Est-ce mon heure?

Nom: Internum.

Prénom: Valeth.

Age (entre 12 et 20 ans): 17ans.

Caractère: Je me laisse facilement emporter par mes émotions mais je sais me contenir quand il le faut, en fait c'est une simple question d'habitude. Je me fait facilement avoir par les autres, trop bon trop c*n on dit, n'est ce pas? Par contre, lorsque je le découvre soit je me mets en colère soit je tombe en dépression.

Apparence: Dans les 1m90, j'ai des cheveux marron foncé/noir, les yeux marron. Je suis plutôt musclé, c'est surement dû aux entraînements auquels mon père m'a habitué.
Je porte n'importe qu'elle type de vêtements, m'intéresant peu à la mode; tant que j'ai un minimum de confort, tout me va.

Pouvoir et Élément: ubiquité et bois.

Objet Précieux: une plaque d'identification de soldat.

Aime: Le rangement, les dictons, les gens simples.

N'aime pas: tout ce qui met des innocents et mes amis en danger, les hypocrites, les gateaux secs.

Histoire pré-Valhalla: J'ai vécu en Amérique. Ma famille venait de grèce et me donna un prénom plutôt hors du commun; Valeth, il parait que ça à un rapport avec une légende ou je ne sais quoi du genre. Etant très patriotique, nous étions militaires de père en fils. Du coup, dès que je fus suffisament agé pour apprendre à tenir une arme mon père m'offrit le plaisir de tenir son arme.
Au bout de quelques années, il fut évident que j'avais une préférence pour les fusils-mitrailleurs. Vers mes 14ans mon père est parti en Irak. 2 semaines après mes 15ans j'appris qu'il était tombé sur le champ d'honneur; signifiant qu'il avait était tués dans une embuscade. La seule chose que l'on m'a donné de lui était sa plaque d'identification et un court chant de guerre écrit sur un bout de papier qui ne devait plus être tout jeune:
"Amour sacré des Walkiries,
conduis, soutient nos bras vengeurs!
Liberté, liberté chérie."
Ce jour-là, j'ai remis en cause les traditions familiales, pourquoi deviendrais-je militaire si c'est pour que ma famille pleure ma disparition? Je me refusais à toucher aux armes, les enfermant dans des coffres forts installés dans le garage.
Un jour où je rentrais chez moi, je vis la porte du garage défonçait. Intrigué, je m'approchais et remarqua que les coffres étaient grands ouvert. J'entendis ma mère hurlait dans la maison. Je courrais vers la porte, l'ouvris à la volée et vit ma mère couchait par terre, une énorme tâche rouge entourait son corps. Au-dessus d'elle se trouvait deux hommes cagoulés tenant nos armes. Ils se retournèrent vers moi et je nus que le choix de tourner les talons de cette scène. J'entendis derrière moi des bruits de balles.Je m'enfuis, mes pas me guidant vers les coffres, s'ils avaient pris seulement deux armes, il devait en rester.
Je pris la première qui me tomba sous la main et me cacha derrière les coffres juste à temps pour éviter une salve de balle. Je fis un tir de sommation et ils répliquèrent aussitôt. Je savais ma situation précaire, l'image de ma mère me revenait en tête... Il fallait me ressaisir, si j'arrivais à les faire fuir et à appeler l'ambulance peut être que...
Je regardais leur position, tirant vers eux, afin qu'ils hésitent à sortir pour me tirer. L'un d'entre eux ne se laissa cependant pas avoir et me mit une balle dans le bras. J'avais mal et avec un bras d'abimé ma précision ne serait plus la même... Je fermais les yeux, prit la plaque de mon père dans mes mains, la mis à niveau des yeux et pria. Je les rouvris et lorsque mes yeux virent un reflet qui n'était pas le leur. Je me sentis soudain épuisé. Je la baissa et tomba nez à nez avec moi-même, comme si je me regardais dans une glace. Je poussais un cri et le vit prendre une arme. Il me fit comprendre d'un mouvement d'arme qu'il souhaitait tenter une percée. A deux c'était possible... mais avec une hallucination?!? Tant pis, de toute manière si je ne tentais rien j'y resterais alors... Je lui fis signe de tête que j'étais d'accord. Nous fonçâmes en leur tirant dessus. J'en touchais un à la jambe et l'autre moi toucha l'autre au bras. J'entendis les sirènes des voitures de police, les coups de feu avait fini par convaincre les gens d'appeler les policiers. Je vis les deux hommes fuir. Je ne les poursuivais pas. Je regardais vers mon autre moi, il n'était plus là. Je m'en fichais. Il y avait plus important pour l'heure; par exemple le fait que la plaque de mon père brillait étrangement ou encore que..! J'avançais, avec toute l'énegie qu'il me restais vers ma mère. Je m'agenouillais à côté d'elle, elle ne bougeait pas. Je voulais prende son pouls mais quelqu'un me prit par l'épaule, je me tournais vers lui. Il m'annonça qu'il était trop tard pour elle mais que je pourrais faire quelque chose pour que celà ne se reproduise plus. Quand, dans un état à moitié comateux, je lui demanda comment faire il me répondit que je n'avais qu'à venir avec lui.
Comme on peut le constater par ma présence, J'ai accepté son offre.

Autres: J'adore les pres' des autres. :-)

heheeeee welcooome!

Vivement que tu sois validééé! XD

En effet j'avais oublié ce détail! mais j'ai édit.

Voilà j'ai ajouté Et non la blessure n'est que superficiel mais disons qu'avec la douleur on ne vise plus aussi bien que d'ordinaire qu'en on a pas fait de vraies guerres.

oh! Retard!
Bienvenue à toi!!!