Il parait que c'est obligatoire
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Il parait que c'est obligatoire
Nom: Black
Prénom: Nashoba, mais tout le monde m’appelle Nash
Age: 19 ans
Caractère:
Dans le genre discret, on fait pas beaucoup mieux. Ce n’est pas par timidité, ni par peur mais plutôt pas envie de tranquillité. Je n’aime pas allais vers les autres, tout simplement parce que je n’aime pas qu’on me dérange, pourquoi irais-je déranger les autres? Mais je ne suis pas associable, si on vient vers moi, je reste poli et ouvert, autant que faire se peut.
Je n’ai pas énormément d’amis, et ça me conviens, pour eux, je donnerais tout. Je n’aime pas les voir souffrir, pour les autres, je ne reste pas indifférent, je considère que se ne sont pas mes affaires.
Personne ne c’est jamais préoccuper de mon sort, pourquoi me préoccuperais-je d’eux?
J’exagère un peu, voir souffrir une femme m’est insupportable, j’ai horreur de ça. Ma grand-mère me qualifié de chevalier servant, c’est peut être vrai.
Autre particularité chez moi, je suis franc, je dis toujours se que je pense. Même si la vérité n’est pas toujours bonne à entendre, elle est se qu’il y a de plus respectueux envers les autres. Quand je n’aime pas quelqu’un, je le dit, quand quelqu’un me plait, je le lui dit aussi.
Pouvoir: Morphe, Métal
Objet précieux: la chevalière de mon grand père.
Aime: le calme, le tir à l’arc, la forêt, ma mère.
N’aime pas: les hommes méchants, ceux qui font souffrir les femmes, le bruit, la ville
Caractéristiques physiques:
Je suis un métis, j’ai donc la peau matte. J’ai des traits fin malgré mes origines. Mon corps est tout aussi fin, mais reste musclé (entrainement intensif exige). Mes cheveux sont noir corbeaux et me tombe sur les oreilles. Mes yeux sont bleu océan.
Histoire pré-Valhalla:
Je suis amérindien…à moitié du moins. Ma mère était une indienne cherokee, mon père un américain.
Je ne sais absolument rien de lui, tout comme ma famille. Je suis le fruit d’un chose horrible, de la pire épreuve que puisse endurer un femme. A l’âge de 17 ans, elle fut la victime d’un viol (n’ayons pas peur des mots).
Malgré cela, ma mère m’a toujours aimé. Elle c’est toujours occupé de moi, du mieux qu’elle pouvait. Elle était aidé par son propre père qui avait imité sa fille et ne m’avait jamais détesté. Il m’a appris tout se que je sais.
Légendes cherokee, traditions, chasse, traque, tire à l’arc et j’en passe.
J’aurais pu avoir une vie rêvé si je n’avais pas été un métisse. Comme beaucoup d’indien en Amérique, ma mère, mon grand père et moi vivions dans une réserve. Les autres enfants de mon âge n’ont jamais aimé ma peau trop clair, mes yeux trop bleu. Sans mon grand père, ils auraient réussi à me faire vivre un enfer pire encore.
Il m’as appris à me défendre en m’enseignant d’abord son éloquence, puis sa force de combat. Ce qui me permis de tenir les autres à distance, sans jamais pourtant réussir à me faire respecter…alors aimer, je ne l’avais même jamais envisagé.
Ma famille était consciente de mon malaise, et ma mère pris la décision de m’envoyer dans une école hors de la réserve. J’avais alors 10 ans.
Cette décision changea ma vie. Bien sure, là bas aussi mon métissage me posa quelques problèmes, et le même schéma aurait pu se reproduire, mais je réussis à me faire des amis, certains voyaient au-delà de mon métissage.
Alexander et Léo, deux frères, devinrent vite mes meilleurs et seuls amis, nous étions inséparables. Avec eux, je n’avais peur de rien.
Cette période de ma vie fut la meilleure.
Mais rien ne dure!
Un jour que nous faisions une sortie de classe, nous fûmes victimes d’un accident de bus. Une dizaine d’élève y perdirent là vie, dont Léo.
Alexander ne s’en releva pas, et moi non plus, encore plus quand ses parent décidèrent de partir loin du drame qu’avait vécu leur famille.
Moi je restais seul à la réserve, avec ma mère et mon grand père. Et comme un malheur n’arrive jamais seul…se dernier tomba gravement malade et bien sure, ne résista pas à sa maladie.
J’avais l’impression que j’étais maudit, tout autour de moi s’écroulais.
Après la mort de mon grand père, je désertais la maison, sous prétexte de ramener de l’argent à la maison, je tombais dans des trafics tout sauf légaux. Je me laissais aller à des énormités, drogue, alcools, trafique et j’en passe.
J’avais alors 16 ans. Ma mère ni vis que du feu, je crois qu’elle avait finis par tomber en dépression.
Je m’en voulais, je m’en voulais terriblement, et au lieu d’essayer de m’en sortir, je m’enfonçais un peu plus. et mon calvaire dura encore 3 ans.
Un jour, je rentrais totalement shooté à la maison, mais de l’argent plein les poches. Mais mon état alerta ma mère. Je crois que je ne l’avais jamais vu aussi en colère. Enervé et agacé par ce sermon, j’étais sorti en courant, me réfugiais au cimetière, sur la tombe de mon grand père.
Alors que je l’avais toujours adoré, j’entrais dans un rage folle, certainement à cause de la drogue qui coulait dans mes veines.
Tout était de leur faute, ils étaient partis, lui, Léo, Alexander. Je me sentais subitement seul au monde, abandonné, laissé à mon sort. Je souffrais tant sur le plan morale que sur le plan physique.
Je m’écroulais sur la tombe de mon grand père, hurlant de douleur et de rage. Je sentis un changement soudain dans mon corps, la douleurs de mes membres s’envolait doucement, et je me sentais un peu mieux. Je ne sais pas combien de temps exactement combien de temps je restais prostré, mais quand j’essayais de me relever, je me trouvais étrangement proche du sol. Je regardais ma main étonné et fut horrifié…ma main…ce n’était plus ma main mais une patte, une patte de chien ou de loup.
Je ne comprenais absolument rien. Du coinde l’œil, j’entraperçus mon reflet déformé par le marbre de la pierre tombale. Même déformé, je ne me reconnu pas, le profil qui se dessinait sur le marbre était celui d’un loup, j’en était sure.
Je sentis à nouveau mon corps changer, je regardais de nouveau mes mains, elle étaient redevenues normale.
Je sentis alors la chevalière de mon grand père, pendu à une chaine autour de mon cou briller à travers mes vêtement, je sentis vidé de mes forces et fut incapable de bouger.
C’est alors qu’on vint me chercher. Ils étaient deux et me proposèrent nouvelle vie et explication si je les suivait. Je n’eus que le temps d’hochais la tête avant de perdre conscience.
Prénom: Nashoba, mais tout le monde m’appelle Nash
Age: 19 ans
Caractère:
Dans le genre discret, on fait pas beaucoup mieux. Ce n’est pas par timidité, ni par peur mais plutôt pas envie de tranquillité. Je n’aime pas allais vers les autres, tout simplement parce que je n’aime pas qu’on me dérange, pourquoi irais-je déranger les autres? Mais je ne suis pas associable, si on vient vers moi, je reste poli et ouvert, autant que faire se peut.
Je n’ai pas énormément d’amis, et ça me conviens, pour eux, je donnerais tout. Je n’aime pas les voir souffrir, pour les autres, je ne reste pas indifférent, je considère que se ne sont pas mes affaires.
Personne ne c’est jamais préoccuper de mon sort, pourquoi me préoccuperais-je d’eux?
J’exagère un peu, voir souffrir une femme m’est insupportable, j’ai horreur de ça. Ma grand-mère me qualifié de chevalier servant, c’est peut être vrai.
Autre particularité chez moi, je suis franc, je dis toujours se que je pense. Même si la vérité n’est pas toujours bonne à entendre, elle est se qu’il y a de plus respectueux envers les autres. Quand je n’aime pas quelqu’un, je le dit, quand quelqu’un me plait, je le lui dit aussi.
Pouvoir: Morphe, Métal
Objet précieux: la chevalière de mon grand père.
Aime: le calme, le tir à l’arc, la forêt, ma mère.
N’aime pas: les hommes méchants, ceux qui font souffrir les femmes, le bruit, la ville
Caractéristiques physiques:
Je suis un métis, j’ai donc la peau matte. J’ai des traits fin malgré mes origines. Mon corps est tout aussi fin, mais reste musclé (entrainement intensif exige). Mes cheveux sont noir corbeaux et me tombe sur les oreilles. Mes yeux sont bleu océan.
Histoire pré-Valhalla:
Je suis amérindien…à moitié du moins. Ma mère était une indienne cherokee, mon père un américain.
Je ne sais absolument rien de lui, tout comme ma famille. Je suis le fruit d’un chose horrible, de la pire épreuve que puisse endurer un femme. A l’âge de 17 ans, elle fut la victime d’un viol (n’ayons pas peur des mots).
Malgré cela, ma mère m’a toujours aimé. Elle c’est toujours occupé de moi, du mieux qu’elle pouvait. Elle était aidé par son propre père qui avait imité sa fille et ne m’avait jamais détesté. Il m’a appris tout se que je sais.
Légendes cherokee, traditions, chasse, traque, tire à l’arc et j’en passe.
J’aurais pu avoir une vie rêvé si je n’avais pas été un métisse. Comme beaucoup d’indien en Amérique, ma mère, mon grand père et moi vivions dans une réserve. Les autres enfants de mon âge n’ont jamais aimé ma peau trop clair, mes yeux trop bleu. Sans mon grand père, ils auraient réussi à me faire vivre un enfer pire encore.
Il m’as appris à me défendre en m’enseignant d’abord son éloquence, puis sa force de combat. Ce qui me permis de tenir les autres à distance, sans jamais pourtant réussir à me faire respecter…alors aimer, je ne l’avais même jamais envisagé.
Ma famille était consciente de mon malaise, et ma mère pris la décision de m’envoyer dans une école hors de la réserve. J’avais alors 10 ans.
Cette décision changea ma vie. Bien sure, là bas aussi mon métissage me posa quelques problèmes, et le même schéma aurait pu se reproduire, mais je réussis à me faire des amis, certains voyaient au-delà de mon métissage.
Alexander et Léo, deux frères, devinrent vite mes meilleurs et seuls amis, nous étions inséparables. Avec eux, je n’avais peur de rien.
Cette période de ma vie fut la meilleure.
Mais rien ne dure!
Un jour que nous faisions une sortie de classe, nous fûmes victimes d’un accident de bus. Une dizaine d’élève y perdirent là vie, dont Léo.
Alexander ne s’en releva pas, et moi non plus, encore plus quand ses parent décidèrent de partir loin du drame qu’avait vécu leur famille.
Moi je restais seul à la réserve, avec ma mère et mon grand père. Et comme un malheur n’arrive jamais seul…se dernier tomba gravement malade et bien sure, ne résista pas à sa maladie.
J’avais l’impression que j’étais maudit, tout autour de moi s’écroulais.
Après la mort de mon grand père, je désertais la maison, sous prétexte de ramener de l’argent à la maison, je tombais dans des trafics tout sauf légaux. Je me laissais aller à des énormités, drogue, alcools, trafique et j’en passe.
J’avais alors 16 ans. Ma mère ni vis que du feu, je crois qu’elle avait finis par tomber en dépression.
Je m’en voulais, je m’en voulais terriblement, et au lieu d’essayer de m’en sortir, je m’enfonçais un peu plus. et mon calvaire dura encore 3 ans.
Un jour, je rentrais totalement shooté à la maison, mais de l’argent plein les poches. Mais mon état alerta ma mère. Je crois que je ne l’avais jamais vu aussi en colère. Enervé et agacé par ce sermon, j’étais sorti en courant, me réfugiais au cimetière, sur la tombe de mon grand père.
Alors que je l’avais toujours adoré, j’entrais dans un rage folle, certainement à cause de la drogue qui coulait dans mes veines.
Tout était de leur faute, ils étaient partis, lui, Léo, Alexander. Je me sentais subitement seul au monde, abandonné, laissé à mon sort. Je souffrais tant sur le plan morale que sur le plan physique.
Je m’écroulais sur la tombe de mon grand père, hurlant de douleur et de rage. Je sentis un changement soudain dans mon corps, la douleurs de mes membres s’envolait doucement, et je me sentais un peu mieux. Je ne sais pas combien de temps exactement combien de temps je restais prostré, mais quand j’essayais de me relever, je me trouvais étrangement proche du sol. Je regardais ma main étonné et fut horrifié…ma main…ce n’était plus ma main mais une patte, une patte de chien ou de loup.
Je ne comprenais absolument rien. Du coinde l’œil, j’entraperçus mon reflet déformé par le marbre de la pierre tombale. Même déformé, je ne me reconnu pas, le profil qui se dessinait sur le marbre était celui d’un loup, j’en était sure.
Je sentis à nouveau mon corps changer, je regardais de nouveau mes mains, elle étaient redevenues normale.
Je sentis alors la chevalière de mon grand père, pendu à une chaine autour de mon cou briller à travers mes vêtement, je sentis vidé de mes forces et fut incapable de bouger.
C’est alors qu’on vint me chercher. Ils étaient deux et me proposèrent nouvelle vie et explication si je les suivait. Je n’eus que le temps d’hochais la tête avant de perdre conscience.
Dernière édition par Nashoba le Mer 24 Mar - 23:52, édité 2 fois
Nashoba- Messages : 558
Age : 33
Feuille de personnage
Âge: 19 ans
Pouvoirs: Morphe
Animae: Je l'attend avec impatience
Re: Il parait que c'est obligatoire
J'aime beaucoup l'histoire de ton perso
Bienvenu !!!
Bienvenu !!!
Aoi- Messages : 194
Age : 34
Feuille de personnage
Âge: 19
Pouvoirs: Controleur d'ombres
Animae: Marié à Akito...mais cherche on m'a dis que je vais trouver mieux x)
Re: Il parait que c'est obligatoire
Rien à redire pour la Présentation, tout est bien respecté. Tu es validé. Amuse-toi bien!
Re: Il parait que c'est obligatoire
Bienvenue!!!! J'aime bien l'histoire de ton perso! Amuse-toi bien en tout cas!!!
Akira- Messages : 2698
Age : 34
Feuille de personnage
Âge: 23 ans
Pouvoirs: Morphe d'Eau
Animae: Tiago, un Griffon
Re: Il parait que c'est obligatoire
Merci beaucoup, ça fait plaisir^^.
Nashoba- Messages : 558
Age : 33
Feuille de personnage
Âge: 19 ans
Pouvoirs: Morphe
Animae: Je l'attend avec impatience
Re: Il parait que c'est obligatoire
Jolie press, c'est vrai que ton histoire est bien^^
Bienvenue et amuse toi bien^^.
Bienvenue et amuse toi bien^^.
Itaku- Messages : 676
Age : 33
Feuille de personnage
Âge: 18 ans
Pouvoirs: Invisibilté, non, je n'en profite pas!
Animae: Je scrute chaque buissons dans l'espoir de le rencontrer
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