Re: L'assassin revient toujours sur les lieux du crime. Je n'échapperais pas à la règle...

par **Edward** Sam 25 Déc - 12:03

Ses mains glissant sur mon torse m'encouragaient et je redoublais mes caresse, savourant le gout fruité de sa peau, m'enivrant de son parfum à en predre la tête.

Elle part quans même avec une longeur d'avance, c'est pass juste, un kimono, ça part facilement!!
Quand elle détacha ses lèvres de miennes alors que je la tenais serré contre moi, j'échappais un soupir de dépits avant de lui rendre son sourire, amusé.

Ses mains dans mes cheveux me tirait des frisons de plus en plus violent, laissant sur leur passage des sillons brulants.
Je glissais ma main le long de sa taille, soudant nos lèvres en un baiser plus passioné encore que les autres, et trouvait la fermeture de sa tunique que je fis glisser lentement, descendant dans son cou, j'utilisais mon autre mains pour faire glisser sa tunique de soie sur sa peau, enflamé par sa douceur, goutant du bout de la langue chaque parcelle de peau que je découvrais.
Ne retenant qu'à grand peine un soupir de plaisir alors qu'elle découvrait mon épaule.

Je me détachais d'elle à regret pour lui lancer un regard fièvreux, un sourire amusé aux lèvres.

"Tu va m'obliger à changer toute ma garde de robe là cette allure là."

Sans lui laisser le temps de répondre, je l'embrassais une nouvelle fois avant de descendre le long de l'arrête de sa machoire, dans son cou, suivant doucement le dessins de sa clavicule, glissant mes mains le long de ses bras pour finir par nouer nos doigts, serrant doucement ses mains dans les miennes comme pour m'empêcher de la dévorer et pouvoir savourer ce moment que j'aurais voulu faire durer une éternité.

par **Farfaya** Sam 25 Déc - 13:22

Je glissais lentement dans une douce euphorie, provoquée par ses baisers et ses caresses - j'aurais presque pu croire que je rêvais, que ce n'était qu'une énième élucubration de mon esprit détraqué destinée à me plonger lentement dans la folie, mais même si c'était le cas, si c'était pour retrouver à chaque fois la douceur de ses lèvres et la chaleur de son corps, j'étais partisanne de la folie douce. Ses sourires avides et son regard brillant m'arrachaient autant de frissons que ses mains glissant sur mon corps, et je souriais moi aussi, tantôt tendrement, tantôt avec avidité, m'abandonnant à lui comme je ne m'étais jamais abandonnée à personne. J'esquissais un sourire alors qu'il abaissait lentement la fermeture éclair de ma tunique, avant de la faire glisser pour découvrir ma peau, le frottement de la soie me semblant presque désagréable en comparaison de la douceur de ses lèvres contre ma peau.

Je laissais mes lèvres glisser le long de sa clavicule pour remonter doucement dans son cou, échappant un léger rire lorsqu'il émit des plaintes concernant son kimono sans me laisser le temps de répliquer, m'embrassant à m'en couper le souffle. Serrant ses mains dans les miennes, je me redressais lentement, rejetant les épaules en arrière pour laisser glisser mon manteau et enfin m'en débarasser, retirant une manche après l'autre avant d'enrouler un bras autour du cou d'Edward, laissant mon autre main glisser jusqu'à sa ceinture, que je dénouais pour de bon. Ecartant les pans de son kimono, je découvris enfin la peau de son torse, me plaquant contre lui avec avidité, brulant de sentir sa peau contre la mienne, brûlante de désir et de passion.

- Je...ne te laisserais plus jamais...m'échapper, soufflais-je à son oreille, haletante, laissant mes mains glisser dans son cou pour ensuite suivre les courbes de ses épaules, caressant sa joue de la mienne, les yeux clôts.

par **Edward** Sam 25 Déc - 13:50

Ses sourires me procurait des frison plus violent encore que ses mains traçant des lignes de feu sur ma peau déjà brulante.

J'aurais donnais n'importe quoi pour que ses sourires sont éternellement figé sur son merveilleux visage.
Je resserais mes mains sur les siennes alors que ses lèvres effleurèrent mon cou, je rejetais la tête en arrière incapable de retenir un soupir de plaisir.

Passant une main dans son dos alors qu'elle se débarrassait de son manteau, je remontais une mains le long de son bras, le carressant du bout des doigts, alors que je goutais une nouvelle fois la peau de son cou sans jamais me lasser de sa sasveur sucrée.
Ma main glissant le long de son bras dans l'autre sens, faisant lentement tomber les manche de son manteau sur lequel je tirais légèrement pour finir pas l'envoyer voler à travers la chambre.

Utilisant la main plaqué dans son dos, je l'attirais contre moi, incapable de me détacher d'elle plus que quelques secondes.
Glissant une mains le long de sa colone vertébrale, l'autre le long de sa taille, je passais une mains sous sa tunique et remontais lentement, savourant la douceur de sa peau sous mes doigts, couvrant son cou et ses lèvres de baiser aussi brulants que passionnés.

"J'ai pas...l'intention de..m'enfuir." soufflais je sur ses lèvres avant de m'en emparer.

Je me détachais d'elle à regret pour envoyer sa tunique rejoindre son manteau avant de la rallonger doucement sur le lit pour couvrir la peau de son ventre de baiser, glissant doucement mes mains jusqu'à la ceinture de son pantalon.

par **Farfaya** Sam 25 Déc - 14:08

Je le sentais frémir sous mes caresses, ce qui ne faisait qu'attiser la folie qui s'emparait lentement de mon esprit, celui-ci s'embuant de plus en plus alors que je m'abandonnais au plaisir que me procurait la sensation de sa peau contre la mienne. Les yeux clots pour mieux apprécier chaque frissons, je le laissait m'aider à me débarasser de mon manteau, qui s'offrit ensuite un baptême de l'air au travers de la chambre - bien fait, il commençait à devenir de trop. Je me lovais contre lui alors qu'il m'attirait de nouveau contre son torse, sur lequel je laissais glisser mes mains, son kimono entrouvert dévoilant un peu plus de peau à chacun de ses mouvements.

Je me cambrais contre lui lorsqu'il glissa sa main sous ma tunique, sa main glissant sur ma peau brûlante m'arrachant un gémissement que j'eu le plus grand mal à étouffer, rejetant la tête en arrière pour lui abandonner mon cou qu'il couvrait de baisers brûlants alors que je crispais mes mains dans ses cheveux. Docile, je relevais les bras pour qu'il me débarasse enfin de ma tunique, avant de saisir les pans de son kimono pour l'attirer à moi. Chaque baiser qu'il déposait sur mon ventre était une douce torture, me donnant l'illusion que des papillons se promenaient dans mon estomac, et je me cambrais sous ses caresses, laissant les pans de son kimono m'échapper alors qu'il descendait jusqu'à la ceinture de mon jean.

- E...dward, soufflais-je, crispant mes mains sur les draps alors que mon corps brûlait littéralement de désir, alors qu'il prenait plaisir à me mettre à la torture.

par **Edward** Sam 25 Déc - 15:01

Chaque fois qu'elle se cambrait, réclamant plus de caresse, je m'exécutais collant mon corps brulant contre le sien, toujours surpris par la douceur de sa peau sous la mienne comme si je la découvrait pour la première fois alors que je connaissais cette sensation par coeur.

Alors qu'elle tirait sur mon kimono, je me fis violence pour me détacher de sa peau, lui souriant avec amusement avant de mimer une grimace pour finir par m'emparer dans de ses lèvres.

Mon pauvre kimono.

L'embrassant à la comisure des lèvres, je descendais dans son cou, embrassant la naissance de ses seins alors que je defaisait toujours lentement sa ceinture, laissant glisser mes lèvres jusque sur son ventre alors que mes mains glissais le long de ses cuisses, otant son jean.
Je couvrais chaque parcelle de peu de baiser brulant avant d'envoyer son jean rejoindre le reste de ses vêtements.
Me redressant sur un coude, je glissais ma mains le long de sa jambes remontant sur son ventre, dessinant la courbe de ses seins avant d'effleurer sa joue, dégageant au passage quelque méches rebelles, plongeant dans ses yeux.

Je gravais chaque détails de son corps au plus profond de ma mémoire, persuadé que je n'aurais plus jamais quelque chose d'aussi beau sous les yeux.
Demain, tout aurait perdu de son éclat face à la beauté de Farfaya.

Mon nom murmuré du bout des lèvres me tira un énime frison et je m'emparait de ses lèvres avec passions, carressant du bout des doigts sa peau si douce, aussi brulante que la mienne.

par **Farfaya** Sam 25 Déc - 15:19

Un violent frisson remonta le long de ma colonne vertébrale, me laissant haletante et brûlante d'un désir toujours plus grand, toujours plus dévorant alors que sa peau glissait sur la mienne avec douceur et passion. e lui lançais un faux regard désolé alors que je crispais de plus belle mes mains sur son kimono - mais c'est de sa faute, c'est lui qui me rend folle. Chaque vêtement dont il me débarrassait avec lenteur attisait mon désir, mais lorsqu'il laissa ses mains glisser sur mes cuisses pour me retirer mon jean, laissant toujours ses lèvres courrir sur mon ventre, je ne pu retenir un nouveau gémissement - chaque seconde m'était plus douloureuse, une délicieuse douleur qui consummait mon corps alors que mon jean partait rejoindre le reste de mes vêtements.

Sa main remontant le long de mon corps manqua me faire perdre la tête, et je me noyais dans son regard acier, passant mes mains sous son kimono pour les enrouler autour de sa taille, laissant mes doigts glisser dans son dos pour suivre le dessin de sa musculature fine et souple que je sentais jouer sous sa peau aussi brûlante que la mienne. Lui rendant son baiser, je profitais qu'il soit enfin revenu à ma hauteur pour commencer à le débarrasser de son kimono, le laissant glisser sur ses épaules en même tamps que mes mains qui caressaient sa peau brûlante se découvrant lentement sous mes doigts.

par **Edward** Sam 25 Déc - 15:37

Ses frisons faisant échos aux miens me rendais fou et je redoulais mes caresses et mes baisers, luttant difficilement contre le désir qui me consumait, je laissais mes mains glisser le long de son corps, suivis de prés par mes lèvres, goutant sa peau du bout de la langue.

Je la laissais me serrer contre elle, plaquant mon corps contre le siens, désirant plus que tout être à elle corps et âme autant que je voulais m'approprier la sienne.

Son faux regard désolé marcha un plaisir alors que ses main dans mon dos me tirèrent un frison et je fut incapable de retenir un soupir de plaisir.
Abandonnant ses lèvres, je glissais ma langue derrière son oreille, nouant mes doigts aux siens.

"Je te trouve bien coopérative." soupirais-je.

par **Farfaya** Sam 25 Déc - 15:54

J'étais ivre de ses baisers, ivre de de ses caresses, folle de ses soupirs faisant écho aux miens, chaque seconde plus délicieuse que la précédente mais aussi plus douloureuse - délicieusement douloureuse. Je me cambrais lorsqu'il glissa sa langue derrière mon oreille, attisant encore mon désir, me rendant encore plus folle de lui si c'était encore possible. Un sourire carnassier étira mes lèvres à sa remarque, et, usant de la même technique que quelques instants plus tôt, j'enroulais mes jambes autour de sa taille et inversais nos positions, nouant mes doigts aux siens pour emprisonner ses mains.

- Ca peut s'arranger, soufflais-je sur ses lèvres avant de mordiller sa lèvre inférieure puis de descendre lentement dans son cou.

par **Edward** Sam 25 Déc - 16:02

Un sourire amusé étira mes lèvres en réponse au sourire carnasier qui étira les siennes, ayant une vague idée de se qui allait se passer.

Pourtant, quand je sentis ses jambes s'enrouler autour de ma taille, je me contenter de plaquer mon corps contre le sien, lui volant un baiser juste avant qu'elle ne roule sur le côté inverssant nos positions.

Les mains clouer au matelas, je ne tentais même pas de me libérer de son emprise, puisqu'être son prisonier était la seule chose que je voulais.
Ses lèvres sur les miennes me tirèrent un violent frison et je voulu lui rendre son baiser, mais elle m'arracha ses lèvres et je laissais ma tête retomber sur un oreiller, levant la tête pour lui offrir mon cou, je serais ses doigts entre les miens, mis au supplice par ses baiser, j'échappais un énième soupir de plaisir.
J'aurais tout donner pour que ça ne s'arrête pas.

par **Farfaya** Sam 25 Déc - 18:38

Je crois que j'aimais encore plus l'avoir à ma merci qu'être sa prisonnière, en fin de compte. Dénouant nos doigts, je laissais le bout de mes doigts glisser lentement le long de ses bras, m'emparant de nouveau de ses lèvres - je ne pouvais m'en détacher plus de quelques secondes sans éprouver une douloureuse sensation de manque. J'aimais l'entendre soupirer, le sentir frissonner, aussi je m'y employais encore et encore, laissant mes doigts dessiner les lignes de ses pectoraux, les ondulations de ses abdos, avant de remonter lentement, plaquant ma peau contre la sienne, lui volant un dernier baiser avant de me redresser légèrement, les coudes de chaque côté de sa tête.

- Au fait...soufflais-je, laissant mes lèvres courrir sur son visage, on avait dit "pas de pouvoirs"... Tu as triché, murmurais-je en effleurant ses lèvres.

par **Edward** Sam 25 Déc - 21:09

Je tentais de retenir ses mains entre les miennes, les serrant avec force, mes ses doigts fins glissèrent entre les miens.

J'aurais voulu passer mes bras autour de sa taille pour la serrer contre moi et continuer de sentir sa peau glisser contre la mienne.
Mais ses carresses et ses baisers me tétanisaient littéralement, me laissant haletant, souffrant le plus délicieux des martyrs.
Je me racrochais aux draps qui sous la force des mes poings émirent des craquements sinistres.
Je tentais desespérement de rester lucide, de garder le peu de raison qu'il me restait mais Elle, Son souffle, Son parfum, Ses caresses, Ses lèvres, Sa peau, tout Son être me faisait perdre mes moyens.

J'étais à elle, complétement et irrémédiablement à elle.

Ses doigts dessinants le contour de mes muscles, son souffle brulant sur ma peau, ses lèvres sur les miennes, tout me rendait fou d'elle, plus encore à chaque minute.
Incapable de retenir frisons et soupir de plaisir, je crispais de plus en plus les poings sur les draps qui protestaient de plus en plus fort.

Quand elle remontant vers mes lèvres, faisant glisser sa peau contre le mienne, je parvins enfin à bouger, planquant mes mains dans son dos pour l'attirer un peu plus contre moi, lui rendant son baiser avec passion.
Quand elle s'éloigna de moi, posant chacun de ses coudes ce chaque côté de ma tête, je fus incapable de retenir un grognement de déptis, la dévisageant avec surprise avant de lui sourire.

"C'était pour mes cheveux, pour que tu ne sois pas tenter de les faire repousser." expliquais-je.

Puis je l'attirais contre moi, une main dans son dos, l'autre jouant dans ses cheveux, je carressais doucement son dos en suivant le dessins de sa colone vertébrale.

par **Farfaya** Sam 25 Déc - 21:28

Je tremblais presque de désir, luttant à chaque seconde avec plus de violence contre ce feu dévorant qui me consummait d'une délicieuse brûlure, brûlure plus mordante à chacun de ses frémissements, chacuns de ses soupirs alors que je redessinait la musculature de son torse sous mes doigts. Mes lèvres papillonaient à la suite de mes mains, goûtant sa peau couleur miel au parfum si doux que j'en était complètement ivre, et j'aurais voulu avoir la force de racourcir mes cheveux, qui me gênaient dans mon délicat examen. Je les rejetais en arrière d'un geste agacé, volant un baiser à Edward pour la peine. Un léger rire m'échappa alors que j'entendis distinctement les draps craquer sous la force de ses poings, me serrant contre lui avec passion alors qu'il entourait ma taille de ses bras.

- Zuuuuuuut, gémis-je. J'espérais avoir mal compris, soufflais-je, avant de glisser mes lèvres dans son cou.

Sa main dans mon dos me fit immédiatement taire, et je me mordis la lèvre pour retenir un gémissement. Au lieu de ça, je nichais mon visage dans son cou, haletante, arcant le dos pour prolonger ses caresses le longs de la colonne vertébrale, qui m'arrachaient frissons sur frissons.

par **Edward** Sam 25 Déc - 22:53

Je devenais fou. Littéralement dingue, il n'y avait pas d'autre mot. A ce stade plus question de Raison, de Lucidité, de Contrôle ou de quoi que se soit d'autre relevant du rationnel.

J'étais incapable de retenir frisons et soupir, alors que ses doigts ou ses lèvres enflammés ma peau laissant des marque délicieusement brulante sur leur passage.

Même ses cheveux effleurant ma peau me tiraient des frisons d'une rare violence.
Je n'avais jamais autant désiré un femme, jamais je n'avais autant voulu appartenir à une femme. A la réflexion, ce n'était pas une femme, non c'était une Déesse.

Son interjection me tira un sourire et je l'attirais un peu plus contre moi, relevant légérement la tête, j'embrassais son cou avant de passer ma langue derrière son oreille.

"Blessure de guerre." soufflais-je dans son cou.

L'une de mes main glissa dans ses cheveux, puis dans son cou et le long de sa colone vertrèbrale, alors que l'autre remontait suivant le contour de ses formes pour aller dégraffer son soutien gorge.

par **Farfaya** Sam 25 Déc - 23:21

J'avais l'impression de sentir le ballet de ses doigts dans mon dos comme au ralentit, ses doigts fin et agiles traçant des lignes de feu sur ma peau si brûlante que je m'étonnais de ne pas m'être encore totalement consummée de plaisir, soupirant dans son cou alors que la délicieuse douleur qui m'étreignait atteignait son paroxysme. Je ne désirais plus qu'une chose : lui appartenir corps et âme pour toute l'éternité qui s'offrait à nous et plus encore. J'esquissais un sourire à sa réponse, réponse murmurée que j'entendis à peine tant mon coeur cognait dans ma poitrine avec force ; j'allais regretter longtemps sa longue chevelure couleur de nuit, mais les mèches noires qui lui retombaient à présent sur le visage lui allaient au moins aussi bien, et je passais mes doigts dedant avec délice - c'était son choix, et je m'en contentais - j'étais déjà bien trop heureuse qu'il soit en vie.

Je me redressais légèrement, frissonnant alors qu'il me débarrassait encore d'un de mes derniers vêtement, et je plaquais mon corps brûlant contre le sien, goûtant enfin la douceur de sa peau nue contre la mienne comme j'en avait tant rêver sans jamais voir ce voeux exaucé...par ma propre stupidité, mon propre égoïsme, ce même égoïsme qui avait faillit nous détruire. Alors maintenant que plus aucun obstacle ne se dressait entre nous, ni ma peur de mes sentiments, ni mon égoïsme, ni ma stupidité, ni sa maladie qui m'avait poussée à me refuser jusqu'au bout pour que jamais il ne croie que je lui avait cédé à cause d'elle, moi qui l'avait toujours froidement repoussé, espérant le préserver alors que je n'avais fait qu'ouvrir un peu plus le gouffre de sa souffrance...

Alors maintenant qu'enfin je pouvais goûter à ses lèvres encore et encore, sentir sa peau brûlante contre la mienne sans être gênée par le moindre tissu faisant obstacle entre nous, maintenant que je pouvait me lover dans ses bras sans retenue, et lui rendre au centuple la plus insignifiante de ses caresses, je me jurais que plus jamais je ne serait la cause de sa souffrance, et que je détruirais de mes mains tout ce ou ceux qui tenteront de me remplacer dans ce rôle. Désormais, alors que nos deux corps brûlants embuaient les vitres de la fenêtre de sa chambre et que l'écho de nos souffles haletants se perdaient dans les mugissements de la tempête de neige au dehors, j'étais gardienne de son coeur, et je lui offrais le mien.

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par **Edward** Dim 26 Déc - 0:00

J'aurais voulu que cette nuit dure une éternité. J'aurais voulu continuer à m'enivrer de Sa peau, de Son parfum, de Ses lèvres, de Ses caresses, de Sa Perfection.

J'avais pourtant finis par doucement plonger dans un someille profond, bercé par Son souffle à côté de moi.
Elle que j'avais cru disparu.
Elle que j'avais cru morte, perdu à jamais. La retrouver était comme une seconde naissance et lui appartenir l'accomplissement d'une vie, mon seul désir.

Cette nuit là, je pus m'endormir serein, je savais que les souvenirs de cette nuit, le souvenir de sa peau sucrée, plus douce que de la soie, celui de ses lèvres plus attirant que n'importe quel fruit juteux chasserait les monstres de mes cauchemars.
Elle blottis dans mes bras, je ne laisserais plus ni mes cauchemars ni les siens nous atteindre, je détruirait quiconque oserait ne serait-ce que penser lui faire du mal.

Et pourtant malgré tout, cette nuit là, au plus profond de mon someille, se superposant au doux souvenir du corps de Farfaya, une image me hantait.
Le sang se melant à des éclats de Feu. Deux bijoux violets, l'un plus clair que l'autre, brillait au milieu des flammes, du sang et de la peur.
Alors que je sombrait dans les Ténébres, Elle se batait pour que sa Lumière, notre Lumière ne s'éteingne pas, frolant dangeuresement la mort pour me protéger alors que j'aurais du lui servir de muraille.

Elle qu'on avait cru si faible.
Elle qu'on avait cru incapable.
Elle qui m'avait sauvé au péril de sa propre vie. Elle grace à qui je pouvait enlacer au coeur de la nuit mon plus beau Trésor, Elle grace à qui je pouvait protéger ma Merveille, Elle grace à qui je pouvais aimer ma Déesse.

Au milieu de cette ruelle sombre, Elle avait été seule et elle avait tenu, alors que des monstre assoifé de sang chercher à boire le sien.
Je n'avais assisté à la scéne qu'à travers le voile qui tombait lentement sur mes yeux pour m'attirer vers les Ténèbres.
Mais je savais qu'ils l'avaient blesser, je savais qu'elle avait eu peur mais qu'elle ne c'était pas enfui et je savais que je n'avais pas eu le courage de lui faire réellement face.
Et c'est certainement pour se venger que mon esprit culpabiliser m'offrit une version différente de la réalité.

Ce n'était plus le sang de ses adversaires qui l'avait sous estimé qui gicler sous mes yeux embuer, mais le siens, alors qu'elle encaisser une énième coup pour me protéger.

"ITAKU!!!!!!!!!"

Je me redressais en hurlant sur mon lit, en sueur, complétement désorienté.

par **Farfaya** Dim 26 Déc - 0:24

Cette nuit là, lorsque je fermais enfin les yeux pour ne plus les rouvrir avant le lendemain, pour la première fois depuis une éternité, je m'endormis avec l'impression d'être enfin entière, un sourire serein sur les lèvres. Une telle douceur, un tel bonheur était il réellement possible ?... Moi qui avait voulu mourir, moi qui avait estimé que la vie n'en vallait plus la peine, je revenais sur ma décision avec plaisir suite à cette nuit là, cette nuit qui m'avait donné la sensation de revivre alors que je retrouvais ma moitié, que j'avais cru perdu à jamais... Mais il était bien là, son corps brûlant s'unissant au mien comme j'en avais finalement toujours rêvé, avec tant de volupté que s'en était presque inconcevable, et je m'abandonnais à lui avec passion, répondant à ses moindres désirs comme il répondait aux miens, mon coeur battant la chamade dans ma poitrine, ce coeur qui revivait soudain alors que j'avais voulu le faire taire à jamais.

Pour la première fois depuis longtemps, je trouvais rapidement le sommeil, lui qui m'avait fuie pendant près d'un mois, m'obligeant à passer mes nuits à contempler la lune et les étoiles lorsqu'elles daignaient se montrer. Je m'endormis blottie contre Edward, son corps tiède et doux plaqué contre le mien, protégée de mes démons par le rempart de ses bras. Son souffle appaisé avait été la plus douce des berceuses, et j'avais plongé sans même m'en rendre compte dans une inconscience réconfortante et réparatrice.

Mais alors que j'avais l'impression que je venais de fermer les yeux, je sentis Edward s'agiter contre moi. Lentement, mon sommeil si attendu me fila entre les doigts, et je luttais de toutes mes forces pour replonger dans l'inconscience, mais un hurlement retentit soudain, rendant définitivement vains tous mes efforts. Réveillée en sursaut, le coeur au bord des lèvres, le regard flou, mon corps agit pour moi, me protégeant malgré moi d'une attaque irréelle. Une lame de poignard plus affutée qu'une lame de rasoir se matérialisa dans ma main, et avant même de chercher à comprendre ce qu'il se passait, je me jetais sur mon agresseur, plaquant mon poignard sous sa gorge.

par **Edward** Dim 26 Déc - 0:48

Assis sur un lit, désorienté, je tachais de remettre mes idées en place, lentement, ordonnant les images qui passait devant mes yeux à une vitesse tellement ahurissante que j'en avait la nausée.

D'abord il y eut des image de cette femme à la beauté irréelle qui éveillé en moi des élan de passion incontrolé.
Suivis des images de cette jeune femme à la chevelure incroyablement flamboyante, se battant pour sa vie.
Et puis tout se noir, cette sensation de froid, cettre impression de vide, chassé par un douce chaleur familière.
Et puis une jeune femme à l'air terriblement fatigué, ses étrange cheveux bleu cachant dificilement un pansement passé sur son oeil.
Cette vision laissa place à celle très famillière d'une grande jeune femme brune au incroyable yeux vert. Son regard posé sur moi me rassurait. Je savais que tant qu'Elle était là, tout était réalisable.
Et puis un blon bien trop énergique me balançant un oreiller à la figure, les coup frappé sur mon torse par une brune incroyablement petite qui éveillait en moi des élan de bonheur partagé.
Et pour finir cette nuit. Merveilleuse nuit en compagnie d'une Déesse brune très semblable à cette femme à la beauté iréelle.
Nuit qui laissais derrière elle une sensation de plénitude, d'unité enfin retrouvé.

Doucement, je remettais un nom sur ses visages, pour la plus part essentiel à ma vie, mais alors que j'avais leur nom sur le bout de la langue, je me sentis basculé en arrière et l'acier glaciale d'une lame se posait sur ma gorge.
La vision d'un homme dagainant ses Sai pour me tuer s'imposa à moi.

Mon corps agis par reflexe et sans réfléchir, je crochetais jambes et bras pour inverser nos position, profitant de l'élan de la roulade pour desarmer mon adversaire.
Tenant ses poignet dans une main, je plaquais le couteau sur sa gorge.

Avant de croiser ses yeux. Ses yeux aux reflet d'argent, rendant ce métal terne en comparaison.
Je savais que j'aurais tuer pour l'éclat de ses yeux et enfin tout se remis brutalement en place.

Farfaya.
Itaku.
Mon coma.
Azylis.
Reia. Ma soeur. Ma grande soeur.
Splitter et Hanae, inséparable.
Farfaya.

Mon coeur fit un bond dans ma poitrine et j'ouvris des yeux horrifié lachant le couteau qu'elle avait certainement créer au dessus du sol. Il rebondit sur le dallage de marbre avec un son mat.
Je dévisageais Farfaya, dont les draps cachais à peine la nudité avec horreur.

"Excuse moi." soufflais-je la libérant de mon emprise.

"Pardon."

J'aurais pu la tuer. Non, j'avais faillis la tuer. J'avais faillis tuer l'unique femme reignant sur mon coeur.

par **Farfaya** Dim 26 Déc - 1:06

Le regard flou, les cheveux devant les yeux masquant ma vue d'un voile sombre, je n'entendais plus que les battement affolés de mon coeur alors que je plaquais mon arme sous la gorge de mon agresseur, prête à le tuer sans la moindre hésitation. Mais avant que je ne porte le coup fatal, l'écho du hurlement qui m'avait réveillé trouva soudain un sens, faible d'abord, puis soudain, tout fut très clair : Itaku. L'Ancale qui avait ramené Edward.

Mon mois d'enfer défila soudain devant mes yeux, me rappelant la vive souffrance qui m'avait étreinte alors que j'avais cru que l'Homme que j'aimais le plus au monde m'avait quitté, me laissant seule avec ma douleur et mes regrets - mais il était là, il était en vie, et c'était bien lui que je menaçais soudain alors que nous venions de passer la nuit ensemble. Et quelle nuit... Mais avant que je n'ai le temps de le libérer de mon emprise, avant même que je ne comprenne tout cela, mon propre élan se retourna contre moi, et je basculais sur le côté, lâchant mon arme de surprise, sentant mes bras relevés au-dessus de ma tête plaqués brutalement au sol par les poignets alors que la froide morsure de mon propre acier rencontra soudain ma gorge.

Je me figeais à ce contact, fermant les yeux en pensant que, comme moi, Edward redescendrait sur terre. Espérant qu'il le ferait avant de faire l'irréparable... Il était bien plus fort que moi, il était inutile de songer à essayer de me libérer de son emprise, que je sentais implacable alors que je retenais malgré moi ma respiration, attendant qu'enfin il me reconnaisse. Si j'avais pu utiliser mes pouvoirs, je me serais transformée... Mais je ne pouvais qu'attendre. Enfin, je lus dans son regard qu'il avait fait la part entre le rêve et la réalité, et il me relâcha soudain, l'air horrifié par son geste.

- Non, soufflais-je, le coeur battant toujours la chamade. C'est moi...j'ai pas...c'est à moi de m'excuser, dis-je, levant délicatement une main pour caresser sa joue, ne pouvant m'empêcher d'esquisser un sourire à ce simple contact.

par **Edward** Dim 26 Déc - 19:57

Les mains posées de chaque côté de sa tête, j'haletais, réalisant ce que j'avais faillis faire avec de plus en plus d'horreur.

Je la couvais d'un aussi désolé qu'horrifié avant de lentement me laisser tomber sur le côté pour m'allonger sur le dos.
Passant un bras autour de ses épaules, je l'attirais contre moi pour la serrer dans mes bras, frisonnant encore à l'idée de se qui aurait pu se passer.

Je fermais furtivement les yeux puis posais un leger baiser sur le haut de son crâne.

"Tu parle d'un réveil en douceur." ironisais-je.

Je me redressais sur un coude, l'éloignant un peu d'elle en grimaçant. Je passais une main sur son visage et lui souris, la couvant d'un regard doux.
Puis, je laissais mon bras glisser depuis son épaule jusqu'à son poignet, profitant de la lumière du jour filtra à travers la fenêtre pour l'admirer un peu plus.
Et plus je la détaillais plus j'avais la vague impression qu'elle n'était plus que l'ombre d'elle belle.
Elle avait beaucoup maigris, son visage était creusé, de vilaine cernes noirs soulignaient ses yeux, sa peau était tellement blanche qu'elle devenait diaphane.
Je fronçais les sourcil, le coeur déchiré par cette vision. Qu'est ce qu'elle avait bien pu endurer pendant se long mois d'abscence?
Puis, je remarquais enfin ses bras et un éclair de colère traversa mes yeux alors que je relevais les yeux vers elle, saisissant son poignets pour le lever légérement.

"C'est quoi ça??"

par **Farfaya** Dim 26 Déc - 20:31

Un doux sourire sur les lèvres, je posais sur lui un regard que je voulais rassurant alors qu'il reprenait lentement son souffle, toujours au-dessus de moi, les mains de chaque côté de ma tête. Je pouvais lire dans son regard acier l'horreur que lui inspirait son geste incontrolé, et je caressais doucement sa joue, n'aspirant qu'à voir cette expression horrifiée disparaitre de son visage. Je voulais le voir sourire, encore et encore. Puis il se laissa retomber sur le côté, et je me redressais légèrement pour me pencher sur lui, nichant mon visage dans son cou alors qu'il m'attirait à lui.

- Crois moi si tu veux, mais j'ai connu pire, soufflais-je, amusée...avant de me redresser légèrement pour lui lancer un faux regard de reproche. Quoi que, entendre l'homme avec qui je viens de passer la nuit se réveiller en hurlant le nom d'une autre peut bien entrer dans le top 10, ajoutais-je, faussement vexée.

Puis il se redressa sur un coude, et je reposais ma tête sur l'oreiller, un doux sourire aux lèvres alors que je m'imprégnais avec délice des traits fins de son visage, fermant furtivement les yeux lorsqu'il caressa ma joue de sa main si douce. Mais son regard sur moi me mis légèrement mal à l'aise - j'avais conscience de mon état, et alors que quelques heures plus tôt je n'en avais plus rien à foutre, à cet instant, j'en était plutôt peu fière. Fuyant son regard, je me recroquevillais légèrement sur moi même en le voyant froncer les sourcils du coin de l'oeil, mais lorsqu'il attrapa mon poignet pour mettre en évidence les blessures de mon bras, je me redressais vivement. Le bandage, négligement enroulé autour de mon bras, avait du glisser et se défaire durant la nuit, mettant à jour les profondes lignes horizontales barrant l'intérieur de mon avant bras, en train de se refermer au niveau du coude, fraichement ouverte vers le poignet. Je voulu lui arracher mon bras, mais il le tenait fermement, et je ne pu que me redresser sur un coude, glissant mon autre bras, dont je sentais que le bandage était également prêt à se dénouer, sous les draps au passage.

- Rien, dis-je en essayant de me libérer, lui lançant un regard noir. Lâche-moi, ajoutais-je d'une voix plate.

par **Edward** Lun 3 Jan - 22:30

Son regard autant que son sourire m'aidèrent à m'appaiser. Quand elle passa une mains sur ma joue, je fermais les yeux, penchant lentement la tête sur le côté pour savourer se doux contact pour finalement me laisser tomber sur le côté.

Son commentaire m'arracha une grimace alors que l'image d'Itaku pleine d'un sang qui n'était pas le sien s'imposait à moi. Je me passais une mains sur le visage pour chasser cette image.
Je passais une main sur son visage, la couvant d'un regard tendre.

"Et pourtant, je n'aime que toi." soufflais-je dans son cou avant de l'y embrasser.

A sa tête, je ne mis pas lontemps à comprendre que mon regard, alors que je découvrait son état à la lumière du jour, la mettais mal à l'aise. Je retins un rire amer, visiblement, elle avait oublié de camouffler ses blessures.
Quand elle se redressa, je l'imitais, refusant de la lacher, je serrais doucement son poignet, horrifié par les marques qui s'étendaient de son poignet jusqu'au creux de son coude.

Je faillis lacher prise sous son regard noir.

"Me fait pas rire, c'est pas rien. Faut absolument soigner ça!!"

Je lui lançais un reard aussi sévère que le sien était noire.

par **Farfaya** Lun 3 Jan - 22:54

Lèvres pincées, le visage fermé, je détournais le regard en attendant qu'il se décide à me relâcher, agacée par mon incapacité à dissimuler mes blessures. J'avais essayé pourtant, un nombre incalculable de fois, mais mon pouvoir ne m'obéissait plus... et ça n'avait apparement pas changé dans la nuit. J'aurais voulu me dégager d'un mouvement sec, mais je préssentais que c'était tout ce qu'attendait les plaies de mon poignet pour se rouvrir et recommencer à saigner, et ce n'était vraiment pas le moment - j'étais bel et bien coincée. Et ça ne me plaisait pas du tout. Ignorant de mon mieux le poids de son regard, que j'évitais de toutes mes forces, je restais immobile, prenant la parole en essayant de maîtriser les tremblements qui commençaient à percer dans ma voix.

- C'est rien, répétais-je, butée. Lâche-moi, articulais-je, je verrais plus tard. C'est rien, lâche-moi... s'il te plait... soufflais-je, toujours sans le regarder alors que mon assurance flanchait lentement, mais sûrement.

par **Edward** Mar 4 Jan - 21:20

Je retins un soupir de frustration alors qu'elle détournait le regard. Elle n'allait pas bien. Vraiment pas bien.

La preuve? Elle n'avait pas dissimuler ses blessures, ni sa maigreur et elle ne se débattait pas, n'utilisais pas son pouvoir m'échapper.
Je me mordis une lèvres, me sentant affreusement coupable. Etait-ce à cause de moi qu'elle c'était mise dans un état pareil?
Moi qui n'avait fait que lui sauter dessus, tout à ma joie de la voir vivante.
Je plissais légérement les yeux, cherchant son regard avant de soupirer.

"Très bien..."

Je la lachais, me relever pour partir à la recherche de mes vêtement. Renfilant rapidement mon kimono, je contournais le lit pour rejoindre Farfaya.
Attrapant fermement son bras, je passais le miens sous ses genoux pour la soulever, prenant soin de tirer les draps avec elle.

"Soit tu coopére et je te laisse t'habiller, soit tu fait ta tête de mule et je t'amène comme ça à l'infirmerie.Je suis sure que l'infirmière en chef se fera un plaisir de te revetir d'un de ses superbe pyjama en papier..."

Je penchais légérement la tête sur le côté, plantant mes yeux dans les siens, attendant sa réponse.

par **Farfaya** Mar 4 Jan - 21:56

Le regard résolument détourné, je sentais le poids du sien devenir de plus en plus insistant, et je me mordis la lèvre alors qu'il ne me lâchait toujours pas - accoudée sur le matela, j'avais peur de sa réaction quand il verrait que mon autre bras vallait aussi le détour, et j'étais surtout à deux doigts de la crampe, mais je n'osais pas bouger, ni pour libérer mon bras, au risque de rouvrir les plaies les plus récentes, ni pour décaler mon coude, sous peine de défaire définitivement mon bandage. Enfin, il soupira, et à mon grand étonnement, il me relâcha. J'étais tellement surprise que je le regardais se rhabiller sans bouger, et surtout sans comprendre, le regardant avec de grands yeux lorsqu'il revint vers moi... pour me soulever. J'la sens pas l'idée là...

- ... Tu... tu n'oserais pas ?... O.o

... J'crois que si en fait. Il a pas l'air content... et moi, plus ça va, plus je suis dans la merde là. Une idée, vite s'il vous plait. Passant mes bras autour de son cou, je lui lançais un regard mi-surpris, mi-indigné... avant d'avoir l'idée du siècle. Enfin je crois...

- Tu veux dire que ça ne te dérrangerait absolument pas de me trimballer à peine couverte d'un drap dans les couloirs jusqu'à l'infirmerie ?... chuchotais-je à son oreille, caressant son cou du bout des doigts. Je veux pas y aller... gémis-je dans son cou, caressant l'arrête de sa mâchoire du bout du nez. C'est rien... je m'en occuperais plus tard. Reviens plutôt avec moi, murmurais-je, me redressant au maximum dans ses bras pour effleurer ses lèvres des miennes.

par **Edward** Mar 4 Jan - 22:09

M'écartant doucement du lit, j'utilisais mon pouvoir pour tirer le draps vers nous et en couvrir Farfaya un maximum. Sauf que mon pouvoir "glissais" sur le dit draps. Je n'arrivais pas à adapter ma télékinésie à la matière que je voulait déplacer. Je du m'y reprendre à plusieurs fois et priais pour que Farfaya ne remarque rien.

Depuis le temps que je n'avais plus utiliser mon pouvoir et que ce dernier était de nouveau à sa puissance maximale, j'avais du mal à retrouver mes marques.
Je baissais les yeux sur Farfaya et haussais un sourcil.

"Tu crois?"

Je finis par réussir à enrouler le draps autour de Farfaya, dissumulant ses forme sous les plis et replis des draps.

"La, on verra rien et tu te fera soigner. Alors je vais pas me gener et puis le joli pyjama t'apprendra à pas coopé..."

Ah non!!! Alors ça c'est de la triche. Malgré moi, je fermais les yeux et levais légérement la tête, frisonnant en sentant son souffle et ses doigts dans mon cou.

"T'es pas.. guériss..euse, tu pou..rra pas te... soi...gner."

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