par Akira Mer 24 Nov - 17:11
"Ah d'accord, j'avais compris qu'il fallait forcément le combattre."
Par contre, je haussai les sourcils lorsqu'elle me parla de son maître. C'était la première fois que j'entendais parler d'un ancien Heren Istarion (en même temps, vu l'âge d'Azylis (non je ne m'en suis toujours pas remis), il fallait bien qu'il y ait eu un autre Heren Istarion de Bois avant elle) et surtout du fait qu'Azylis avait eu un maître.
Quand elle me décrivit le caractère de son maître, je ne sais pas pourquoi mais j'eus l'image d'Hishigi qui me vint en tête, quoique si je sais pourquoi : gentil (sérieux, je n'arrive pas à l'imaginer s'énerver un jour), plus poussé sur la réflexion (vu qu'il est intelligent, il doit donc super bien réfléchir) et quand même capable de nous faire nous blesser assez gravement (il s'est retenu pendant nos entraînements au katana mais si un jour il s'y met vraiment, je crois que je vais me rappeler du voyage) c'était comme ça que je voyais Hishigi.
Je ne pus retenir une grimace de dégoût. Elle au moins, elle a eu de la chance, elle est tombée sur quelqu'un de gentil alors qu'Anikeï, non seulement il me force à réfléchir (et pas spécialement sur des points sur lesquels tout le monde réfléchirait (en même temps je crois qu'il n'y a que lui qui déteste les gens au point d'avoir des raisonnements pareils)), niveau blessures reçues, même plus besoin de se demander s'il est sévère ou non niveau punition (quoique là, c'est plus du sadisme qu'autre chose, ce n'est même plus du niveau punition à cause d'une erreur) mais en plus je me demande s'il a un jour entendu le mot "gentil" dans sa vie.
J'eus un sourire, pas moqueur ni amusé, juste un sourire doux en la voyant parler de lui comme ça. Ça se voyait que non seulement elle le respectait mais en plus avait (vu qu'apparemment il est mort) tenu à lui et c'est rare (c'est même la première fois pour moi) de voir Azylis parler de quelqu'un ainsi. Je lui fis un sourire rassurant lorsqu'elle s'excusa.
"C'est rien, t'as pas à t'excuser, au contraire je trouve ça intéressant."
Je me demande si quand on affronte Hishigi, il nous fait combattre ou s'il nous fait des exercices plus poussés sur la réflexion (ce serait l'occasion de voir si les entraînements avec Anikeï (enfin si je ne claque pas pendant l'un d'eux, ça peut aider) auront réussi à mieux me faire réfléchir ou juste à encaisser les coups et connaître les joies de se retrouver avec des membres en moins).
"En tout cas, ça avait l'air d'être quelqu'un de bien." Lui dis-je avec un sourire.
Je me demande si tous les Heren Istarion actuels ont été les élèves des anciens Heren Ista... ouais non en fait, j'ai du mal à Le voir sous les ordres d'un quelconque maître, d'ailleurs je n'arrive même pas à l'imaginer Ancale ni Istari ni Valar. Enfin, c'est sûr que quand on est l'élève d'un Heren Istarion, on devient vite le plus prédisposé pour lui succéder, si ça se trouve Asuka deviendra la prochaine Heren Istarion de Tonnerre (moi, vu comment je suis infichu de progresser tout seul ni même de comprendre comment fonctionne mon pouvoir chez moi, ce n'est même pas la peine de m'imaginer succéder à Anikeï ou Farfaya un jour).
Je la regardai avec une mine légèrement surprise lorsqu'elle me répondit au sujet des trois autres Heren Istarion. Ils sont partis comme ça on ne sait où, ils ne reviendront donc probablement jamais et c'est tout? Ils nous font tout un foin pour une malheureuse balade dans les couloirs la nuit (pire que dans Harry Potter, je suis sûr qu'ils pourraient, ils mettraient des préfets en vadrouille la nuit pour nous empêcher de sortir) et quand trois dirigeants de l'école quittent cette dernière pour juste prendre du bon temps... c'est normal. Ils ont vraiment une organisation space ici (et à moins d'une super bonne raison vitale, dénuée de bon sens sur certains points).
Lorsque je revins dans la chambre, je ne retins pas une mine amusée en voyant la tenue d'Azylis.
"Non t'as pas perdu en poitrine, je te rassure. Et mine de rien, ça te va bien je trouve." Lui dis-je avec un sourire en coin en la regardant de bas en haut.
Je posai mon poing contre ma bouche pour étouffer un bâillement puis me laissai tomber sur mon lit, atterrissant dessus sur le dos.
Par contre, je haussai les sourcils lorsqu'elle me parla de son maître. C'était la première fois que j'entendais parler d'un ancien Heren Istarion (en même temps, vu l'âge d'Azylis (non je ne m'en suis toujours pas remis), il fallait bien qu'il y ait eu un autre Heren Istarion de Bois avant elle) et surtout du fait qu'Azylis avait eu un maître.
Quand elle me décrivit le caractère de son maître, je ne sais pas pourquoi mais j'eus l'image d'Hishigi qui me vint en tête, quoique si je sais pourquoi : gentil (sérieux, je n'arrive pas à l'imaginer s'énerver un jour), plus poussé sur la réflexion (vu qu'il est intelligent, il doit donc super bien réfléchir) et quand même capable de nous faire nous blesser assez gravement (il s'est retenu pendant nos entraînements au katana mais si un jour il s'y met vraiment, je crois que je vais me rappeler du voyage) c'était comme ça que je voyais Hishigi.
Je ne pus retenir une grimace de dégoût. Elle au moins, elle a eu de la chance, elle est tombée sur quelqu'un de gentil alors qu'Anikeï, non seulement il me force à réfléchir (et pas spécialement sur des points sur lesquels tout le monde réfléchirait (en même temps je crois qu'il n'y a que lui qui déteste les gens au point d'avoir des raisonnements pareils)), niveau blessures reçues, même plus besoin de se demander s'il est sévère ou non niveau punition (quoique là, c'est plus du sadisme qu'autre chose, ce n'est même plus du niveau punition à cause d'une erreur) mais en plus je me demande s'il a un jour entendu le mot "gentil" dans sa vie.
J'eus un sourire, pas moqueur ni amusé, juste un sourire doux en la voyant parler de lui comme ça. Ça se voyait que non seulement elle le respectait mais en plus avait (vu qu'apparemment il est mort) tenu à lui et c'est rare (c'est même la première fois pour moi) de voir Azylis parler de quelqu'un ainsi. Je lui fis un sourire rassurant lorsqu'elle s'excusa.
"C'est rien, t'as pas à t'excuser, au contraire je trouve ça intéressant."
Je me demande si quand on affronte Hishigi, il nous fait combattre ou s'il nous fait des exercices plus poussés sur la réflexion (ce serait l'occasion de voir si les entraînements avec Anikeï (enfin si je ne claque pas pendant l'un d'eux, ça peut aider) auront réussi à mieux me faire réfléchir ou juste à encaisser les coups et connaître les joies de se retrouver avec des membres en moins).
"En tout cas, ça avait l'air d'être quelqu'un de bien." Lui dis-je avec un sourire.
Je me demande si tous les Heren Istarion actuels ont été les élèves des anciens Heren Ista... ouais non en fait, j'ai du mal à Le voir sous les ordres d'un quelconque maître, d'ailleurs je n'arrive même pas à l'imaginer Ancale ni Istari ni Valar. Enfin, c'est sûr que quand on est l'élève d'un Heren Istarion, on devient vite le plus prédisposé pour lui succéder, si ça se trouve Asuka deviendra la prochaine Heren Istarion de Tonnerre (moi, vu comment je suis infichu de progresser tout seul ni même de comprendre comment fonctionne mon pouvoir chez moi, ce n'est même pas la peine de m'imaginer succéder à Anikeï ou Farfaya un jour).
Je la regardai avec une mine légèrement surprise lorsqu'elle me répondit au sujet des trois autres Heren Istarion. Ils sont partis comme ça on ne sait où, ils ne reviendront donc probablement jamais et c'est tout? Ils nous font tout un foin pour une malheureuse balade dans les couloirs la nuit (pire que dans Harry Potter, je suis sûr qu'ils pourraient, ils mettraient des préfets en vadrouille la nuit pour nous empêcher de sortir) et quand trois dirigeants de l'école quittent cette dernière pour juste prendre du bon temps... c'est normal. Ils ont vraiment une organisation space ici (et à moins d'une super bonne raison vitale, dénuée de bon sens sur certains points).
Lorsque je revins dans la chambre, je ne retins pas une mine amusée en voyant la tenue d'Azylis.
"Non t'as pas perdu en poitrine, je te rassure. Et mine de rien, ça te va bien je trouve." Lui dis-je avec un sourire en coin en la regardant de bas en haut.
Je posai mon poing contre ma bouche pour étouffer un bâillement puis me laissai tomber sur mon lit, atterrissant dessus sur le dos.
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