Pamięci Lech

par Lech Mer 19 Jan - 17:38

Nom : Kac

Prénom : Lech

Age : 18 ans U_U

Rang : Istari

Pouvoir : Contrôleur d'ombres air

Animae : Ma Lolliiiiiiiiiiipop, une anesse naine blanche avec des taches café au lait <3

Amis : Zak, Split', Amely, Lifaen, Yuna

Ennemis : Arthur =_= Et après, va savoir u_U

Rencontres : Ashes, Hanae

Objet précieux : Mon casque de musique

Objet porte bonheur : Un caleçon avec des noix dessus U_U <3

par Lech Sam 22 Jan - 11:03

J'étais assis dans le bureau de la directrice, mes petites jambes pendant dans le vide et mon regard d'enfant observant 2 adultes. L'une était assise à côté de moi, tenant son sac à main sur les genoux, jambes croisées, tailleur gris de marque, grosses perles autour du cou, cheveux couleur caramel remontés en un chignon serré stricte, rouge à lèvres impécablement mit et yeux bleu doux de mère. Un sourire fendait son visage aux traits fins et parfaits et elle continuait de discuter avec un language soutenut, d'une voie douce et claire. En face d'elle, derrière son bureau de directrice accomplit, une autre femme, les deux mains sur les accoudoirs de son fauteuil de cuir noir discutait elle aussi. Son language était courant cependant non vulgaire et une autorité farrouche s'échapait d'elle qui était la totale opposition de la première femme qui n'était autre que ma mère. Elles continuaient de parler, parfois riaient mais ne me demander jamais mon avi. Pourquoi étais-je là dans ce cas ? Pourquoi parlaient-elle de moi mais m'ignoraient ? Etait ce mal d'avoir de bonnes notes à l'école ? Je suppose que non, sinon ma mère ne serait pas si satisfaite... Mais alors, pourquoi parlent-elle de moi comme si je n'étais qu'un vulgaire objet que l'on présenter comme fabuleux et qui devait absolument... Sauter une classe ? Et mes copains, mes copines, ma maitresse ?

Enfin, ma mère se tourna vers moi et me sourit. Je l'adorais ma mère car elle me souriait toujours et elle était toujours gentille avec moi... Même si parfois elle me prenait vraiment pour un idiot...

- Mon cheri, nous avons beaucoup discuter avec ta directrice et je crois qu'il serait préférable pour toi que tu sautes le CE2. Tu n'en a pas besoin car tu es un fils très intelligent ! Je suis très fière de toi mon coeur ! Est tu d'accord ? me demanda-t-elle avec un sourire heureux.

Comment peut-on décevoir sa mère ? Pourquoi me prenait-elle par les sentiments ? Je le dévisageais un moment puis lui rendis son sourire :

- Oh oui, je veux bien maman !

La directrice rit, ma mère aussi. J'avais dis quelque chose de drôle ? Pourquoi est ce qu'aujourd'hui alors que d'habitude tout était si clair je ne comprenais plus rien ? Elle prit son sac et me tendit la main. Je sautais de mon siège et la saisis. Elle serra ensuite devant la porte la main de la directrice qui me regarda ensuite avec un grand sourire révélant ses dents usées par le tabac et me caressa les cheveux. Je penchais la tête sur le côté. Hein ? Enfin ma mère m'entraina dehors pour rejoindre la limousine et après qu'elle est donnée ses indications au chauffeur elle se tourna vers moi.

- Ah, c'est formidable Lech, tu te rends compte de la chance que tu as ? Tu vas pouvoir passer directement au CE2 à la rentrée prochaine soit dans 4 mois ! Tes resultats son excellent mon petit prince. Ooh, ce que je suis heureuse ! J'ai hâte d'annoncer la nouvelle à ton père !

Elle paraissait tellement heureuse que je ne pouvais lui dire que je ne voulais pas quitter mes copains... Je m'en ferait d'autres... Nous arrivâmes vite à la maison et durant tout le trajet ma mère n'avait cessée de s'esclamer qu'elle était fière, folle de bohneur et que j'avais de la chance... Qu'elle chance ?

Mon père rentra tard. Durant tout le temps d'attente ma mère avait fait au moins 100 fois le tour de la maison tellement elle était impatiente. Moi, j'étais monté dans ma chambre pour faire me devoirs. Finalement, c'était peut-être super de sauter une classe ! Si ma mère le disait... J'allais peut-être être aussi heureux qu'elle après tout. C'est avec cette pensée que je travaillais, assis derrière mon bureau, mes petits doigts d'enfant de 7 ans serrant mon crayon et c'est aussi avec cette pensée que je m'étais endormi après un dîner superbe et les félicitations de mon père adoré.

Pamięci Lech

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