Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
2 participants
Page 2 sur 3
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
"Pas avant que t'es cr..."
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'elle m'atirais à elle.
Surpris, je faillis tomber en avant sur elle. Ca aurait été dommage.
Quans ses lèvres se posèrent sur les miennes, je sentis un courrant électrique passer le long de ma colone vertébrale et au lieu de mettre fin à se jeu stupide, je lui rendis son baiser, avec au moins autant de ferveur.
Je cédais.
Me laissant envirer par son parfum, sa peau si douce, ses lèvres au gout sucrée, je fermais les yeux et refermais mes bras autour de ses épaules, passant une main dans ses cheveux.
Je me rappelais vaguement que dans peu de temps, je ne serais plus de se monde, que ma présence lui imposait cette réalité.
Que la sienne me l'imposait.
Que je la forçais à assister à mon agonie, alors que je devrais être loin très loin, pour tenter de l'épargner.
Mais la force de son baiser, le gout de ses lèvres chassèrent ses pensées d'un rever.
Je devenais fou, mon coeur battais si vite que je cru qu'il allait sortir de ma poitrine.
Qu'importe de toute façon puisqu'il lui appartenait.
Quand elle mis fin à notre baiser, je la lachais et reculais chancelant, le souffle cour.
Et un sourire idiot sur les lèvres, je secouais la tête pour le remplacé par un sourire amusé.
Oubliant tous se qui nous séparait, je m'avançais de nouveau, reprenant ma place, j'en redemandai.
"Ca ne répond toujours pas à ma question..." soufflais à son oreille.
Du bout du doigt, je suivis le dessin de son bras depuis son épaule jusqu'à sa main a côté de la sienne.
"Elle est pourtant pass compliqué." murmurais-je, effleureant de plus près sa peau, qui m'attirait comme un aimant.
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'elle m'atirais à elle.
Surpris, je faillis tomber en avant sur elle. Ca aurait été dommage.
Quans ses lèvres se posèrent sur les miennes, je sentis un courrant électrique passer le long de ma colone vertébrale et au lieu de mettre fin à se jeu stupide, je lui rendis son baiser, avec au moins autant de ferveur.
Je cédais.
Me laissant envirer par son parfum, sa peau si douce, ses lèvres au gout sucrée, je fermais les yeux et refermais mes bras autour de ses épaules, passant une main dans ses cheveux.
Je me rappelais vaguement que dans peu de temps, je ne serais plus de se monde, que ma présence lui imposait cette réalité.
Que la sienne me l'imposait.
Que je la forçais à assister à mon agonie, alors que je devrais être loin très loin, pour tenter de l'épargner.
Mais la force de son baiser, le gout de ses lèvres chassèrent ses pensées d'un rever.
Je devenais fou, mon coeur battais si vite que je cru qu'il allait sortir de ma poitrine.
Qu'importe de toute façon puisqu'il lui appartenait.
Quand elle mis fin à notre baiser, je la lachais et reculais chancelant, le souffle cour.
Et un sourire idiot sur les lèvres, je secouais la tête pour le remplacé par un sourire amusé.
Oubliant tous se qui nous séparait, je m'avançais de nouveau, reprenant ma place, j'en redemandai.
"Ca ne répond toujours pas à ma question..." soufflais à son oreille.
Du bout du doigt, je suivis le dessin de son bras depuis son épaule jusqu'à sa main a côté de la sienne.
"Elle est pourtant pass compliqué." murmurais-je, effleureant de plus près sa peau, qui m'attirait comme un aimant.
Dernière édition par Edward le Ven 4 Juin - 20:14, édité 3 fois
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Hors d'haleine, encore tremblante, je baissais la tête jusqu'à la poser dans mes bras. Je lâchais définitivement mon stylo, tentant désespérement de m'empêcher de me jeter sur lui. Je n'en avais pas le droit...ou plutôt, je n'en avais plus le droit. La force de notre baiser était encore palpable, bien plus dangeureusement ennvivrant que n'importe quel Saké. J'aurais donné absolument n'importe quoi pour pouvoir, pour avoir le droit de lui céder, là, maintenant, tout de suite. Je désirais son corps, son âme, sa chair, son esprit, je le désirais tout entier, rien qu'à moi, pour toujours...mais c'était ce même égoïsme qui faisait que nous en étions là aujourd'hui. Et j'avais beau souffrir, c'était lui qui payait le prix fort...
Le coeur battant la chamade, je ne parvenais pas à me calmer, obnubilée par le souvenir de ses lèvres, désireuse d'y goûter encore, et encore, et encore...Mais qu'elle idée j'avais eu là ?! C'était la deuxième fois que je l'embrassais, sachant que la première fois, j'avais volontairement abusé du saké...c'était ce qui nous avait sauvés. Mais là, pas de Saké pour nous arrêter...Il fallait que l'un de nous deux fasse cesser ce jeu qui nous détruirait à long terme, mais aucun de nous n'en avait l'envie...bien au contraire. Je joue avec lui, et il en redemande...lequel d'entre nous est le plus fou ?...
Je frissonnais lorsque son souffle effleura à nouveau mon cou, crispant mes poings sur la table, je me mordis la lèvre pour retenir un gémissement. C'était ma responssabilité que de faire cesser ce jeu. Je devais le protéger à tout prix...
- A-rrête...je ne...veux pas...répondre...murmurais-je avec difficulté, alors qu'il faisait glisser son index le long de mon bras, m'arrachant de nouveaux frissons.
Tout mon corps me hurlait de céder là, maintenant. Son souffle dans mon cou, ses mains sur ma peau, dans mes cheveux, les battement de son coeur, aussi affolé que le mien...Je me mordit la lèvre, et le goût métallique du sang m'éclaircit légèrement les idées, mais si peu...je me forçais à rester immobile, les poings serrés, tremblante...folle de lui.
- C'est bon, t'as gagné, soufflais-je douloureusement. Je...l'ai mise...en colère...j't'en supplie, arrête...dis-je, luttant de toutes mes forces pour ne pas lui sauter dessus.
Le coeur battant la chamade, je ne parvenais pas à me calmer, obnubilée par le souvenir de ses lèvres, désireuse d'y goûter encore, et encore, et encore...Mais qu'elle idée j'avais eu là ?! C'était la deuxième fois que je l'embrassais, sachant que la première fois, j'avais volontairement abusé du saké...c'était ce qui nous avait sauvés. Mais là, pas de Saké pour nous arrêter...Il fallait que l'un de nous deux fasse cesser ce jeu qui nous détruirait à long terme, mais aucun de nous n'en avait l'envie...bien au contraire. Je joue avec lui, et il en redemande...lequel d'entre nous est le plus fou ?...
Je frissonnais lorsque son souffle effleura à nouveau mon cou, crispant mes poings sur la table, je me mordis la lèvre pour retenir un gémissement. C'était ma responssabilité que de faire cesser ce jeu. Je devais le protéger à tout prix...
- A-rrête...je ne...veux pas...répondre...murmurais-je avec difficulté, alors qu'il faisait glisser son index le long de mon bras, m'arrachant de nouveaux frissons.
Tout mon corps me hurlait de céder là, maintenant. Son souffle dans mon cou, ses mains sur ma peau, dans mes cheveux, les battement de son coeur, aussi affolé que le mien...Je me mordit la lèvre, et le goût métallique du sang m'éclaircit légèrement les idées, mais si peu...je me forçais à rester immobile, les poings serrés, tremblante...folle de lui.
- C'est bon, t'as gagné, soufflais-je douloureusement. Je...l'ai mise...en colère...j't'en supplie, arrête...dis-je, luttant de toutes mes forces pour ne pas lui sauter dessus.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je la sentais trembler sous mes carresses. Je l'entendais soupirais, résistant aux légers baisers que je ne pouvais m'empecher de poser sur la peau de ses épaules nues.
Désireux de gouter encore ses lèvres sucrées, sentir son souffle dans ma bouche, ses mains sur ma peau brulante.
Je voulais avoir le droit de gouter sa peau dont j'imaginais déjà le gout fruité.
Je voulais avoir le droit de sentir son corps contre le mien.
Je me consumais littéralement de désir, voulant m'appropier se qui la faisait corps et âme, pour toujours.
Plus rien ne se mettait entre elle est moi, plus aucune excuse externe pour nous éloigner. Du moins, c'est se que je me répétais, luttant avec ma Raison qui me hurlait que c'était lui imposer la pire des tortures.
Mais je ne pouvais plus écouter ma Raison car Elle me l'avait volé quand elle m'avait offert se baiser.
Celui que je n'étais juré de ne jamais accepter.
Posant ma main sur la sienne, j'entrelaçais nos doigts, serrant certainement trop fort.
J'entendis à peine sa réponse, je savais que j'avais raison, Reia n'aurait pu lui dire que sous le coup de la colère. Mais je m'en fichais. Je m'en fichais royalement.
Tout ce que je voulais, était là devant moi si proche qu'il suffirait d'un pas pour l'avoir.
Mais elle me résistais, ce qui me faisait qu'attiser un peu plus ma folie et mon désir.
Je posais ma tête contre son épaule, haletant, j'inspirais à fond son parfum, posant un nouveau baiser sur sa peau.
Ses suplications ne maintenaient lucide qu'une toute petite partie de mon esprit, juste assez pour lui demander de l'aide.
"J'en suis...In...capa...ble...Trop tard..." souflais-je.
Je serais un peu plus sa main dans la mienne.
Souffrant de la résistance qu'elle m'opposait.
Souffrant de la comprendre et de devoir m'imposer la même.
Luttant désespérement pour y arriver. Je fermais douloureusement les yeux et relvais la tête, carressant son cou du bout du nez, j'appuyais ma tête contre la sienne.
"Si tu... sa...vais comme...je ...je t'aime..." soupirais-je, plus pour moi que pour elle, mais elle ne pouvait faire autrement que l'entendre.
Désireux de gouter encore ses lèvres sucrées, sentir son souffle dans ma bouche, ses mains sur ma peau brulante.
Je voulais avoir le droit de gouter sa peau dont j'imaginais déjà le gout fruité.
Je voulais avoir le droit de sentir son corps contre le mien.
Je me consumais littéralement de désir, voulant m'appropier se qui la faisait corps et âme, pour toujours.
Plus rien ne se mettait entre elle est moi, plus aucune excuse externe pour nous éloigner. Du moins, c'est se que je me répétais, luttant avec ma Raison qui me hurlait que c'était lui imposer la pire des tortures.
Mais je ne pouvais plus écouter ma Raison car Elle me l'avait volé quand elle m'avait offert se baiser.
Celui que je n'étais juré de ne jamais accepter.
Posant ma main sur la sienne, j'entrelaçais nos doigts, serrant certainement trop fort.
J'entendis à peine sa réponse, je savais que j'avais raison, Reia n'aurait pu lui dire que sous le coup de la colère. Mais je m'en fichais. Je m'en fichais royalement.
Tout ce que je voulais, était là devant moi si proche qu'il suffirait d'un pas pour l'avoir.
Mais elle me résistais, ce qui me faisait qu'attiser un peu plus ma folie et mon désir.
Je posais ma tête contre son épaule, haletant, j'inspirais à fond son parfum, posant un nouveau baiser sur sa peau.
Ses suplications ne maintenaient lucide qu'une toute petite partie de mon esprit, juste assez pour lui demander de l'aide.
"J'en suis...In...capa...ble...Trop tard..." souflais-je.
Je serais un peu plus sa main dans la mienne.
Souffrant de la résistance qu'elle m'opposait.
Souffrant de la comprendre et de devoir m'imposer la même.
Luttant désespérement pour y arriver. Je fermais douloureusement les yeux et relvais la tête, carressant son cou du bout du nez, j'appuyais ma tête contre la sienne.
"Si tu... sa...vais comme...je ...je t'aime..." soupirais-je, plus pour moi que pour elle, mais elle ne pouvait faire autrement que l'entendre.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je me consummais totalement sous la caresse des baisers qu'il déposait sur mes épaules et dans mon cou, chaque baisers plus doux que le précédent, chacun plus dangeureux que l'autre. Et regrettant chaque fois un peu plus mon égoïsme et ma bêtise...Car à cet instant précis, je savais que s'il ne m'avait avoué son secret, j'aurais cédé, je n'aurais pu que céder, puisque je ne désirais plus que cela...
Mais à présent que je savais, je ne pouvais lui céder dans ces conditions, car même si chaque baisers, chaque caresses lui prouverait le contraire, il ne pourrait surement s'empêcher de se demander si j'avais accepté parce que je savais qu'il allait mourir...Car il allait mourir, et cette vérité me frappa plus durement qu'un coup à l'estomac, et je ne pu retenir un gémissement de douleur alors qu'il entrelaçait avec force sa main sur la mienne. Dans peu de temps, il disparaitrait, et plus jamais je ne viendrais le voir dans sa chambre à des heures pas possibles...plus jamais il ne me taquinerait en s'amusant de me voir rougir...plus jamais il ne se tiendrait là, près de moi et pourtant si loin, brûlant d'un désir que je partageais sans pouvoir céder...
Je ramenais sa main contre moi, la serrant de toutes mes forces comme si ce simple geste pouvait permettre qu'il soit épargné, et qu'il puisse rester avec moi, pour toujours...
- Noooon...il n'est pas...encore trop tard, s'il te plait...je t'en supplie...gémis-je, épuisée par ce combat qui allait nous rendre fous.
Mais incapable d'ajouter quoi que ce soit lorsqu'il reprit ses caresses, avant d'appuyer sa tête contre la mienne pour murmurer...ces mots...C'était la première fois qu'il me les disait, la première fois qu'il osait formuler aussi clairement ses sentiments, et mon coeur affolé louppa soudain un ou deux battement tellement j'étais à la fois surprise, heureuse...et folle de douleur. Car moi, je n'avais plus le droit de dire ces mots, qui pourtant me brûlaient les lèvres...Une larme roula sur ma joue, suivit d'une autre, et encore une autre, et un sanglot serra ma poitrine. Gémissant de douleur, je serrais plus fort sa main contre moi, avant de me retourner vivement pour me jeter à son cou.
- Nooon tais-toi...ne dit pas ça, je t'en prie, ne dit pas ça...suppliais-je, le visage enfouis dans son cou, mes mains crispées sur son kimono, sans plus contrôler ni mon désir, ni ma douleur...
Mais à présent que je savais, je ne pouvais lui céder dans ces conditions, car même si chaque baisers, chaque caresses lui prouverait le contraire, il ne pourrait surement s'empêcher de se demander si j'avais accepté parce que je savais qu'il allait mourir...Car il allait mourir, et cette vérité me frappa plus durement qu'un coup à l'estomac, et je ne pu retenir un gémissement de douleur alors qu'il entrelaçait avec force sa main sur la mienne. Dans peu de temps, il disparaitrait, et plus jamais je ne viendrais le voir dans sa chambre à des heures pas possibles...plus jamais il ne me taquinerait en s'amusant de me voir rougir...plus jamais il ne se tiendrait là, près de moi et pourtant si loin, brûlant d'un désir que je partageais sans pouvoir céder...
Je ramenais sa main contre moi, la serrant de toutes mes forces comme si ce simple geste pouvait permettre qu'il soit épargné, et qu'il puisse rester avec moi, pour toujours...
- Noooon...il n'est pas...encore trop tard, s'il te plait...je t'en supplie...gémis-je, épuisée par ce combat qui allait nous rendre fous.
Mais incapable d'ajouter quoi que ce soit lorsqu'il reprit ses caresses, avant d'appuyer sa tête contre la mienne pour murmurer...ces mots...C'était la première fois qu'il me les disait, la première fois qu'il osait formuler aussi clairement ses sentiments, et mon coeur affolé louppa soudain un ou deux battement tellement j'étais à la fois surprise, heureuse...et folle de douleur. Car moi, je n'avais plus le droit de dire ces mots, qui pourtant me brûlaient les lèvres...Une larme roula sur ma joue, suivit d'une autre, et encore une autre, et un sanglot serra ma poitrine. Gémissant de douleur, je serrais plus fort sa main contre moi, avant de me retourner vivement pour me jeter à son cou.
- Nooon tais-toi...ne dit pas ça, je t'en prie, ne dit pas ça...suppliais-je, le visage enfouis dans son cou, mes mains crispées sur son kimono, sans plus contrôler ni mon désir, ni ma douleur...
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je sentais sa peau brulante sous mes caresses, son corps tremblant, luttant pour résister.
Respirer son parfum m'était devenu douloureux.
Quand elle ramena ma main contre elle, je compris soudain contre quoi elle se battait.
Ce combat, j'en étais le seul responsable. C'est moi, moi et cette fouttu maladie, moi et mes aveux stupides qui avions tous foutu en l'air.
J'avais perdu le droit de lui en demander autant à partir du moment où j'avais osé lui dire.
Parce que je lui imposerais une agonie plus insupportable pour elle encore qui ne pourrait rien faire, que pour moi.
Moi à qui il suffirait de fermer les yeux et attendre.
Parce que si elle cédait maintenant, en me réveillant demain matin, je ne pourrais m'empêcher de penser qu'elle m'avait enfin cedée, mais seulement par pitié.
Et je savais que croire une telle absurdité serait la trahir, mais je ne pourrais m'en empêcher.
Je savais que je devais m'arracher à elle, mais je savais aussi que se serait encore plus douloureux que de mourir.
Doucement, tout doucement, je forçais mon corps à s'éloigner du sien et je l'entendait hurler de douleur.
Je m'imposait la pire des souffrances en m'éloignant ainsi et ses suplications me mettait au suplice.
Pourtant au moment où, enfin, j'allais faire se qu'elle me demandait, elle me sauta au cou.
Mes bras se refermèrent autour de sa taille en un réflexe incontrolable contre lequel je me refusais de lutter.
Ces paroles m'atteignirent en plein coeur, me révélant mon égoïsme dans toute sa splendeur.
Pourquoi lui dire ça maintenant? Pourquoi céder à mon coeur pour faire saigner le sien?
Lentement, sans la lacher, je me laissais glisser, tombant à genoux devant elle, la tête posé sur son ventre, je ne retins pas une larme, j'en étais incapable.
Je tremblais comme une feuille.
Elle n'était plus très loin. Je le savais, je le sentais et bientôt, Elle m'aménerait avec Elle.
Je crispais les mains sur la tunique en soie de Farfaya, malgré la noblesse de la matière, elle n'égalerait jamais la douceur de sa peau.
Je déglutis difficilement, durement frappé par la réalité.
J'avais peur, je crevais de trouille et je ne voulais pas. Je ne voulais pas mourir.
Je m'accrochais encore un peu plus à elle, comme si elle était mon ancre, celle qui m'empêcherait de sombrer dans la folie alors que le désir qu'elle allumait en moi consumait mon esprit.
Comme si, elle, pouvait repousser cette ombre et chasser ma peur d'un rever de la main.
"Je voudrais tellement rester avec toi."
Ne plus la voir, plus jamais, quand je fermerais les yeux pour la dernière fois, je savais que je n'aurais droit qu'à un grand trou noir, privé de ma lummière.,
Privé de sa peau, de ses lèvres, de son parfum, de sa simple présence.
Même si le paradis m'étais permis, il ne serait qu'un enfer de plus sans elle.
"J'ai peur..." avouais-je presque honteux. "Reste avec moi..."
Respirer son parfum m'était devenu douloureux.
Quand elle ramena ma main contre elle, je compris soudain contre quoi elle se battait.
Ce combat, j'en étais le seul responsable. C'est moi, moi et cette fouttu maladie, moi et mes aveux stupides qui avions tous foutu en l'air.
J'avais perdu le droit de lui en demander autant à partir du moment où j'avais osé lui dire.
Parce que je lui imposerais une agonie plus insupportable pour elle encore qui ne pourrait rien faire, que pour moi.
Moi à qui il suffirait de fermer les yeux et attendre.
Parce que si elle cédait maintenant, en me réveillant demain matin, je ne pourrais m'empêcher de penser qu'elle m'avait enfin cedée, mais seulement par pitié.
Et je savais que croire une telle absurdité serait la trahir, mais je ne pourrais m'en empêcher.
Je savais que je devais m'arracher à elle, mais je savais aussi que se serait encore plus douloureux que de mourir.
Doucement, tout doucement, je forçais mon corps à s'éloigner du sien et je l'entendait hurler de douleur.
Je m'imposait la pire des souffrances en m'éloignant ainsi et ses suplications me mettait au suplice.
Pourtant au moment où, enfin, j'allais faire se qu'elle me demandait, elle me sauta au cou.
Mes bras se refermèrent autour de sa taille en un réflexe incontrolable contre lequel je me refusais de lutter.
Ces paroles m'atteignirent en plein coeur, me révélant mon égoïsme dans toute sa splendeur.
Pourquoi lui dire ça maintenant? Pourquoi céder à mon coeur pour faire saigner le sien?
Lentement, sans la lacher, je me laissais glisser, tombant à genoux devant elle, la tête posé sur son ventre, je ne retins pas une larme, j'en étais incapable.
Je tremblais comme une feuille.
Elle n'était plus très loin. Je le savais, je le sentais et bientôt, Elle m'aménerait avec Elle.
Je crispais les mains sur la tunique en soie de Farfaya, malgré la noblesse de la matière, elle n'égalerait jamais la douceur de sa peau.
Je déglutis difficilement, durement frappé par la réalité.
J'avais peur, je crevais de trouille et je ne voulais pas. Je ne voulais pas mourir.
Je m'accrochais encore un peu plus à elle, comme si elle était mon ancre, celle qui m'empêcherait de sombrer dans la folie alors que le désir qu'elle allumait en moi consumait mon esprit.
Comme si, elle, pouvait repousser cette ombre et chasser ma peur d'un rever de la main.
"Je voudrais tellement rester avec toi."
Ne plus la voir, plus jamais, quand je fermerais les yeux pour la dernière fois, je savais que je n'aurais droit qu'à un grand trou noir, privé de ma lummière.,
Privé de sa peau, de ses lèvres, de son parfum, de sa simple présence.
Même si le paradis m'étais permis, il ne serait qu'un enfer de plus sans elle.
"J'ai peur..." avouais-je presque honteux. "Reste avec moi..."
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je m'accrochais à lui avec l'énergie du désespoir, comme si, par cette étreinte, j'avais le pouvoir de le garder avec moi, de fondre son corps dans le mien pour qu'il ne me quitte jamais...Je sentis ses bras se refermer autour de ma taille, et je frissonnais, luttant de plus belle contre mon désir, mais inccapable de quoi que ce soit face à la douleur qui déchirait mon coeur...
Je le sentis glisser à terre sans rien pouvoir faire pour le retenir, comme si déjà il sombrait dans l'abîme qui lui était promis, abîme où je ne pouvais le suivre...Mais survivrais-je longtemps sans lui ?...La réponse s'imposa d'elle même : NON. Jamais je ne supporterais un monde où il n'était plus. Quitte à le suivre dans l'autre...Lentement, d'une main tremblante, je dénouais le lien qui maintenant ses cheveux attachés. Ceux-ci retombèrent en cascade sur ses épaules, et, glissant une main sur sa nuque pour l'attirer à moi, je passais mon autre main dans ses cheveux, doucement, me penchant en avant pour poser ma tête sur le sommet de son crâne.
Ses paroles achevèrent de me briser le coeur, et je me laissais glisser au sol à mon tour, l'étreignant de toutes mes forces, de toute mon âme. Je voulais être le tombeau de toutes ses peurs et ses doutes, sceller sa douleur en moi pour toujours afin de lui laisser le plaisir d'être en paix...mais malgré tous mes pouvoirs, celui-ci n'était pas à ma disposition, et j'en aurais hurlé de rage et d'impuissance.
- Je sais, murmurais-je en caressant sa joue de ma mienne, je sais...Je suis là, je serais toujours là, je te le promet, toujours...continuais-je en poursuivant mes caresses, parcourrant son cou du bout des lèvres, essayant de contrôler mes larmes...
Je le sentis glisser à terre sans rien pouvoir faire pour le retenir, comme si déjà il sombrait dans l'abîme qui lui était promis, abîme où je ne pouvais le suivre...Mais survivrais-je longtemps sans lui ?...La réponse s'imposa d'elle même : NON. Jamais je ne supporterais un monde où il n'était plus. Quitte à le suivre dans l'autre...Lentement, d'une main tremblante, je dénouais le lien qui maintenant ses cheveux attachés. Ceux-ci retombèrent en cascade sur ses épaules, et, glissant une main sur sa nuque pour l'attirer à moi, je passais mon autre main dans ses cheveux, doucement, me penchant en avant pour poser ma tête sur le sommet de son crâne.
Ses paroles achevèrent de me briser le coeur, et je me laissais glisser au sol à mon tour, l'étreignant de toutes mes forces, de toute mon âme. Je voulais être le tombeau de toutes ses peurs et ses doutes, sceller sa douleur en moi pour toujours afin de lui laisser le plaisir d'être en paix...mais malgré tous mes pouvoirs, celui-ci n'était pas à ma disposition, et j'en aurais hurlé de rage et d'impuissance.
- Je sais, murmurais-je en caressant sa joue de ma mienne, je sais...Je suis là, je serais toujours là, je te le promet, toujours...continuais-je en poursuivant mes caresses, parcourrant son cou du bout des lèvres, essayant de contrôler mes larmes...
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je n'avais pas pleuré depuis...Depuis quand?
Une bonne éternité au moins. Je me sentais stupide. Stupide de craquer ainsi devant elle.
Elle qui était la dernière personne à qui je voulait imposer la souffrance qui était la mienne.
j'aurais du m'enfermer dans ma chambre, ne laissais entrer personne et attendre, patiement.
Mais j'étais beaucoup trop égoïste pour ça, j'avais trop besoin d'elle.
Quand elle se laissa tomber à son tour, j'enfoui ma tête dans le creux de son cou, savourant douloureusement la douceur de ses lèvres sur ma peau.
Je me laissais aller dans ses bras, ne retenant pas les larmes silencieuse qui dévalaient mes joues.
"Je suis désolé." soufflais-je.
Je nous avait mis dans cette situation.
Parce que j'était malade.
Parce que je le lui avait dit.
Par ce que j'étais un monstre d'égoïsme doublé d'un trouillard.
Une bonne éternité au moins. Je me sentais stupide. Stupide de craquer ainsi devant elle.
Elle qui était la dernière personne à qui je voulait imposer la souffrance qui était la mienne.
j'aurais du m'enfermer dans ma chambre, ne laissais entrer personne et attendre, patiement.
Mais j'étais beaucoup trop égoïste pour ça, j'avais trop besoin d'elle.
Quand elle se laissa tomber à son tour, j'enfoui ma tête dans le creux de son cou, savourant douloureusement la douceur de ses lèvres sur ma peau.
Je me laissais aller dans ses bras, ne retenant pas les larmes silencieuse qui dévalaient mes joues.
"Je suis désolé." soufflais-je.
Je nous avait mis dans cette situation.
Parce que j'était malade.
Parce que je le lui avait dit.
Par ce que j'étais un monstre d'égoïsme doublé d'un trouillard.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je parcourrais son cou et son visage de mes lèvres, caressant doucement ses cheveux, passant mes mains sur son visage, que je caressais tantôt du bout des doigts, tantôt du dos de la main. J'essuyais ses larmes au fur et à mesure qu'elle dévalaient ses joues, basculant dans une sorte de transe où je n'existais plus que pour le consoler, ou du moins pour essayer. M'adossant à un pied de mon burreau, je l'attirais doucement à moi, posant sa tête sur ma poitrine tendit que les battements de mon coeur s'appaisaient lentement.
- Non, soupirais-je en caressant ses cheveux. Non, je suis désolée...tout est ma faute. Tout est toujours de ma faute, soufflais-je alors qu'un nouveau sanglot étreignait ma poitrine.
- Non, soupirais-je en caressant ses cheveux. Non, je suis désolée...tout est ma faute. Tout est toujours de ma faute, soufflais-je alors qu'un nouveau sanglot étreignait ma poitrine.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je me laissais faire, fermant douloureusement les yeux sous ses caresses.
Je me laissais attiré à elle sans opposer la moindre résistance, terrasé par cette lutte bien plus douloureuse qu'un combat à mort.
Peu à peu, je parvenait à contrôler mes larmes alors que ses sanglots prenait en intensité.
Je levvais une main pour carresser son visage, blessé par ses paroles, je me redressais.
" Idiote" soupirais-je.
"C'est pas toi qui va mourir."
Je détournais les yeux, incapable de soutenir son regard emplis de larmes par ma faute.
Puis, je fronçais les sourcil, sentant un liquide visquex coulait lentement depuis mes oreilles jusque sur ma joue.
Je le touchais du bout des et les regardais, trempés de sang frais. Je relevais un regard à la fois surpris et affolé sur Farfaya.
"J'ai...je n'ai pas mal."
Je regardais de nouveau mes doigts, sentant toujours le sang coulait de mes oreilles.
C'était impossible, le sang avait toujours été se qui annonçait la fin d'une crise, or la, je n'avait ressentis aucune douleur.
Quoi que...
Je relevais brusquement la tête, m'écartant de Farfaya.
La pointe de douleur qui me transperça le crâne était au dela de l'insuportable.
J'ouvris la bouche pour hurler, mais rien ne vint, je tombais les coudes en avant tenant ma tête entre mes main.
Je voyais flou autour de moi.
Ouis enfin, un hurlement, mais plutôt que de me soulager, il attisa la douleur, me tirant un hurlement plus fort encore.
"Dans..dans...ma...ch...cham...bre" haletais-je.
Quel abrutis, j'étais sortis sans mes anti douleur.
Je me laissais attiré à elle sans opposer la moindre résistance, terrasé par cette lutte bien plus douloureuse qu'un combat à mort.
Peu à peu, je parvenait à contrôler mes larmes alors que ses sanglots prenait en intensité.
Je levvais une main pour carresser son visage, blessé par ses paroles, je me redressais.
" Idiote" soupirais-je.
"C'est pas toi qui va mourir."
Je détournais les yeux, incapable de soutenir son regard emplis de larmes par ma faute.
Puis, je fronçais les sourcil, sentant un liquide visquex coulait lentement depuis mes oreilles jusque sur ma joue.
Je le touchais du bout des et les regardais, trempés de sang frais. Je relevais un regard à la fois surpris et affolé sur Farfaya.
"J'ai...je n'ai pas mal."
Je regardais de nouveau mes doigts, sentant toujours le sang coulait de mes oreilles.
C'était impossible, le sang avait toujours été se qui annonçait la fin d'une crise, or la, je n'avait ressentis aucune douleur.
Quoi que...
Je relevais brusquement la tête, m'écartant de Farfaya.
La pointe de douleur qui me transperça le crâne était au dela de l'insuportable.
J'ouvris la bouche pour hurler, mais rien ne vint, je tombais les coudes en avant tenant ma tête entre mes main.
Je voyais flou autour de moi.
Ouis enfin, un hurlement, mais plutôt que de me soulager, il attisa la douleur, me tirant un hurlement plus fort encore.
"Dans..dans...ma...ch...cham...bre" haletais-je.
Quel abrutis, j'étais sortis sans mes anti douleur.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je penchais la tête sur le côté lorsqu'il caressa ma joue, prolongeant au maximum son geste, accompagnant sa main, les yeux clots. Je le relachais lorsqu'il se redressa, laissant mes mains glisser le long de ses épaules sans le regarder, blessée par la rudesse de ses paroles. Mais il n'avait pas tord...Sentant le haut de ma tunique humide, j'y passais distraitement le bout de mes doigts tendit qu'Edward s'écartait. Baissant les yeux, je constatais avec surprise...que mes doigts étaient tâchés de sang. Je renvoyais son regard à Edward, à la fois surprise et horrifiée tendit que le sang continuait à ruisseler sur ses joues.
Je le regardais sans comprendre, et à l'instant où j'allais lui proposer de le conduire à l'infirmerie, il s'écarta violement, les traits déformés par la douleur. Il s'effondra sans que je ne puisse rien faire, et je me précipitais pour le saisir par les épaules. Ses hurlements me glacèrent le sang tant la douleur qu'ils exprimaient était violente, mais je ne pouvais rien faire, j'étais désespérement impuissante...j'en aurais hurlé de frustration si je n'avais pas crains d'augmenter encore sa propre douleur. Me penchant en avant, je l'entendis murmurer sans comprendre.
- Qu'est-ce que...
...Idiote. Il est sorti sans ses cachets. Il ne me fallut qu'une seconde pour laisser mes deux doubles derrière moi et me précipiter dans le couloir sous la forme d'un guépard. Je sprintais sur toute la longueur du couloir, avant de bondir dans les escaliers sans prendre la peine de ralentir, plongeant dans le vide, devenue faucon. Arrivée au niveau des Valars, je redressais avec peine et, reprenant forme humaine en plein vol, je stoppais ma course en me raccrochant à la poignée de la porte de sa chambre, brisant mon élan avec rudesse.
Entrant en coup de vent, je récupérais ses cachets sur sa table de nuit, ouvris la fenêtre et me jetais à nouveau dans le vide. Faucon, je remontais en trois battement d'ailes la façade de l'Ecole et passais par la fenêtre de ma chambre, qu'une de mes doubles venait d'ouvrir pour moi. Elles avaient soulevé Edward pour l'installer dans un fauteuil, mais il était désormais inconscient, le sang continuant de couler le long de son cou pour se perdre dans les plis de son kimono.
- Edward !! m'exclamais-je alors que mes doubles s'évaporaient sans un mot.
Me précipitant sur lui, je récupérais deux cachets que j'introduisis entre ses lèvres, avant de pencher sa tête en arrière pour l'obliger à avaler. Enfin, il déglutit, et je m'appuyais des deux mains aux acoudoirs du fauteuil, temblante, scrutant son visage avec inquiètude, attendant qu'il reprenne conscience.
Je le regardais sans comprendre, et à l'instant où j'allais lui proposer de le conduire à l'infirmerie, il s'écarta violement, les traits déformés par la douleur. Il s'effondra sans que je ne puisse rien faire, et je me précipitais pour le saisir par les épaules. Ses hurlements me glacèrent le sang tant la douleur qu'ils exprimaient était violente, mais je ne pouvais rien faire, j'étais désespérement impuissante...j'en aurais hurlé de frustration si je n'avais pas crains d'augmenter encore sa propre douleur. Me penchant en avant, je l'entendis murmurer sans comprendre.
- Qu'est-ce que...
...Idiote. Il est sorti sans ses cachets. Il ne me fallut qu'une seconde pour laisser mes deux doubles derrière moi et me précipiter dans le couloir sous la forme d'un guépard. Je sprintais sur toute la longueur du couloir, avant de bondir dans les escaliers sans prendre la peine de ralentir, plongeant dans le vide, devenue faucon. Arrivée au niveau des Valars, je redressais avec peine et, reprenant forme humaine en plein vol, je stoppais ma course en me raccrochant à la poignée de la porte de sa chambre, brisant mon élan avec rudesse.
Entrant en coup de vent, je récupérais ses cachets sur sa table de nuit, ouvris la fenêtre et me jetais à nouveau dans le vide. Faucon, je remontais en trois battement d'ailes la façade de l'Ecole et passais par la fenêtre de ma chambre, qu'une de mes doubles venait d'ouvrir pour moi. Elles avaient soulevé Edward pour l'installer dans un fauteuil, mais il était désormais inconscient, le sang continuant de couler le long de son cou pour se perdre dans les plis de son kimono.
- Edward !! m'exclamais-je alors que mes doubles s'évaporaient sans un mot.
Me précipitant sur lui, je récupérais deux cachets que j'introduisis entre ses lèvres, avant de pencher sa tête en arrière pour l'obliger à avaler. Enfin, il déglutit, et je m'appuyais des deux mains aux acoudoirs du fauteuil, temblante, scrutant son visage avec inquiètude, attendant qu'il reprenne conscience.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je sentis plus que je ne vis Farfaya partir, mais elle ne m'avait pas laisser seul.
Je me sentis quitter le sol, reprimant difficilement des hurlement de douleur. Elle était si forte, que je cru que c'était la dernière.
Et j'avais chassé Farfaya.
Je serais les dents à les en faire grinçer, ne retenant qu'un hurlement sur deux, puis, sans plus rien comprendre, je me sentis sombrer dans le trou noir béant de mes nuit.
Je me débattait, hurlant à qui voulait bien l'entendre qu'il me restait encore du temps.
Je ne voulais pas mourir, pas comme ça, pas devant Elle.
Ma chute se stoppa brtalement et je m'écrassais face contre une surface dure et froide, grimaçant, je me mis à genoux, essayant de percer le noir qui m'entourais.
Stupidement, comme si j'espérais une réponse, j'appelais Farfaya.
Etait-ce finis? Etais-je mort? Déjà?
Je sentis un frison me parcourir le dos, quelque chose de glacé venait d'effleurer ma joue et quelque secondes plus tard un rire glacial s'éleva.
"Bientôt..." susura une voix étangement asexué.
Je fronçais les sourcils alors que mon coeur faisait un bon dans ma poitrine.
Je me mis à trembler, glacé par le son de cette voix heureuse de mon état.
"Bientôt" repris la voix plus faiblement.
Puis une lumière m'aveugla et je portais un main à mes yeux.
Dans ccette lumière, je voyais l'espoir de sortir du néant. Je tendis la main vers elle et sentis une main, fine, douce et chaude se refermer sur la mienne.
Doucement, tout doucement, j'ouvrais les yeux et remarquais le visage de Farfaya à quelque centimètre du mien.
La douleur dans mon crâne diminuait lentement.
Bientôt pensais-je...
Je refermais les yeux et passais un bras autour des épaules de Farfaya pour l'attirer contre moi, le coeur battant.
Bientôt...
"Désolé" soufflais-je..."
Bientôt...
Je tentais de prendre contacte avec Kumbaya. La crise avait été tellement violente que j'avais peur qu'elle lui ait été fatale.
Mais sa voix résonna dans mon crâne, faible mais rassurante.
Bientôt...
Je me sentis quitter le sol, reprimant difficilement des hurlement de douleur. Elle était si forte, que je cru que c'était la dernière.
Et j'avais chassé Farfaya.
Je serais les dents à les en faire grinçer, ne retenant qu'un hurlement sur deux, puis, sans plus rien comprendre, je me sentis sombrer dans le trou noir béant de mes nuit.
Je me débattait, hurlant à qui voulait bien l'entendre qu'il me restait encore du temps.
Je ne voulais pas mourir, pas comme ça, pas devant Elle.
Ma chute se stoppa brtalement et je m'écrassais face contre une surface dure et froide, grimaçant, je me mis à genoux, essayant de percer le noir qui m'entourais.
Stupidement, comme si j'espérais une réponse, j'appelais Farfaya.
Etait-ce finis? Etais-je mort? Déjà?
Je sentis un frison me parcourir le dos, quelque chose de glacé venait d'effleurer ma joue et quelque secondes plus tard un rire glacial s'éleva.
"Bientôt..." susura une voix étangement asexué.
Je fronçais les sourcils alors que mon coeur faisait un bon dans ma poitrine.
Je me mis à trembler, glacé par le son de cette voix heureuse de mon état.
"Bientôt" repris la voix plus faiblement.
Puis une lumière m'aveugla et je portais un main à mes yeux.
Dans ccette lumière, je voyais l'espoir de sortir du néant. Je tendis la main vers elle et sentis une main, fine, douce et chaude se refermer sur la mienne.
Doucement, tout doucement, j'ouvrais les yeux et remarquais le visage de Farfaya à quelque centimètre du mien.
La douleur dans mon crâne diminuait lentement.
Bientôt pensais-je...
Je refermais les yeux et passais un bras autour des épaules de Farfaya pour l'attirer contre moi, le coeur battant.
Bientôt...
"Désolé" soufflais-je..."
Bientôt...
Je tentais de prendre contacte avec Kumbaya. La crise avait été tellement violente que j'avais peur qu'elle lui ait été fatale.
Mais sa voix résonna dans mon crâne, faible mais rassurante.
Bientôt...
Dernière édition par Edward le Dim 6 Juin - 21:48, édité 2 fois
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je scrutais son visage aux traits tordus par la douleur, folle d'inquiètude, essoufflée après ma violente course, le coeur battant la chamade. Ca faisait déjà plusieurs minutes que je lui avais fait prendre les cachets, et il restait inconscient, tremblant de douleur, sans aucun signes extérieurs d'une quelconque amélioration de son état...Quand soudain, bien qu'il l'eut prononcé dans un souffle et du bout des lèvres, je reconnu mon prénom.
Esquissant un sourire, je caressais sa joue, essuyant au passage le sang qui la maculait et qui commençait à sécher. Il remua légèrement, et je m'immobilisais comme par reflexe, en attente de le voir enfin ouvrir les yeux. Mais ils restaient désespérement clots, et je fixais son visage avec tellement d'intensité que je faillis ne pas remarquer la main tremblante qu'il tendait vers moi. Comprenant qu'il reprenait doucement conscience, mon sourire s'élargit et j'attrapais délicatement sa main, entrelaçant mes doigts aux siens.
Enfin, il ouvrit les yeux, cligna deux ou trois fois...et les referma. Mais à l'instant où j'allais prendre son visage entre mes mains pour l'appeler, il passa son bras autour de mes épaules pour m'attirer contre lui. Surprise, je me laissais faire, appuyant ma tête contre son torse, écoutant les batement de son coeur s'apaiser lentement dans sa poitrine.
- Idiot...soufflais-je en réponse, comme si c'était ta faute...
Puis je me redressais, rompant doucement son étreinte, je me reculais en fuyant son regard.
- Ne bouge pas, soufflais-je en me dirigeant vers ma salle de bain.
Une fois dedant, je respirais profondément un bon coup pour me calmer et ravaler mes larmes, avant de saisir un gant, que j'imbibais d'eau tiède avant de l'essorer soigneusement. Revenant vers Edward, j'allumais une lampe au passage car le soleil déclinait sérieusement à l'horizon et il commençait à faire sombre, avant d'hésiter une seconde...bof, au pont où on en est, un peu plus, un peu moins...et m'assis sur ses genoux. L'obligeant délicatement à tourner la tête du bout des doigts, je nettoyais doucement le sang qui partait de ses oreilles pour maculer ses joues et son cou, ma main libre posée sur son épaule. Tournant sa tête de l'autre côté, j'achevais soigneseument ma tâche, avant de laisser retomber ma main.
- Si tu savais...je pourrais donner...absolument n'importe quoi si ça pouvait te sauver...soufflais-je en appuyant doucement mon front contre le sien, les yeux clots.
Esquissant un sourire, je caressais sa joue, essuyant au passage le sang qui la maculait et qui commençait à sécher. Il remua légèrement, et je m'immobilisais comme par reflexe, en attente de le voir enfin ouvrir les yeux. Mais ils restaient désespérement clots, et je fixais son visage avec tellement d'intensité que je faillis ne pas remarquer la main tremblante qu'il tendait vers moi. Comprenant qu'il reprenait doucement conscience, mon sourire s'élargit et j'attrapais délicatement sa main, entrelaçant mes doigts aux siens.
Enfin, il ouvrit les yeux, cligna deux ou trois fois...et les referma. Mais à l'instant où j'allais prendre son visage entre mes mains pour l'appeler, il passa son bras autour de mes épaules pour m'attirer contre lui. Surprise, je me laissais faire, appuyant ma tête contre son torse, écoutant les batement de son coeur s'apaiser lentement dans sa poitrine.
- Idiot...soufflais-je en réponse, comme si c'était ta faute...
Puis je me redressais, rompant doucement son étreinte, je me reculais en fuyant son regard.
- Ne bouge pas, soufflais-je en me dirigeant vers ma salle de bain.
Une fois dedant, je respirais profondément un bon coup pour me calmer et ravaler mes larmes, avant de saisir un gant, que j'imbibais d'eau tiède avant de l'essorer soigneusement. Revenant vers Edward, j'allumais une lampe au passage car le soleil déclinait sérieusement à l'horizon et il commençait à faire sombre, avant d'hésiter une seconde...bof, au pont où on en est, un peu plus, un peu moins...et m'assis sur ses genoux. L'obligeant délicatement à tourner la tête du bout des doigts, je nettoyais doucement le sang qui partait de ses oreilles pour maculer ses joues et son cou, ma main libre posée sur son épaule. Tournant sa tête de l'autre côté, j'achevais soigneseument ma tâche, avant de laisser retomber ma main.
- Si tu savais...je pourrais donner...absolument n'importe quoi si ça pouvait te sauver...soufflais-je en appuyant doucement mon front contre le sien, les yeux clots.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Sa réponse me tira un sourire. J'avais beau savoir qu'elle avait raison, je décidais sciement de lui imposer ma maladie et ma lente agonie.
Par pure égoïsme.
Par crainte aussi. C'était stupide de ne pas vouloir mourir seul, puisque qu'après, je ne pourrais que l'être.
Je frisonnais encore à l'idée du trou noir qui m'attendait et la serait encore contre moi.
C'est elle qui me tirais toujours vers la lumière quand les ténébres se refermaient sur moi. Elle était mon seul remède.
Mais pour combien de temps?
Combien de temps parviendrait-elle à chasser la Mort qui me tournais autour et resserait chaque jour un peu plus le cercle.
Bientôt...
Quand elle s'éloigna doucement de moi, je la lachais sans résister.
"Où veux-tu que j'aille..." soufflais-je d'un voix rauque tentant un sourire.
Quand elle revint, je ne m'étonnais pas de la voir s'asseoir sur mes genoux.
Je grimaçais quand elle nettoya les trace de sang.
"J'aurais pu le faire tout seul..." gromemmais-je.
Mais je me laissais faire, savourant la fraicheur sur ma peau en feu.
Quand elle posa son front sur le mien, je fermais les yeux et souris tristement, refermant légérement mes bras autour de sa taille.
"Je sais Farfaya... Tu en fait déjà beaucoup." répondis-je en repensant à la lumière et à cette fine main qui m'avait tiré des ténébres dans lesquel j'étais plongé quelques minutes auparvant.
Par pure égoïsme.
Par crainte aussi. C'était stupide de ne pas vouloir mourir seul, puisque qu'après, je ne pourrais que l'être.
Je frisonnais encore à l'idée du trou noir qui m'attendait et la serait encore contre moi.
C'est elle qui me tirais toujours vers la lumière quand les ténébres se refermaient sur moi. Elle était mon seul remède.
Mais pour combien de temps?
Combien de temps parviendrait-elle à chasser la Mort qui me tournais autour et resserait chaque jour un peu plus le cercle.
Bientôt...
Quand elle s'éloigna doucement de moi, je la lachais sans résister.
"Où veux-tu que j'aille..." soufflais-je d'un voix rauque tentant un sourire.
Quand elle revint, je ne m'étonnais pas de la voir s'asseoir sur mes genoux.
Je grimaçais quand elle nettoya les trace de sang.
"J'aurais pu le faire tout seul..." gromemmais-je.
Mais je me laissais faire, savourant la fraicheur sur ma peau en feu.
Quand elle posa son front sur le mien, je fermais les yeux et souris tristement, refermant légérement mes bras autour de sa taille.
"Je sais Farfaya... Tu en fait déjà beaucoup." répondis-je en repensant à la lumière et à cette fine main qui m'avait tiré des ténébres dans lesquel j'étais plongé quelques minutes auparvant.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je ne pu retenir un soupir de contentement lorsque je sentis ses bras se refermer autour de ma taille. Je lachais le gant humide, qui glissa lentement au sol, pour enrouler mes bras autour du cou d'Edward, passant mes mains dans ses cheveux, caressant ma joue de la sienne. Ah bon, j'en fais beaucoup ?...Je le torture en lui cédant pour ensuite le repousser, mais je remet le couvert dix minutes plus tard...oui, effectivement, j'en fais beaucoup. Trop. Et sinon, pour l'aider ??...Trois fois rien. Et le pire ? C'est que je ne peux pas faire plus.
- "Beaucoup" n'est jamais assez...murmurais-je.
Je restais immobile quelques secondes, profitant des barrières qui étaient tombées aujourd'hui au maximum, sachant que je ne pourrais de toute façon m'autoriser à lui offrir plus...Mais, après tout, je lui devais bien un baiser. Mais je me redressais soudain, juste assez pour croiser son regard.
- Mais au fait, commençais-je, Reia et toi, vous n'avez pas le même nom ?...demandais-je, sans oser imaginer pourquoi.
- "Beaucoup" n'est jamais assez...murmurais-je.
Je restais immobile quelques secondes, profitant des barrières qui étaient tombées aujourd'hui au maximum, sachant que je ne pourrais de toute façon m'autoriser à lui offrir plus...Mais, après tout, je lui devais bien un baiser. Mais je me redressais soudain, juste assez pour croiser son regard.
- Mais au fait, commençais-je, Reia et toi, vous n'avez pas le même nom ?...demandais-je, sans oser imaginer pourquoi.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je frisonnais, mais cette fois de plaisir sous ses carresses qui finissais de chasser la douleur.
En revanche, le souvenir des ténébres plus noirs encore que ceux des mes nuits restait bien présent dans mon esprit.
Bientôt...Bientôt...Bientôt...
Je profitais de chaqune de ses carresse comme si c'était la dernière, comme si en passant cette porte, j'allais m'écroulais et fermais définitivement les yeux.
Je soupiras et rafermis ma prise autour de sa taille.
Mais quand elle posa La question, je la lachais pour lui attrapais les épaules et la forçais à me faire face.
"Tu viens de mettre les peids dans le plat là. Elle t'a pas prévenu?"
En revanche, le souvenir des ténébres plus noirs encore que ceux des mes nuits restait bien présent dans mon esprit.
Bientôt...Bientôt...Bientôt...
Je profitais de chaqune de ses carresse comme si c'était la dernière, comme si en passant cette porte, j'allais m'écroulais et fermais définitivement les yeux.
Je soupiras et rafermis ma prise autour de sa taille.
Mais quand elle posa La question, je la lachais pour lui attrapais les épaules et la forçais à me faire face.
"Tu viens de mettre les peids dans le plat là. Elle t'a pas prévenu?"
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je le scrutais, surprise, sans comprendre ce qu'il voulait dire. Qu'est-ce que Reia ne m'aurait pas dit ?...Pourquoi n'avaient-ils pas le même nom ? Etait-ce elle qui avait changé...ou lui ?...
- Ben, non...prévenue à quel sujet ? demandais-je en me demandant sincèrement quel était le problème.
- Ben, non...prévenue à quel sujet ? demandais-je en me demandant sincèrement quel était le problème.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je détournais les yeux dégouté.
"Je le déteste, lui et tout se qu'il représente."
Je grinçais des dents.
"Me demande pas de t'expliquer. Si tu connais le nom de Reia tape le sur internet, fait appel à se que tu sais des valeur traditionnel japonais et considére que j'était vu comme un fils prodigue, tu comprendra pourquoi je le supporte pas."
"Je le déteste, lui et tout se qu'il représente."
Je grinçais des dents.
"Me demande pas de t'expliquer. Si tu connais le nom de Reia tape le sur internet, fait appel à se que tu sais des valeur traditionnel japonais et considére que j'était vu comme un fils prodigue, tu comprendra pourquoi je le supporte pas."
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je le regardais, de plus en plus surprise, de plus en plus perdue. Ok, information reçue cinq sur cinq, le sujet "nom de famille" est définitivement clot. Esquissant un doux sourire, je pris son menton entre mes doigts pour l'obliger à me faire face, avant de déposer un léger baiser sur le bout de son nez.
- C'est bon, j'ai compris...murmurais-je en souriant.
Je me sentais soudain étrangement légère et alègre, comme si le pire était à présent derrière nous. J'étais étrangement ravie des barrières dont nous avions réussis à nous défaire aujourd'hui, ravie d'être installée sur ses genoux, ravie de pouvoir nouer mes bras autour de son cou, de pouvoir caresser ses cheveux. Lui lançant un sourire espiègle, je me penchais doucement vers son oreille.
- Et...ton vrai prénom ? Tu le déteste aussi ? Toshizo...susurais-je, toujours souriante.
- C'est bon, j'ai compris...murmurais-je en souriant.
Je me sentais soudain étrangement légère et alègre, comme si le pire était à présent derrière nous. J'étais étrangement ravie des barrières dont nous avions réussis à nous défaire aujourd'hui, ravie d'être installée sur ses genoux, ravie de pouvoir nouer mes bras autour de son cou, de pouvoir caresser ses cheveux. Lui lançant un sourire espiègle, je me penchais doucement vers son oreille.
- Et...ton vrai prénom ? Tu le déteste aussi ? Toshizo...susurais-je, toujours souriante.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
D'un coup de tête, je me dégagais de son emprise, prenant un air boudeur.
Au moins, elle ne reviendrait pas la dessus, et c'était parfait.
Mais quand elle susura mon prénom à monoreille, je crispais mes mains sur les accoudoires du fauteil et avalais de travers.
"Tu devrais pas faire ça..." soufflais-je, sentant mon coeur faire un bon dans ma poitrine.
Je m'amusais de voir comment, malgré les évenements des derières heures, nous arrivions à passer si facilement à autre chose.
Bizarrement, pas une minute je ne pensais à de la pitié.
Juste à de l'acceptation.
Au moins, elle ne reviendrait pas la dessus, et c'était parfait.
Mais quand elle susura mon prénom à monoreille, je crispais mes mains sur les accoudoires du fauteil et avalais de travers.
"Tu devrais pas faire ça..." soufflais-je, sentant mon coeur faire un bon dans ma poitrine.
Je m'amusais de voir comment, malgré les évenements des derières heures, nous arrivions à passer si facilement à autre chose.
Bizarrement, pas une minute je ne pensais à de la pitié.
Juste à de l'acceptation.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Mon sourire s'élargit face à sa réaction, et je ne pu retenir un léger gloussement. Passant à son autre oreille en promenant mes lèvres sur son visage, je me penchais un peu plus, tout sourire, malicieuse. Ecartant ses cheveux d'une main, je libérais son cou pour y déposer un léger baiser, avant de revenir à son oreille.
- Pourquoooooiiiiii ?...demandais-je comme une gamine. Tu ne l'aimes pas non plus ? Toshizoooooo, murmurais-je à nouveau en souriant, continuant à caresser son cou du bout du nez.
- Pourquoooooiiiiii ?...demandais-je comme une gamine. Tu ne l'aimes pas non plus ? Toshizoooooo, murmurais-je à nouveau en souriant, continuant à caresser son cou du bout du nez.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Attend??? Je rêve là où elle joue le même jeux que moi???
"Tri...cheu...se..." souffalis je le souffle court, m'accrochant encore aux accoudoirs.
"C'est moi...qui...joue...à ...ça..."
Pris à mon propre piège. Si ça c'est pas une tragégie.
Je poussais un long soupir de plaisir. Ses lèvres sur ma peau laissait derrière elle une sensation de douce chaleur.
"Non..., je ne... le... dé...tes...te pas... Sauf si ...tu le cou...pe et.... en fait un sur...nom ri..di..cu...le." soupirais-je, levant magrés moi la tête, lui offrant un peu plus mon cou.
"Tri...cheu...se..." souffalis je le souffle court, m'accrochant encore aux accoudoirs.
"C'est moi...qui...joue...à ...ça..."
Pris à mon propre piège. Si ça c'est pas une tragégie.
Je poussais un long soupir de plaisir. Ses lèvres sur ma peau laissait derrière elle une sensation de douce chaleur.
"Non..., je ne... le... dé...tes...te pas... Sauf si ...tu le cou...pe et.... en fait un sur...nom ri..di..cu...le." soupirais-je, levant magrés moi la tête, lui offrant un peu plus mon cou.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Le sourire jusqu'aux oreilles, je parcourrais son cou du bout des lèvres, déposant de léger baisers par-ci, par-là, tirant doucement sur le col de son kimono pour découvrir légèrement la peau de sa clavicule. Je m'amusais à lui faire subir ce que lui m'infligeais quotidiennement, au centuple puisque dans mon cas, c'était la première fois que j'osais allez si loin. Mais après cette fin d'après-midi, rien ne serait jamais plus comme avant...
- Quel...genre de surnom ?...chuchotais-je, malicieuse, ne retenant pas un léger rire devant son souffle qui se faisait saccadé. Mmmhh...voyons voir...si je le coupe, ça fait, hum...quelque chose comme...Toshi ?...continuais-je en parcourrant sa clavicule du bout des lèvres, profitant du fait qu'il m'offrait son cou sans opposer aucune résistance.
- Quel...genre de surnom ?...chuchotais-je, malicieuse, ne retenant pas un léger rire devant son souffle qui se faisait saccadé. Mmmhh...voyons voir...si je le coupe, ça fait, hum...quelque chose comme...Toshi ?...continuais-je en parcourrant sa clavicule du bout des lèvres, profitant du fait qu'il m'offrait son cou sans opposer aucune résistance.
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Dingue.
Elle va me rendre dingue. Je fermais les yeux ne pouvant m'empêche de levais un plus la tête, en redemandant.
Sachant que si elle ne s'arretait pas tout de suite, je ne me laisserais plus faire et qu'on finirais par le regretter tout les deux.
"Dans...Le...mile..."
Je soupirais, crispant encore les mains sur l'accoudoir.
"Et si...tu m'apelle...Comme ça...Je te...fais la ...gueule..."
Je lachais enfins les accoudoire, remontant lentement mes main le long de ses bras depuis ses épaules jusqu'à ses poignets que j'enfermais avec foce pour l'éloigner de mon cou.
"J'ai répondu à tes question il me semble..."
J'avais toujours le souffle court, mais lui lançais un regard sévère, moins que je ne l'aurais voulu, évidement puisque je ne voulais qu'une chose.
Elle.
Elle va me rendre dingue. Je fermais les yeux ne pouvant m'empêche de levais un plus la tête, en redemandant.
Sachant que si elle ne s'arretait pas tout de suite, je ne me laisserais plus faire et qu'on finirais par le regretter tout les deux.
"Dans...Le...mile..."
Je soupirais, crispant encore les mains sur l'accoudoir.
"Et si...tu m'apelle...Comme ça...Je te...fais la ...gueule..."
Je lachais enfins les accoudoire, remontant lentement mes main le long de ses bras depuis ses épaules jusqu'à ses poignets que j'enfermais avec foce pour l'éloigner de mon cou.
"J'ai répondu à tes question il me semble..."
J'avais toujours le souffle court, mais lui lançais un regard sévère, moins que je ne l'aurais voulu, évidement puisque je ne voulais qu'une chose.
Elle.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je soufflais dans son cou lorsqu'il leva un peu plus la tête, s'abandonnant totalement à mes caresses, que je continuais de plus belle, dévorant sa peau couleur miel. Descendant jusqu'aux limities de son kimono, je souriais, avant de revenir à son oreille, lui lançant au passage un regard de chien battu.
- Ah bon ? murmurais-je d'une voix faussement inquiète. Tu...me ferais la tête ? pour de vrai ? repris-je en reprenant une voix malicieuse, tout en caressant l'arrête de sa mâchoire du bout de l'index.
Je frissonnais en sentant ses mains courrir le long de mes bras jusqu'à mes poignets, mais me retrouvais brutalement éloignée de lui. Surprise, je ne résistais pas, lui lançant un regard interrogatif...avant de soupirer. C'est bon, compris. A croire que le petit jeu de tout à l'heure ne m'avait pas suffis...ne nous avait pas suffis.
- Mmmhh oui, on va dire que je m'estime satisfaite par tes réponses évasives, desquelles j'ai du deviner la moitié...lançais-je en souriant, m'éloignant à regret de son cou, replaçant son kimono sur son épaule histoire de m'épargner toute tentation...avant de me relever en soupirant.
- Ah bon ? murmurais-je d'une voix faussement inquiète. Tu...me ferais la tête ? pour de vrai ? repris-je en reprenant une voix malicieuse, tout en caressant l'arrête de sa mâchoire du bout de l'index.
Je frissonnais en sentant ses mains courrir le long de mes bras jusqu'à mes poignets, mais me retrouvais brutalement éloignée de lui. Surprise, je ne résistais pas, lui lançant un regard interrogatif...avant de soupirer. C'est bon, compris. A croire que le petit jeu de tout à l'heure ne m'avait pas suffis...ne nous avait pas suffis.
- Mmmhh oui, on va dire que je m'estime satisfaite par tes réponses évasives, desquelles j'ai du deviner la moitié...lançais-je en souriant, m'éloignant à regret de son cou, replaçant son kimono sur son épaule histoire de m'épargner toute tentation...avant de me relever en soupirant.
Dernière édition par Farfaya le Sam 5 Juin - 21:37, édité 1 fois
Farfaya- Messages : 967
Age : 31
Feuille de personnage
Âge: 22 en apparence, la réalité m'appartient.
Pouvoirs: Ubiquiste et morphe de métal.
Animae: Denaro, un spécimen particulièrement imposant de tigre blanc.
Re: Je déteeeeeeeeeeeste la paperasse...mais c'est mon boulot ! >< (privé)
Je soupirais quand elle se leva, me demandant si c'était de soulagement ou de dépis.
Je secouais la tête en trouvant la réponse.
J'avais perdu la main, et si je cherchais à la reprendre, je perdrais la tête. Je haussais les épaules et me levais, attiré par sa peau, ses lèvres, son parfum comme un aimant.
Profitant de se qu'elle me tourne le dos, je saisis ses poignets la forcçais à me faire face et profitant de sa surprise, la poussais jusqu'au lit pour l'y faire basculer.
Je me retrouvais au dessus d'elle, ses jambes coincée entre les mienne, mes cheveux, toujours détaché, effleurant ses joue et son décolté.
"C'est pas du jeu...Tu connais mon vrai nom..."
Je plongeais vers son cou, le couvrant de baisser pour remonter jusqu'a son oreille.
"Je veux connaitre le tiens..." susurais-je.
Je secouais la tête en trouvant la réponse.
J'avais perdu la main, et si je cherchais à la reprendre, je perdrais la tête. Je haussais les épaules et me levais, attiré par sa peau, ses lèvres, son parfum comme un aimant.
Profitant de se qu'elle me tourne le dos, je saisis ses poignets la forcçais à me faire face et profitant de sa surprise, la poussais jusqu'au lit pour l'y faire basculer.
Je me retrouvais au dessus d'elle, ses jambes coincée entre les mienne, mes cheveux, toujours détaché, effleurant ses joue et son décolté.
"C'est pas du jeu...Tu connais mon vrai nom..."
Je plongeais vers son cou, le couvrant de baisser pour remonter jusqu'a son oreille.
"Je veux connaitre le tiens..." susurais-je.
Edward- Messages : 768
Age : 40
Feuille de personnage
Âge: 21 ans et vous en saurez pas plus...
Pouvoirs: Télékinésiste de Terre. Tout se que je veux et qui est dans tes mains, je me l'approprie.
Animae: Kumbaya,gros chat qui se dissimule à vous yeux pour mieux vous surprendre
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» Je refuse de les voir... Mais je ne croise qu'eux (Privé)
» Oups là .....pardon mais je demande asile, c'est une urgeeeence [Privé]
» J'aime pô la pluie...mais elle me sert bien [privé]
» Je n'ai rien mais on ne peut pas en dire autant de tout le monde...( privé )
» J'eclate, il faut que je me défoule. Désolée, mais tu trainais dans le coin. (Privé)
» Oups là .....pardon mais je demande asile, c'est une urgeeeence [Privé]
» J'aime pô la pluie...mais elle me sert bien [privé]
» Je n'ai rien mais on ne peut pas en dire autant de tout le monde...( privé )
» J'eclate, il faut que je me défoule. Désolée, mais tu trainais dans le coin. (Privé)
Page 2 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum