Tant pis si tu râles! Je m'impose et c'est comme ça! (et si t'es pas content c'est pareil! U_U) {/!\}

Quand il m'enleva mon haut, je sentis la fleur de mes cheveux glisser sur mon épaule puis ma cuisse. Tout en embrassant Akira avec passion, je saisis distraitement le végétal, et l'envoyai par dessus mon épaule, pour que la tige atterrisse dans un des verres.

Je nouai ensuite mes bras autour de son cou, et y nichai mon visage pour y étouffer un petit gémissement de plaisir, les mains crispées sur sa chemise sous l'effet de ses caresses.
Une fois que j'eus repris le controle de mes émotions, je me reculais pour croiser le regard d'Akira. Mes yeux pétillaient de malice et un sourire amusé étirait mes lèvres, sourire qui s'élargit davantage dès que je rencontrais son regard.

D'un mouvement vif, je plongais vers son visage pour capturer ses lèvres dans un baiser langoureux, puis descendis le long de sa mâchoire pour l'embrasser de nouveau dans le creux de l'épaule. Je continuais jusqu'à la clavicule droite que j'embrassais aussi, tandis que le bout de mes doigts caressaient doucement sa nuque, ses omoplates puis ses bras.

Le simple regard qu'il me lançait me faisait frissoner...

La nuque appuyée contre le rebord du lit, je profitais de la moindre de ses caresse, du moindre de ses baisers, un sourire amusé et satisfait sur le visage.

Je me relevais légèrement, pris son visage entre mes mains avec des yeux pétillants, avançais mes lèvres vers les sienne pour les embrasser, mais ne fis que les frôler, me dirigeant finalement vers son oreille pour lui chuchoter:

- Je pense qu'il serait problématique que tu me mange tout de suite...

Je pouffais légèrement avant froler son cou de mes lèvres; puis de lui mordiller l'épaule.
Je fis glisser mes doigts dans ses cheveux, me rappuyait sur le rebord du lit, et attirais son corps contre le mien.

Je ne pus retenir un soupir de plaisir, que je tentais d'atténuer en posant le dos de ma main sur ma bouche.

- Oui... oui mais la vie est injuste...

Je me mordis violemment les lèvre pour contenir un nouveau gémissement, tandis qu'il continuait de descendre, ses geste me procurant d'agréables frissonnements.

- ... donc moi... moi je peux...

Qui aurait cru que le timide Akira, celui qui rougissait à la moindre taquinerie, qui détournait les yeux quand je le provoquais, parviendrait à me faire perdre pied sur un de mes terrain de prédilection...

Bien décidée à reprendre les rênes de la situation, je lui fis relever le menton et posais fermement mes lèvres sur les siennes, le regard légèrement provocateur. Je dégageais ensuite mes jambes de dessous lui, et tentais de me redresser maladroitement. Je rompis ensuite notre baiser pour me mettre debout, mon indexe sous son menton l'incitant à faire de même, et collait mon corps au sien pour l'embrasser avec fougue, les bras noués autour de son cou.
Légèrement chancelante, je reculais vers le lit, mais juste avant de butter contre son rebord je me démerdais (je sais toujours pas comment d'ailleurs) pour nous faire pivoter, et de ce fait ce fut moi qui était au dessus quand nous chutâmes sur le matelas.

- Perdu... murmurais-je avec malice et satisfaction, tandis que mon indexe glissait le long de sa gorge puis son torse.

A présent, je n'avais aucun mal à imaginer le sang bouilloner dans mes veines, tellement je sentais mon corps en feu.
Ce genre d'instant de pure bonheur et de pure plaisir, je voulais qu'ils durent des heures et des heures...

Les yeux fermés, le visage contre son torse, les mains crispées sur les draps, je sentis le goût ferreux du sang souiller ma langue à force de mordre ma lèvre inférieur. Tout ses mouvements, tout ses gestes incitaient à me faire perdre le fil, et ainsi le laisser maitre de la situation...ce que je doutais éviter encore bien longtemps.

Après un léger petit coup de langue à la base de son oreille, je posais mes lèvres sur sa jugulaire, et après m'être légèrement redressée, j'embrassais chaque parcelle de peau étant sur mon chemin, descendant peu à peu jusqu'à son nombril, mes mains glissant sur ses côtes puis ses hanches.

Je relevais vers Akira un visage malicieux. Appuyant mon coude sur le matelas, je posais ma joue dans ma main gauche avec nonchalence, toujours en le fixant dans les yeux. Je posais ensuite ma main droite entre ses pectoraux, et le bout de mes doigt caressa toute la longueur de son torse, jusqu'à la ceinture de son pantalon. Après avoir lancé un regard provoquant et malicieux, je défis avec une lenteur voulue et calculée sa boucle de ceinture. Quand je supposais qu'il avait saisis que je le faisais exprès, je lui tirais la langue en lui faisant un clin d'oeil.

... et oui, chacun sa technique pour reprendre son souffle et remettre de l'ordre dans ses idées, avant la deuxième vague.

Je ne tiendrai plus très longtemps le coup... d'ici quelques minutes, je laisserais sans doutes la raison de côté pour profiter pleinement de toutes les sensation que mes sens et Akira me procureront...

La violence de ses baisers m'arrachèrent un sourire satisfait, ses gestes trahissant son impatience me firent éclater d'un rire léger et joyeux quand mes lèvres parvinrent à échapper aux siennes.

Lorsque le bouton de son pantalon fut défait, je remontais doucement mes mains dans son dos, m'attardant parfois sur certaines zones plus sensibles que d'autres, et une fois sur les omoplates j'attirais ce corps aussi bouillant que le mien contre moi, basculant sur le dos, Akira se retrouvant au dessus.

Lentement, je tirais sur sa ceinture pour l'oter, tout en frôlant les lèvres, sa machoire et son cou, sans jamais l'embrasser.
Une fois la ceinture envoyée à l'autre bout du lit, je commençais à descendre tout doucement son pantalon, avant de m'arrêter à la moitié des hanches. Je lui soufflais alors doucement dans le cou, tout en remontant peu à peu mes main en suivant la ligne de son dos, puis je reculais mes lèvres de sa peau pour basculer ma tête vers l'arrière, les yeux fermés.

Je voulais voir combien de temps il parviendrait encore à prendre sur lui, combien temps il arriverait encore à se contenir. C'était un jeu pour voir lequel des deux craquerait le premier...

J'allais devenir folle... c'était lui qui allait gagner la partie... je ne tiendrais plus très longtemps...

Les doigts crispés sur les draps, les phalanges toutes blanches, ma respiration devenue haletante, je luttais de toutes mes forces contre l'envie d'exprimer le plaisir qu'il me procurait de vive voix.

Quand nos regards se croisèrent de nouveau, un frisson me parcourus l'échine avec délice. Je du prendre sur moi pour ne pas lui sauter dessus et l'étouffer sous mes baisers, mes caresses, mes étreintes... Je préférais encore fermer les yeux de nouveau, plutôt qu'accélérer le mouvement et venir à l'essentiel sans savourer chaque millième de seconde qui sécoulait.

Ce qui suivit cet échange fut au delà de mes espérances... bien au delà...
Mon corps se cambra légèrement sous l'effet de ses mains, de ses lèvres, de ses doigts et de sa langue, et un nouveau gémissement força mes lèvres. Sentant mon pantalon glisser, suivit de près par le frôlement de ses doigts, mes mains se crispèrent encore davantage du ce que je devinais vaguement être un oreiller, trop focalisée sur les sensations, presque inégalables, qu'Akira me procurait. Je ramenais l'oreiller à moi, et mordis dedans sans pitié afin de me donner le courage de tenir bon encore un petit moment. Plus le pantalon descendait, plus la sensation de ses doigts sur ma peau devenait difficiles à contenir, plus mes dents se refermaient sur le pauvre bout de tissus.

Puis, n'y tenant plus, je repoussais le coussin et tendis les bras vers l'avant afin de toucher Akira. N'ayant pas la volonté suffisante pour me relever entièrement, je ne pu que passer mes doigts dans ses cheveux en murmurant son prénom d'une faible voix.
Je répétais son nom encore et encore jusqu'à ce qu'il daigne me donner l'objet de mon désir: ses lèvres, sa peau, son souffle, son regard, son corps. Ma voix se faisait presque suppliante, tandis que je n'attendais qu'une chose: lui ôter le dernier vêtement qu'il portait, et ainsi supprimer la dernière barrière.

Une torture... une délicieuse torture, voilà ce qu"il m'infligeait à travers ses caresses, ses baisers et son souffle sur ma peau. Je me mordis la langue pour qu'aucun son ne franchisse mes lèvres, si ce n'est un soupire de pure plaisir. Il semblait prendre plaisir à faire durer mon attente, prenant son temps pour revenir à mon niveau. Cette attente ne faisait qu'augmenter le désir que je ressentait pour lui, l'envie de l'avoir pour moi seule en cet instant précis, ici et maintenant!

Je cessais de prononcer son nom, me concentrant davantage sur mon self-controle... qu'il n'eu aucun mal à briser quand il arriva au niveau de mes cuisses: un gémissement bien plus marqué que les précédents força mes lèvres, ma main ne fut pas assez rapide à se plaquer sur ma bouche.

Mon coeur battait à 1000 Km/h, ma respiration n'avait plus aucune régularité... il était rare qu'un homme parvienne à me mettre dans cet état là. Mon épiderme semblait chauffé à blanc tellement j'avais l"impression que mon corps brulait.

J'eus un soupire de soulagement en sentant de nouveau son corps contre le mien, et ne résistai pas quand il emprisonna mes lèvres avec les siennes, bien au contraire: je lui rendis son baiser avec autant de ferveur que lui, tout en serrant ses mains dans les miennes avec force.
Je lui rendis son sourire et son regard, à la fois satisfaite et impatiente de la situation. Mais j'avais envie d'aller plus loin encore, j'avais envie de son corps, j'avais envie de lui, je le désirais...

D'un coup de rein brutal, je parvint à passer au dessus, et réussi à faire s'échapper mes mains, qui s'empressèrent de glisser le long de ses bras. Je rompis ensuite notre baiser pour nicher visage dans son cou et y souffler, avant de lui mordiller l'oreille un peu plus fort que nécessaire. Je descendis ensuite sur sa clavicule, mes mains précédent mes lèvres, puis embrassais doucement chacun de ses deux téton avant de repartir vers le bas. Une fois arrivée au niveau du nombril, ma langue se faufila jusqu'à ce petit intercice pendant que mes mains faisaient glisser le pantalon avec une lenteur forcée. Une fois qu'il rejoignit le mien, je remontais jusqu'au visage d'Akira, et l'embrassais passionnément avant de l'embrasser au coin des lèvres et enfin lui suçoter la lèvre inférieur.
Je posais une main au niveau de son ventre, et la remontais lentement, tandis que l'autre avait entrelacé mes doigts avec ceux d'Akira.

La tonalité suppliante de sa voix avait bien faillit me faire craquer, mais j'avais repris le dessus sur mes émotions juste à temps.
Encore un peu... il fallait que je tienne le coup encore un peu... juste un peu...
Akira... arrête de prononcer mon nom ainsi, sinon je...

Mon gémissement se mue en un cri étouffé dans son cou quand sa main serra la mienne avec plus de force que je pensais, tandis que la deuxième glissait sur mon corps brulant. Un cri à la fois de douleur et d'extase, la fleur de lotus dans mon dos se serait embrasé que cela ne m'aurait même pas étonné.

Les yeux fermés, la respiration haletante, les lèvres pincées, je profitais au maximum des sensation que chacune de ses caresse me procurait, inspirant avec délice l'odeur de son cou.
J'étais ivre... ivre de son odeur, de ses caresses, de ses baisers, de son corps... j'étais ivre de désirs... mon corps le réclammait, et je me faisait violence pour faire durer cette terrible attente, augmentant ainsi l'intensité du moment.
Mais pour combien de temps encore...?

Mon corps réclamais toujours plus de ces caresses, il ne se lassait pas de ces mains qui le parcourait sur son intégralité. Ma main valide était crispée sur les cheveux d'Akira, comme pour me retenir de me noyer au sein toutes ces sensations, telle une bouée de sauvetage au milieu d'une mer de plaisir. Comme pour le remercier, je lui rendis son baiser avec force, faisant glisser ma main de ses cheveux à son torse.

J'eus un frisson quand il m'embrassa derrière l'oreille, et un soupir d'extase s'échappa de mes lèvres en sentant sa langue glisser jusqu'à la base de celle-ci.

N'y tenant plus, je nichais mon visage dans ses cheveux près de son oreille pour souffler doucement derrière celle-ci, puis embrassais sa tempe, sa pomette, sa joue, le coin de ses lèvres, son menton et fis le même chemin en sens inverse. Je finis par revenir vers ses lèvres et les frolais des mienne, sans pour autant l'embrasser, me mordant l'inférieur pour résister à la tentation. Je plongeais mon regard dans le sien, et caressa doucement sa joue avec mon indexe, avant de recommencer à lui effleurer les lèvres sans jamais aller plus loin qu'un simple frôlement. Un sourire amusé apparu sur mes lèvre en voyant le regard qu'il me lançait pendant mon petit jeu, t je l'embrassais entre les deux yeux. Je revins finalement vers sa bouche, et donnai un léger coup de langue au sommet de sa lèvre supérieir avant de la suçoter doucement. Ma langue fini par s'imiscer entre ses lèvres, et je l'embrassais de nouveau, tout d'abors avec douceur, le baiser prenant rapidement en intensité. Ne pouvant encore libérer ma main de son étau, la seule qui était libre remonta le cou d'Akira, sa joue, se perdit dans ses cheveux et caressa enfin sa nuque.

J'étais proche de ma limite, mais je voulais jouer une dernière fois, je voulais avoir le dernier mot, je voulais le voir sombrer dans ce monde folie où je l'avais entrainé, mais où il était presque parvenu à me piéger.

Après lui avoir mordillé puis embrasser le torse, je me redressais sans signe avant coureur, mes genoux de chaque coté de ses hanches, ma main enfin librérée. Le regardant de haut avec un sourire provocant et amusé, je passais mes mains sur mon front pour y décoller mes cheveux, et les renvoyer vers l'arrière, tentant en même temps d'atténuer la sensation de manque qui me tiraillait depuis que ma peau n'était plus en contacte avec la sienne. Je m'amusais à tracer sur sa peau des cercles et autres dessins imaginaires avec mon indexe, me mordant la lèvre inférieur pour ne pas céder à la tentation. Finalement, mon indexe remonta le long de son torse pour se glisser sous son menton, et inciter Akira à se redresser à son tour. Une fois à ma portée, je le serrais contre moi de toutes mes force, une de mes main remontant sa nuque jusque dans ses cheveux, la deuxième se crispant entre les deux omoplates, tandis que je l'embrassais passionnément, oubliant presque de respirer. Je fis ensuite frolrt mes lèvres le long de sa mâchoire jusqu'à son oreille, dont l'embrassais doucement l'ourelet.

- A toi de jouer... soufflais-je à son oreille, avant de lui mordiller le creux de l'épaules.

Un sourire étirait mes lèvres, tandis qu'une pointe d'impatience naissait au creux de mon ventre... mon désir ardent allait-il être comblé?

Chacun des baisers qu'elle laissait sur mon visage était comme une marque apposée au fer rouge sur ma peau, une marque que je voulais sentir encore et encore, une marque qu'elle m'apposait encore et encore tandis que je collais davantage mon corps au sien.

Le regard qu'elle me lança ne qu'enflammer d'avantage mon corps. S'il avait été en feu, il serait alors devenu un brasier en cet instant tellement il désirait le sien.

Le premier contact avec sa langue m'arracha un soupir, un regard et un sourire de plaisir avant que ses lèvres ne s'emparent de ma supérieure.

Lorsque je la sentis ensuite entre mes lèvres, un gémissement m'échappa tendis que je me faisais violence pour ne pas serrer davantage sa main tandis que celle que j'avais de libre plongea dans ses cheveux pour attirer davantage son visage près du mien, intensifiant davantage notre baiser.

Elle me faisait plonger dans une lente et délicieuse agonie.

Lorsqu'elle fut redressée et que je la vis rejeter ses cheveux en arrière avec ce regard... je crus que je perdais toute humanité. Mon corps en manque du sien, mon souffle incontrôlé, mon regard rempli de désir et d'envie, mes mains glissant vers l'intérieur de ses cuisses sans retenue et avec délectation, mon sourire d'affamé, tous ces éléments m'empêcher de dissimuler la folie que le mon envie d'elle me procurait.

Lorsque je me redressai, je m'empressai de poser mon corps contre le sien en l'embrassant sauvagement avec ardeur et passion. Je posai une main au niveau de ses reins pour l'attirer davantage contre moi tandis que l'autre parcourait sa cuisse. Ma main dans son dos remonta lentement ce dernier tandis que l'autre remontait le long de sa cuisse pour ensuite glisser lentement le long de sa taille.

Je me mordis le coin des lèvres avec un sourire lorsqu'elle souffla à mon oreille.

Je l'embrassai dans le cou et n'eus pas besoin de me le faire répéter...




Ce fut le chant d'un oiseau posé devant la fenêtre fermée de ma chambre qui me tira du sommeil que j'avais maudis lorsqu'il avait eu raison de moi.

J'ouvris doucement les yeux et constatai avec un sourire, même un soulagement que je n'avais pas rêvé de la nuit dernière mais qu'elle avait bien eu lieu en voyant Azylis à mes côtés, les yeux fermés. Je passai doucement mon index le long de son épaule avec un sourire amusé.

Cet oiseau... je l'aurais bien flingué, mais manque de bol j'aimais les animaux... c'est chiant ce genre de dilemme.

Je tentais de me rendormir, mais une douce caresse sur mon épaule m'en dissuada. J'ouvris doucement un oeil, et vit le visage souriant d'Akira au premier plan.

- Mais comment voulez-vous que je sois performante dans mon travail si un sale piaf de merde et un charmant garçon se liguent ensemble contre mon sommeil, hein? demandais-je d'une voix endormie, nichant mon visage dans son cou pour protéger mes yeux de la lumière du jour.

Les draps rejetés en boule au bout du lit, je frissonnais légèrement en sentant ma peau à l'air libre.

Combien d'heure avions nous dormis? 4h? 5h? Plus? Moins? Aucune idée... je ne savais même pas à quel moment ce traitre de Morphé était venu me prendre dans ses bras, épuisée. Je crois que je l'avais un peu... beaucoup détesté à ce moment là. J'avais tout de même eu la force de régler une petite affaire avant de sombrer.

J'eus un sourire amusé en le voyant rougir.

- "Punaise, la chance que j'ai! En plus, si elle est encore là, c'est que j'ai du assurer comme un dieu!", répondis-je avant de poser doucement mes lèvres sur les siennes.

Je souris de satisfaction quand il m'enlaça, sa chaleur corporelle limitant la sensation de froid.

- Au fait... tu ne serais pas skyzo des fois? demandais-je avec un petit rire, le visage toujours dans son cou.

Je lui caressais doucement le torse du bout des doigts avant d'ajouter:

- Vous êtes combien dans ce corps?

- Comment te dire...? fis-je semblant de réfléchir, mon indexe sur le menton.

Je posais soudain mes mains sur ses épaules, et le fix basculer sur le dos, me retrouvant au dessus. Je croisai mes bras sur son torse et posai mon menton dessus, un sourire au lèvres.

- j'ai pas rêver tout à l'heure, tu as rougis? Pourquoi? Parce que j'ai dit la vérité? Il ne te faut pas grand chose... alors qu cette nuit, la seule touche de couleur que j'ai vu sur tes joues était due à la chaleur provoquée par l'union de deux corps enflammés...

La vache! J'ai vachement bien tourné la phrase! U_U

- Du coup, je me demande s'il y a vraiment 1 seul Akira... et non pas plutot un timide et son total opposé.

Je lui tirais la langue avec amusement.

- Tien donc?

Ma peau frissona sous ses caresses, et je fermais les yeux pour mieux les apprcier (au risque de me rendormir)

- Dommage que tu ne sois pas plus souvent comme ça: tu étais agréablement entreprenant...

Quand elle passa à portée de mes lèvres, j'embrassais furtivement sa main qui se baladait sur mon bras.

- C'est dommage, ça me plaisait bien l'idée des deux Akira: un le jour pour le taquiner, et l'autre la nuit pour s'amuser d'une façon différente... rien que pour cette qualité je t'aurais adopté.

Je ris doucement, et lui tirais la langue, les yeux toujours fermés.

- Nourris, logé, abreuvé, cocktail gratuit et presque sur commande, amusement... que demander de plus? plaisantais-je.

Je serais bien restée comme ça tout le reste de la matiné/après midi/journée... mais le devoir m'apelais, et...

- Et merde...

Je posais mon visage contre son torse, accablée.

- j'avais 2 admissions et une révélation à faire... j'ai totalement zapé... je doute qu'il soit 8h, 9h ou même 1Oh...

Je soupirais, profitant de ma position pour embrasser son torse.

- Tant pis! Ca sert à rien de ressasser le passé!