Me voilà!!

par **Itaku** Dim 21 Mar - 15:17

Nom: Abaraï

Prénom: Itaku

Age: 19 ans

Caractère: Je sais ce que je veux et je me donne à fond pour l'obtenir. Je suis du genre à garder mon calme, il en faut beaucoup pour me voir en colère, mais il vaut mieux ne pas me voir en colère. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds et je ne supporte pas qu'on me fasse la morale pour un oui pour un non. Je dit toujours ce que je pense car j'aime l'honnêteté, même si elle fais mal. Pourtant je laisse rarement paraître mes émotions. Je suis du genre méfiante, attention, pas associable, mais j'ai du mal à faire confiance aux autres et je suis très très rancunière. Alors avis aux amateurs ! On me dis souvent que je suis pleine de bon sens et que je fais un effet bizarre aux gens, je ne sais toujours pas lequel!! Je cherche toujours à surpasser mes peurs, à les ignorer.

Caractéristiques physiques: Je serais ce que l'on appel dans la norme proportionnelle. Je mesure environ 1m 65, genre: passe partout. Je dois peser.....hum.... ça c'est un secret, en tout cas je ne suis ni trop grosse, ni trop maigre. Y a deux trucs que j'aime particulièrement chez moi: mon ventre plat et mes mains fines. J'ai les cheveux longs, roux orangés, coupés en dégradé triangulaire, tombant sous les fesses. Je les porte généralement à "moitié" attachés. Mes yeux sont ne sont pas de la même couleurs, a la suite d'un...incident. Mon oeil droit est violet clair et mon œil gauche tire plus sur le bleu indigo, il est barré d'un cicatrice verticale.

Objet précieux: Bracelet en cuir bleu nuit gravé aux initiale de mon frère et moi. Elles forment le mot « Ki » qui signifie, en gros énergie, c’est un mot très important pour les pratiquant d’un art martiaux.

Ce que j'aime: Les balades à cheval, la musique, jouer du piano ou de la guitare, même si ça ne m'arrive pas souvent, les feu de cheminé, lire....me cultiver en général, courir.....le sport en général, sauf les sport d'équipe.

Pouvoir: Invisibilité puis Feu

Ce que je n'aime pas: Les gens focu ou hypocrite, les araignées, les petites pièces sombres, l'eau.

Ma passion: Les arts-martiaux, surtout au sabre ( kendo, iaito, aikido...)

Histoire prè Valhalla: Je suis née à Hokodate, une petite ville sur l'île japonaise d'Hokkaïdo, mon père était japonais et ma mère, européenne, roumaine, exactement . Elle travaillait chez un médecin et mon père était un forgeron reconnu. J'avais un frère jumeaux, Kaoru. Nous avons reçu une éducation très traditionnelle. Mon père était très stricte, mais juste, même si il avait un préférence marqué pour mon frère. J'entretenais avec lui, comme avec ma mère, une relation quasi fusionnelle. Nous étions tous les trois très proches et mon frère m'a toujours aidé et soutenue. Je voulais rendre mon père fière de moi et mon frère m'y aidait. Il n'était pas tout seul à le faire, mon père avait un apprentis, Seitarô, nous nous connaissions depuis peut être la maternelle et lui et mon frère m'apprirent l'art du sabre, chose que mon père m'avait toujours refusé.
Seitarô m’as même initié aux arts de la forge, malgré les interdiction de mon père.
J’apprenais beaucoup avec lui et j’adorais sa compagnie…Je ne mis pas longtemps à n’avoir d’yeux que pour lui. Seul mon frère s’en aperçut, mais eut la gentillesse de ne rien dire. Je n’osais pas le faire, persuadé que je n’étais pas son genre de filles. Je me contentais des moments que je passais avec lui. J’ai toujours vu qu’l me considérait comme une petite sœur, alors, je l’ai considéré comme un frère, puisque je ne pouvais pas avoir plus.
Puis un jour tout bascula. Mon frère disparu, du jour au lendemain, je rentrais de cour et lui ne rentra jamais. Mon père en devint fou, il délaissa sa forge pour se consacrer aux recherches de mon frère. Il y fit passer toute notre fortune. Ma mère essayais de le soutenir, et moi j'essayais de soutenir ma mère. Je n'avais qu'une seule personne pour m'aider, Seitarô.
Mon père, au bout de plusieurs mois de recherche du se rendre à l'évidence. Mon frère avait disparus pour toujours. Il sombra dans l'alcool et devint violent avec ma mère. Un jour je ne pu m'empêcher de m'interposer et mon père me blessa au visage, depuis se jour, je porte une cicatrice vertical qui barre mon œil gauche. Ma mère supporta les violences de mon père pendant deux mois, dans le silence.
Puis elle ne tint plus. Un jour, en rentrant des cours, je la trouvais pendu dans notre salon, mon père, soul, dormait dans leur chambre. Il se mura dans le silence jusqu'à l'enterrement puis, il reporta sa violence sur moi. Je n'aurais pas survécu sans le soutient de Seitarô.
J'ai tenue quelque semaines puis je me suis enfui, sans prévenir qui que se soit, la rue est devenu ma maison. Je ne fus pas longue à intégré un réseau de prostitution, me laissant séduire par un homme, Hiroto et ses promesses. Je n‘en tombais pas vraiment amoureuse, mais se qu’il promettait de m’offrir me fit rêver, j’étais persuadé que je pourrais changé de vie. Je lui fit aveuglement confiance et il me piégea, m’utilisant comme un objet pour s’enrichir, faisant de moi une esclave trop surveiller pour ne serait ce que rêver à la liberté. Il avait fait de moi l'Exotique, utilisant mon métissage comme argument de "vente". J'aurais pu en oublier mon nom. Mais je fis ce qu'il faut pour ne pas oublier mes origines et mon nom.
Je crois que mon calvaire était pire encore qu'avec mon père, mais là, je ne pouvais pas m'échapper. Je survivais plus que je ne vivais, m'efforçant de grimper les échelons pour plus de sécurité. J'y arrivait mieux que je ne le pensais, et bien sure, je m'attirais les foudres de mes « collègues ». Je dus vivre comme ça un peu plus de deux ans. Enfaite, j’avais arrêter de compter après quelques mois, imaginant juste comme m’en sortir
Mais un jour , Hiroto, m'annonça qu'on était venu lui réclamer ma « libération », bien sure, il n'avais pas cédé et l'importun était mort. Le description qu'il m'en fit me glaça le sang, je connaissais celui qui avait voulu me sauver et l'idée de sa mort me rendait malade. Il m'annonça que se genre de chose ne devait pas se reproduire, enfaite, il avait prévu que ça ne se reproduise pas. Je me retrouver bloqué dans son bureau, seule face à lui. Je ne dus ma survie qu’à l’idée qu’il se faisait de moi. Il voulait jouer avec moi avant de me tuer, mais je ne me laissais pas faire, mettant en pratique se qu’avait pu m’apprendre mon frère et l’apprentis de mon père. Je réussis à sortir du bureau, sonné, apeuré. Je courus sans regarder derrière moi, je ne savais pas où aller. Hiroto et ses sbires c’était lancé à ma poursuite. Il me retrouvèrent deux jours plus tard, terrée dans un motel minable. Quand il défoncèrent la porte, je priais pour disparaitre, sachant que ma dernière heure avait sonné.
Contre toute attente et ma grande surprise, mon vœu sembla se réaliser, quand mes poursuivant entrèrent dans la chambre, et me cherchèrent alors que je leur faisait face. Je ne cherchait pas vraiment à comprendre et me précipitais dehors, à force de passer devant des voitures aux vitres teinté, je finis par remarqué que je n’avais pas de reflets. Je n’eus pas le temps de me posais plus de question que je sentie toute énergie quitter mon corps. Je tombais à genoux, sur un trottoirs, dans une ruelle coupe gorge, je tins mes mains devint moi et les vit reprendre des couleur. Sur mon poignet, mon bracelet en cuir bleu sur lequel était gravé mes initiale et celle de mon frère, se mit à briller intensément. Agenouillé par terre, à moitié consciente, j’aperçus une paire de chaussures noires arrêter devant moi, je levais lentement la tête pour voir qu’un homme me faisait face. J’étais persuadé qu’il était un sbires Hiroto et j’étais prête à mourir. Mais il ne se passa pas du tout se que j’attendais. Il me proposa de m’amener avec lui et de m’expliquer se qu’il venait de m’arriver. Il m’offrait une nouvelle vie. Je le suivit sans poser plus de question.