Oulà, comment j'ai attéris là moi?

par **Kaoru** Lun 7 Juin - 23:03

Nom:
Abaraï

Prénom:
Kaoru

Age:
19 ans

Caractéristique physique:
Pour un garçon, je suis plutôt petit, 1m70, environ et fin, en plus.
En gros de loin, j’ai l’air d’un gringalet. En revanche, de prés, c’est-à-dire quand on prend mon poing dans la figure, il est facile de se rendre compte que j’ai des muscles, un peu. Heureusement vu mon travail.
Pour le reste, je suis japonais métisse et ça se voit.
J’ai une peau tanné, une ossature et un visage fin et des yeux bridés, c’est leur couleur qui révéle mon métissage, il sont violets.
J’ai des cheveux mis long, raide, de longues mèches tombe jusqu’à mon menton et dans mon cou, du cou, je les relève souvent en queue de cheval. Leur couleur aussi n’est pas très..conventionnelle pour un japonais, il sont roux orangée.
En se qui concerne les fringue, je porte surtout des jean baggy et des chemises.
Je privilégie le blanc et le noir, mais j’ai rien contre la couleur. De temps en temps, sur un coup de tête, je me trimbale en kimono ou en hakama.
La tête des passants…C’est trop drôle.

Caractère:
Hum…Comment me définir. Je suis une sorte de mélange entre le gars sérieux et le joyeux fêtard.
Joli paradoxe hein?
Je suis toujours sérieux dans mon travail, tel qu’il soit. Je me concentre et m’applique toujours.
J’aime le travail bien fait. Je sais aussi tenir un conversation sérieuse…j’ai un minimum de culture et de bon sens, ça peut aider.
En revanche, j’adore aussi m’amuser. J’ai bien dis m’amuser, pas me défoncer.
En gros, j’aime faire la fête jusqu’à des heure pas possible et je suis un spécimen rare parce que je la fait sans boire ou me défoncer.
Ou alors, je tien bien l’alcool…Va savoir…
A noter que je sais se que je veux et quand je le veux, je l’obtiens. Je ne supporte pas qu’on me marche sur les pieds, en générale, je ne me laisse pas faire.
Je perd vite mon calme, je m’emporte, je ne supporte pas les gens qui me tienne tête même quand ils ont tord. J’avoue que je n’aime pas vraiment avoir tord moi-même, mais j’ai appris à être indulgent et à reconnaitre mes erreurs. Même si je peut souvent paraitre orgueilleux, je sais aussi être humble.
Pour finir, je dirais que je suis quelqu’un de respectueux, envers ceux qui les respecte, c’est-à-dire, mes ainés, après, je décide tout à fait arbitrairement si les autres en sont digne ou pas.

Ce que j’aime:
Hum, ben faire la fête, forger à ne plus sentir mes bras, courir, m‘entraine au sabre, …Mes amis et…ma sœur.

Ce que je n’aime pas:
Je supporte pas les gens borné incapable de se remettre en question et les dragueurs…Surtout quand il tourne autour de ma sœur.

Passion:
Les sabres, leur naissance et leur maniements.

Objet précieux:
Un bracelet en cuir bleu marqué au initiale KI qui, en plus de signifier, en gros énergie vitale, signifie aussi autre chose de bien plus important pour moi.

Pouvoir:
Guérison

Histoire
Je suis née à Hokodate, une petite ville sur l'île japonaise d'Hokkaïdo, mes parents étaient tous les deux japonais. Ma mère travaillait chez un médecin et mon père était un forgeron reconnu.
J’aimais bien mon île paumée, le climat et le terrain ont fait que les grande ville comme Tokyô sont impossible à recréer la bas, et moi, j’aime l’air frais et pure, il est bien plus propice a la forge.
J’avais une sœur jumelle. Nous n’étions pas jumeaux pour rien, en plus d’énormément nous ressembler, même yeux , même cheveux, même corpulence, bien que je sois un peu plus grand, nous nous entendions aussi à merveille. Chacun savait se que l’autre pensait avant qu’il ne le dise, on était même capable de finir les phrase de l’autre.
Elle était d’un naturelle bien plus calme que moi, je crois que je ne l’ai jamais vu en colère, et elle m’a sauvé la mise un nombre incalculable de fois, n’exhortant au calme.
C’est elle qui m’a appris l’humilité.
C’est pour cette raison que je n’ai jamais apprécier la différence que mon père faisait entre nous sous prétexte qu’elle était une fille.
Elle, elle s’en accommodait, faisant son possible pour rendre fière notre père avec ses petits moyens.
Moi, quoi que je fasse, mon père était content.
J’avais de bonne note en cour, je maniait les armes de mieux en mieux, enfaite, j’ai jamais rien fait pour le contrarié…
En tout cas, il ne le su jamais. Je savais que ma sœur crevé d’envie de manier un sabre, sans rien dire à mon père, j’ai décidé de lui apprendre.
Pareil quand mon père décida que je devais arrêter les cour pour apprendre à forger et ensuite prendre le relais. Ca ne m’a pas gênait étant donné que j’attendais ça depuis tout petit.
J’ai également pris l’initiative d’apprendre à ma sœur à forger.
Mais tout se que j’ai pu lui apprendre, je ne l’ai pas fait seul.
Seitarô m’y aider. Nous le connaissions depuis une éternité, aussi loin que remonte mes souvenirs, il à toujours été avec nous.
Il est devenu l’élève de mon père avant moi. Il était bien plus doué que moi. J’avoue que j’ai toujours été un peu jaloux de lui.
Plus encore quand je remarquais que ma sœur n’avait d’yeux plus que pour lui. Mais je passais outre, préférant encore qu’elle choisisse Seitarô à un des crétins qui lui tournaient autour ><.
Un jour, alors que je rentrais à la maison après quelques course pour ma mère, j’ai été pris en chasse par des gars qui avait abusé de Saké.
Je sais pas trop pourquoi, ma tête devait pas leur revenir. A partir de se moment, tout est très flou dans ma mémoire.
Je sais que j’ai été blessé, mortellement mais que je ne suis pas mort. Je me souviens également de gens en noir qui m’on amené et pris soin de moi, je ne sais pas combien de temps j’ai passé avec eux, mais il c’est écoulé pas mal de temps, et jamais je n‘oubliais ma sœur, ça, je m‘en souviens. Chaque jour je me demandais comment elle allait, si elle me cherchait, si elle s‘en sortait.
Puis, un jour, je me suis retrouvé dans une rue, couvert de sang, mon sang et je ne sais plus pourquoi.
Je me suis écroulé dans une ruelle sombre, je crois que j’étais quelque part dans Tokyô, mais je suis pas certain, je me sentais nauséeux, je cru vraiment que j’allais mourir et je remarquais alors mon bracelet, marqué du mot KI se mettre à briller d’une lueur froide et je me sentis soudain mieux, la douleur de mon corps disparaissait doucement.
Et alors que je croyais aller mieux, je m’écroulais, au bords de l’inconscience. C’est alors qu’ils me sont apparu. Un homme et une femme qui me proposèrent de m’amener pour m’expliquer se qui venait de m’arriver. Sans hésiter, j’acceptais.